#Baye_Niass ! Nul personnage plus que lui n'eveille tant les passions des uns par excès de zèle, ou des autres par incompréhension, méconnaissance, jalousie, dénigrement, hypocrisie voire même méchanceté. ⬇️
Son nom de baptême est IBRAHIMA NIASS, fils d'Elhadji Abdoulaye Niass et de Aissatou Diankha, il est l'homonyme de son grand oncle Ibrahima Thiam dit Serigne Kéllel. ⬇️
Les gens de la même génération que IBRAHIMA NIASS, l'appelaient Ibra, qui est une simple contraction de Ibrahima. Certains qui lui sont très familier, parlaient de Ibra Astou (càd Ibra fils de Astou, Astou étant un diminutif de Aissatou, le nom de sa mère) ⬇️
D'autres lui donnèrent le nom de Sidy Ibra, Sidy mot d'origine arabe qui signifie Monsieur.
Vers 1925, lorsqu'il commença ses enseignements sur l'exégèse du Coran, un Mauritanien le qualifia de «Bahrul Aam» càd en arabe, un océan sans limites, la contraction engendra Barham. ⬇️
Au début des années 1930, un de ses disciples du nom de Omar Mallé Thiam lui aurait donné le très respectueux surnom de BAYE (Papa). C'est le nom le plus populaire au Sénégal et il figure dans l'état civil de certains de ses homonymes. Même sa propre mère l'appelait BAYE. ⬇️
Sur son passeport, ses papiers avec en-tête et certains de ses cartes de visite, on trouve le nom EL HADJI IBRAHIMA NIASS, nom adopté en 1937, après son retour du pèlerinage à la Mecque. ⬇️
Le nom de Cheikh Al Islam est un titre que Cheikh Mahmoud Saltout, Recteur de l'université Al Azhar lui attribua au cours d'une rencontre dans ce haut lieu du savoir, où, il fit preuve d'une erudition et d'un comportement qui le plaça au dessus (du lot)... 🔚
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Cheikh Ibrahima Niass, vit le jour au 15e jour du mois lunaire RAJAB de l'an Hégirien 1318, à l'ombre d'un Baobab qui surplombait la concession familiale. Dans le calendrier grégorien, cette date correspond au Jeudi #8Novembre1900. ⬇️
Lorsqu'on vint annoncer à El Hadji Abdoulaye Niass qu'il était père d'un garçon, Abdou Salla Niass venait de prononcer « minal djinati wa naassi » (Sourate les Hommes, verset N°6), phrase qui marque la fin de la récitation du SAINT CORAN. ⬇️