Pour info, il y a plus de... 700 témoignages et commentaires en attente. Cela ne veut pas dire qu’ils seront tous entendus. Mais que Van Langevelde (le VP du board, un REP) peut faire durer le processus un bon moment.
Van Langevelde a quand même précisé que le board « avait le devoir de certifier les résultats ». C’est globalement bon signe
Discussion en cours sur l’illégalité de s’opposer à la certification. Norman Shinkle est l’élu REP qui ne souhaite pas certifier le vote. Sa femme fait parti des témoignages présentés dans une des plaintes de Trump. Une plainte rejetée par la justice.
Les explications de Christopher Thomas au board sont très claires : ils n’ont pas le pouvoir de mener des enquêtes sur une potentielle fraude, ils n’ont pas le pouvoir d’ajourner le vote. Leur devoir se résume à voter la certification
Sans surprise Shinkle continue de s’opposer aux arguments avancés par le board. Reprenant un par un les points mis en avant par la campagne Trump. Des points qui le plus souvent sont des mauvaises interprétations de faits réels. Un peu comme sur Twitter 😉
La responsable du GOP résume toute l’ambiguïté de son parti. Des accusations, des manœuvres pour ralentir le processus. Mais cela disparaît lorsqu’il il faut appliquer la loi. Comme les avocats qui durant les conférences de presse promettent le pire mais se taisent devant la Cour
Sans surprise encore, l’avocat d’un candidat GOP demande que les résultats du Wayne County ne soient pas certifiés. C’est le comté qui inclus Détroit. Un fief démocrate avec une très forte population Noire. L’idée vote Noir = fraude est clairement jouée par une partie des REP
Collbeck, l’expert en cyber sécurité qui est en train de témoigner et d’affirmer que le système a été hacké ? Cela faisait parti d’une plainte rejetée. Verdict du juge : « aucune preuve » 
L'attorney General du Michigan (l'équivalent du ministère de la justice) a également un commentaire a partager sur Collbeck :
https://twitter.com/dananessel/status/1330973413469544450
Collbeck est comme l’ensemble de la campagne Trump. Des accusations spectaculaires devant les médias et puis plus rien lorsqu’ils sont devant la Cour et ne peuvent plus mentir. Cela me rappelle lorsque Giuliani était devant le juge Brann : « Ce n’est pas une affaire de fraude »
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