Que sait on de la composition des vaccins à ARN que presque tous les politiques appellent avec insistance ?
Il s’agit d’ARNm synthétique (produit par synthèse chimique) ce qui permet d’industrialiser en masse et à bas coût, et d’engranger accessoirement de gros bénéfices.
L’ARN contenu dans le vaccin comprend la séquence de la protéine d'intérêt mais aussi d'autres protéines non-structurales qui faciliteront sa traduction par la machinerie cellulaire
La protéine (antigène) codée par le vaccin BNT162b2 de Pfizer & BioNTech est une protéine Spike optimisée du SARS-CoV-2.
Cette séquence génétique est entourée d'une coiffe et d’une queue poly-A.
Certains vaccins à ARNm contiennent aussi une réplicase, ces ARNm sont appelés auto-replicants. La réplicase permet d'obtenir plus d'antigènes, elle sert à amplifier l'ARNm.
Enfin, l’ARNm de certains vaccins est enrobé dans des nanoparticules lipidiques sensées l’acheminer jusque dans les cellules du patient sans être désintégré par l’organisme :
Un article de @futurasciences précise quand même que les mécanismes d'action des vaccins à ARNm ne sont pas encore tous élucidés : « cette technologie présente des inconvénients qui sont surtout liés à un manque de recul scientifique sur son utilisation » futura-sciences.com/alternative/am…
⚠️ Et ajoute : « Des études cliniques ont rapporté des évènements indésirables de grade 3, c'est-à-dire qui invalident totalement ou menacent la vie du patient, pour deux vaccins à ARNm destinés à lutter contre la rage et les virus H10N8 et H7N9 alors qu'ils étaient en phase 1. »
Les vaccins à ARN n’ont donc jamais été autorisés sur l’humain à cause de la toxicité avéré de l’ARN. Et à dose trop faible il est inefficace car désintégré avant d’arriver dans les cellules.
Rien cependant sur les risques de genotoxicité (cancers, tumeurs...) évoqués par le CRIIGEN ni sur les risques d’immunitoxicité (réactions inflammatoires, maladies auto-immunes...) à court, moyen et long terme.
La solution des chercheurs quant à l’immunotoxicité fut de modifier génétiquement la structure de l’ARN synthétique afin de moins alerter l’organisme de sa présence. Cependant ces molécules fabriquées par génie génétique sont très loin d’être fiables à l’heure actuelle.
#VaccinARN : On ne parle que du Covid alors que, si ce type de vaccin est approuvé fin décembre, ce serait une révolution médicale qui ferait passer l’immunité au Covid pour un détail. Le PDG de Moderna parle d’ailleurs « d’un logiciel de vie » : vanityfair.fr/amp/pouvoir/bu…
« Si les vaccins à ARN réussissent, nous serions confrontés à quelque chose de plus grand encore que l'immunité au coronavirus : la possibilité de programmer des cellules à volonté. » google.fr/amp/s/www.entr…
Donc soit :
1 Ça marche et c’est la plus grande révolution médicale des temps modernes, la fin de toutes les maladies, et l’avènement du transhumanisme.
2 Ça n’a aucun effet et c’est une arnaque.
3 C’est toxique et c’est une arnaque doublée d’un désastre sanitaire.
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C’est donc la première fois de l’Histoire qu’une thérapie génique (qui consiste à faire pénétrer du matériel génétique dans les cellules d'un individu (en l’occurrence pour les reprogrammer)) et destinée au grand public (et pas à des cas rares désespérés) est autorisée.
Point remarquable : c’est aussi la première fois de l’Histoire qu’un vaccin est autorisé sur la seule base d’un communiqué de presse : aucun bilan, aucune étude scientifique n’est accessible. La communauté scientifique est mise à l’écart par l’industrie.
« Sur le terrain, il n’y a plus d’anciens pour dire stop »
Un commandant de Police avoue que la Police est en roue libre.
Pour compléter, la directrice de L’IGPN, nommée et révocable à tout moment par le ministre de l’Intérieur :
DEUX « propositions de sanction » sur les 378 affaires de violences policières contre les Gilets Jaunes
En face, le syndicat Vigi Police appelle, en septembre 2019, à dissoudre l'IGPN, qu'il qualifie de « service de propagande politique » sudradio.fr/societe/dispar…
Des médecins américains se sont inquiétés, lors d’une réunion avec les conseillers des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies américains (CDC), des conséquences des potentiels effets indésirables des vaccins anti-Covid.
En septembre, des volontaires aux essais des vaccins de Pfizer et Moderna avaient indiqué avoir ressenti fièvre, maux de tête, courbatures ou encore fatigue intense. Ce qui inquiète les médecins américains, c’est l’effet dissuasif des éventuels effets indésirables :
Derrière le Gvt, ce sont les industriels des secteurs pharmaceutiques et agrochimiques qui font pression car ils voient en CrisprCas9 un potentiel infini de nouveaux marchés très lucratifs et un moyen de privatiser le vivant.
Qui va payer les indemnités aux futurs victimes qui subiront les effets indésirables de vaccins expérimentaux développés à la va-vite et testés au lance pierre ?
Que dit le rapport scientifique indépendant le plus complet à l’heure actuelle sur les risques au niveau génétiques des nouveaux vaccins à vecteurs viraux (OGM) et à ARN (dits « vaccins géniques » car ils agissent au niveau du génome).
En 1947 @franceculture titrait déjà : «Le code de Nuremberg est-il compatible avec le principe de la liberté d’entreprendre ?»
Les multinationales de la Chimie qui ont participé aux pires génocides du XXe siècle sont les mêmes qui sont responsables aujourd’hui des pires écocides
L’historien britannique Antony Sutton décrit la complicité à grande échelle de l’industrie américaine. Par ex, en 1939, Standard Oil fournit pour 20 millions $ d’essence d’avion à IG Farben. Dow Chemical se charge des stocks de magnésium pour la fabrication des bombes allemandes.
Le Zyklon B, conçu d’abord comme pesticide, compte pour près de trois quarts de l’activité commerciale de Degesch, une filiale d’IG Farben : "suffisamment de gaz pour tuer 200 millions d’êtres humains", selon Sutton.