Je voulais mettre à disposition aujourd'hui une longue interview de Pierre Kory sur l'ivermectine traduite en français avec l'aide de @Dahuuu. Ce sera pour un autre jour, et peut-être sur Odysee ou Vimeo: elle a été préemptivement retirée de youtube pour "contenu inapproprié".
C'est vrai que de présenter pendant 39 minutes des résultats d'études cliniques, c'est totalement inapproprié. C'est l'occasion de rappeler, même si on dirait que tout le monde s'en fout complètement, que la recherche sur l'ivermectine est censurée sur les réseaux sociaux.
La FLCCC, le groupe de médecins dont fait partie Pierre Kory, ont vu leur compte Facebook censuré à plusieurs reprises, sont invisibles sur Youtube. La vidéo de Tess Lawrie sur sa meta-analyse a été retirée de Youtube, même des liens vers des journaux scientifiques sont bloqués..
... sur twitter quand ils portent sur l'ivermectine. Même les adversaires les plus enragés des traitements précoces efficaces et bon marché devraient s'inquiéter de cette situation totalement inédite depuis la fin du nazisme et du communisme en Occident: on censure la science.
J'ai fait appel:
"Youtube n'autorise pas le contenu qui répand de la désinformation qui contredirait les informations médicales de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ou des autorités locales de santé sur les méthodes pour prévenir, traiter ou diagnostiquer la COVID-19"
ça devrait nous faire peur, à tous, quoique nous pensions de l'ivermectine. La présentation du contenu d'un article peer-reviewed, publié dans un journal médical de référence, sur une molécule actuellement évaluée par l'OMS pour le traitement de la COVID est censurée.
#Ivermectine: Tout savoir grâce à des vidéos sous-titrées français ! A commencer, par la petite dernière, la vidéo la plus complète et la plus à jour sur l'état de la recherche, 40 minutes avec le Dr Pierre Kory qui vont dans le détail: vimeo.com/502654566
Les vidéos des interventions en décembre au Sénat US de Pierre Kory, touchantes, très accessibles et courtes (moins de 10 minutes), qui ont beaucoup contribué à attirer l'attention sur l'ivermectine: d'abord celle qui présentait les données cliniques:
Dans celle-ci, le Dr Kory présente quelques données épidémiologiques, et explique notamment comment une campagne de "vermifugation" a permis de lutter contre la COVID dans un état du Paraguay:
Donc, si vous vivez en Suisse et avez un proche vulnérable, ou êtes vous-même vulnérable, prenez note de quels hôpitaux vous proposeront des traitements avec un faible impact sur la mortalité, et desquels vous proposeront au contraire un traitement qui peut sauver des vies.
Il s'agit vraiment, potentiellement, d'une question de vie ou de mort, de parents ou grands-parents qui, en fonction de l'hôpital que vous choisirez, ne seront pas traités de la même manière, et pas avec les mêmes résultats.
Je n'aime pas twitter, les réseaux sociaux, je me réjouis de les quitter. La seule raison pour laquelle je passe du temps à traduire et rédiger, c'est pour que les gens que j'aime et ceux que vous aimez aient accès au meilleur traitement possible. Là, on s'en rapproche.
1/n "Nous n'avons pas encore assez de données pour valider l'utilisation de l'ivermectine" FAUX.
Nous avions mi-décembre:
– 24 essais, 7 825 patients, avec groupes de contrôle bien appariés
– 15 essais contrôlés et randomisés avec plus de 3 000 patients
ça a augmenté depuis
L'ivermectine offre un bénéfice extrêmement élevé en terme de réduction de la mortalité (-83% sur la base des essais contrôlés randomisés disponibles), est très sûre, ne coûte rien. Jetons un oeil aux conditions qui ont permis l'adoption dans les hôpitaux des autres traitements:
Remdesivir, adopté en dépit de faibles impacts cliniques (pas d'effet sur la mortalité), d'effets indésirables importants, de données alors non-revues par les pairs, d'un coût élevé et de directives contradictoires (OMS vs NIH)
Il y a un consensus depuis le début: on ne peut sortir de cette pandémie que par une vaccination. Le cardiologue suisse Paul R. Vogt n'a aucun doute sur l'efficacité d'une vaccination, mais fait une proposition alternative: une association médicamenteuse antivirale ...
Premièrement, un anticoagulant; puis l'ivermectine, dont le formidable effet réducteur de virus a été démontré in vitro; Hydroxychloroquine, zinc et Zithromax, pour empêcher les virus de pénétrer dans les cellules; Vitamine C et vitamine D pour soutenir le système immunitaire...
Vogt souhaite proposer au Conseil fédéral et aux instances compétentes de permettre une sorte d'approbation d'urgence de l'association médicamenteuse. Au moins pour les patients qui le souhaitent. Ce qui est également nécessaire le plus rapidement possible: Une étude randomisée