Et c’est une incompétence malheureusement indispensable à leur modèle économique. Ils ont besoin de radicaliser les internautes pour gagner de l’argent.
Exemple de pubs YouTube avant une vidéo complotiste:
D’ailleurs, allez demander à Facebook, YouTube et Twitter combien de modérateurs ils ont, combien de contenus sont signalés, quel % est vu par un humain, quel délai de traitement.
Pour information (car on en a débattu avec plusieurs journalistes): @FacebookFR me confirme bien que WhatsApp va partager les informations liées au numéro de téléphone, à l'adresse IP et aux transactions (quand la fonction sera disponible en France) avec Facebook, y compris en FR
C'est d'ailleurs ce qu'il y a dans leur FAQ (mais on n'était pas sûr que ce soit bien valable pour la France). faq.whatsapp.com/general/securi…
Donc quand Facebook explique que cette mise à jour ne change pas la façon dont WhatsApp fournit des données à Facebook, c'est vrai, sauf que le changement n'est pas ça.
Le changement est que ça devient obligatoire pour tout le monde.
On peut trouver ça déprimant, mais cette vidéo rappelle surtout le business très douteux des influenceurs de TV réalité, aidés par les agences We Events et Shauna Events.
Leur business model étant d’inonder leurs jeunes abonnés de fausses promos pour des produits @AliExpressFr.
Si votre ado suit un influenceur ou une influenceuse qui fait la promo de produits depuis Dubai, vous pouvez déjà partir du principe qu’il vaut mieux lui dire d’arrêter de le/la suivre.
Si vous voyez une influenceuse ou un influenceur qui fait de la promo sans signaler le partenariat de façon claire, vous pouvez partir du principe qu’il ou elle n’a aucune honnêteté vis-à-vis de ses abonnés.
Les influenceuses qui font des pubs (non signalées) pour des « fake book » de décoration, parce que « les livres officiels avec les pages » ça coûte trop cher.
- Publicité non signalée comme telle
- Site illégal (pas de nom d'entreprise)
- Immatriculé à Dubai
Après, ils sont capables de dire "fake news" et "manifestants payés" dans la même phrase.
Site toujours reconnu comme "service de presse en ligne" et donc bénéficiant d'avantages financiers aux frais du contribuable. cppap.fr/services-de-pr…