Pour information (car on en a débattu avec plusieurs journalistes): @FacebookFR me confirme bien que WhatsApp va partager les informations liées au numéro de téléphone, à l'adresse IP et aux transactions (quand la fonction sera disponible en France) avec Facebook, y compris en FR
C'est d'ailleurs ce qu'il y a dans leur FAQ (mais on n'était pas sûr que ce soit bien valable pour la France). faq.whatsapp.com/general/securi…
Donc quand Facebook explique que cette mise à jour ne change pas la façon dont WhatsApp fournit des données à Facebook, c'est vrai, sauf que le changement n'est pas ça.
Le changement est que ça devient obligatoire pour tout le monde.
Le but de Facebook étant de pouvoir caler des boutons WhatsApp pour échanger avec ses annonceurs, pour enfin gagner de l'argent avec son application de messagerie.
Par ailleurs, Facebook prévient que ces données ne peuvent pour le moment pas être utilisées pour afficher de la publicité ciblée. Mais n'exclut pas du tout de le faire si c'est possible légalement.
D'ailleurs, quand je demande à @FacebookFR la différence avec la politique dans l'UE et hors UE, ils me parlent justement de la diffusion de publicité ciblée. Ce qui est étonnant puisqu'il semblaient dire cette publicité ciblée ne s'appliquerait nulle part...
Et tous les utilisateurs, y compris français, qui n'acceptent pas ces conditions seront exclus de WhatsApp le 15 mai.
Je précise que c'est très compliqué d'avoir de l'information auprès de Facebook.
Je pose des questions précises, ils répondent toujours un peu à côté, en anglais, dans des termes très flous.
Je leur ai parfois demandé des réponses par "oui" ou "non", ils ont esquivé.
C'est la première fois dans ma carrière que je lutte autant vis-à-vis d'une entreprise pour avoir des retours compréhensibles.
Je ne peux pas montrer nos échanges, mais chacun comprendrait alors le flou qui règne, y compris entre les journalistes.
Ca montre assez bien à quel point les notifications comme les communications sont faites pour que les journalistes (et a fortiori les utilisateurs) n'y comprennent absolument rien.
On peut trouver ça déprimant, mais cette vidéo rappelle surtout le business très douteux des influenceurs de TV réalité, aidés par les agences We Events et Shauna Events.
Leur business model étant d’inonder leurs jeunes abonnés de fausses promos pour des produits @AliExpressFr.
Si votre ado suit un influenceur ou une influenceuse qui fait la promo de produits depuis Dubai, vous pouvez déjà partir du principe qu’il vaut mieux lui dire d’arrêter de le/la suivre.
Si vous voyez une influenceuse ou un influenceur qui fait de la promo sans signaler le partenariat de façon claire, vous pouvez partir du principe qu’il ou elle n’a aucune honnêteté vis-à-vis de ses abonnés.
Les influenceuses qui font des pubs (non signalées) pour des « fake book » de décoration, parce que « les livres officiels avec les pages » ça coûte trop cher.
- Publicité non signalée comme telle
- Site illégal (pas de nom d'entreprise)
- Immatriculé à Dubai
Après, ils sont capables de dire "fake news" et "manifestants payés" dans la même phrase.
Site toujours reconnu comme "service de presse en ligne" et donc bénéficiant d'avantages financiers aux frais du contribuable. cppap.fr/services-de-pr…
Assassinat de #SamuelPaty, ou comment, sans aucun élément tangible, des internautes/politiques construisent une coupable: la rectrice de l'académie de Versailles.
Quatre comptes sont principalement à l'origine du phénomène, en citant un nom et se basant sur un article du Point.
Notons que le commentaire de @noellelenoir est très différent des autres: c'est la seule à se fier strictement aux élément d'@azizzemouri1, du Point.
Les trois premiers font de la rectrice "celle qui voulait sévir" contre #SamuelPaty. Sauf que ce n'est pas du tout ce qui est écrit dans Le Point, qui évoque "L'inspection académique", et pas la rectrice directement.
J'ai étudié la forte progression des groupes Facebook anti-masques sur les deux derniers mois. Une popularité qui ne semble pas prête de décroître, notamment grâce au fonctionnement du réseau social. bfmtv.com/tech/facebook-…
Au 1er août, l’ensemble des groupes étudiés a généré 17.000 interactions. Quinze jours plus tard, le barre des 50.000 interactions quotidiennes était franchie. Au 1er septembre, ce sont plus de 110.000 interactions qui ont été recensées.
Les trois publications les plus commentées dans notre échantillon de 17 groupes anti-masques: une référence au nazisme, un médecin ciblé et une proposition de grève générale.