Ça fait deux fois que je reçois un mails sur des méthodes pour limiter la remontée d'humidité le long des murs. Certaines boites proposent des systèmes électromagnétiques passifs hors de prix.
Je suis tombé sur cette étude qui compare les méthodes existantes pour limiter les remontées d'humidité. Page 20, on trouve un chapitre sur la fiabilité des dispositifs basés sur un "fonctionnement inconnu"
La conclusion montre que cette histoire sent mauvais : aucune preuve scientifique, efficacité qui reste à démontrer par des études indépendantes.
Lien vers l'étude : emerisda.eu/wp-content/upl…
Apparemment des bâtiments publics utilisent aussi ce genre de dispositif. On dirait qu'il y a clairement matière à enquêter, on est pas sur des dispositifs à 200€ mais bien plus. Mais c'est pas mon rôle, plus celui de @UFCquechoisir par exemple.
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Bon, vu que ça a l'air de vous intéresser, je refait mon thread effacé par erreur !
Ceci est un prototype d'un des panneaux qui composeront la première couche dans le tokamak d'ITER.
Et, disons que c'est conçu pour résister à des conditions assez rudes.
La première couche est composée de tuiles en béryllium, capable d'encaisser le flux de neutrons. Derrière un alliage qui sert à conduire la chaleur. Le tout est posé sur un bloc en inox qui est percé d'un premier réseau de canalisations haute pression pour évacuer la chaleur.
Ça parait pas, mais cette façade fait plus de une tonne. Elle sera fixée sur un bloc encore plus gros usiné en inox pur beurre qui est lui aussi refroidi à haute pression. On parle de canalisations de 70mm à plusieurs dizaines de bars.
1/ Le sondage est pas terminé mais vu que je suis AFK ce soir, je donne la réponse.
Avant toutes choses il faut préciser 2/3 trucs (CO2 = équivalent CO2)
2/ A noter : j'utilise de plus en plus la méthode de "publier des résultats sur touiteur pour voir comment ça réagit."
3/ Ça me permet de mieux préparer mes vidéos, en plus vous faites des retours et réflexions que je peux intégrer, des sources à coté desquelles je suis passé... bref c'est tout bénef.
La consommation des serveurs n'a pas augmenté depuis 2010. J'en reviens toujours pas. Vous en pensez quoi ? (source : IEA)
L'explication viendrait de l'optimisation de bourrin (parce que la niveau optimisation c'est du haut level) du notamment à l'hyperscale computing.
Ça remet complètement en question ma position sur le cloud niveau énergie. Je lis par-ci par la qu'il faudrait éviter le cloud et travailler un max en local. Mais finalement ça serait plus pour réduire l'usage du réseau (qui consomme pas mal, il faut que je trouve les chiffres)
On perçoit souvent les réseaux comme des toiles retiennent les individus au système (société de consommation, etc)
S'émanciper du réseau électrique, ça serait se désaliéner.
Pourtant abattre le réseau électrique, c'est revenir à des inégalités énergétiques fortes.
Je l'ai déjà dit ici : la ressource énergétique est inégalement répartie sur le territoire. Supprimer le réseau et produire localement (même sur des réseaux locaux) c'est faire ressurgir des privilèges.
Privilège de celui qui a le bon emplacement, qui a du vent, du soleil ou encore mieux : un cours d'eau.
On ne se rends pas compte du poids de ces contraintes actuellement parce qu'on a l'électricité. N'importe quelle activité peut être menée à peu près n'importe ou.
Je vais répondre à une question que tout le monde c'est posé au moins une fois dans sa vie. Je sais que certains d'entre vous n'en dorment plus la nuit et regardent l'horizon par la fenêtre de la chambre en songeant à la vacuité de leur existence.
"On faisait comment pour reproduire des pièces complexes avant l’invention de la fraiseuse numérique ?"
Il est déjà difficile d'imaginer le monde d'avant Internet, mais alors avant la commande numérique par ordinateur...
La réponse est pourtant simple : on utilisait un pantographe pour copier un modèle (sur le plateau de droite) sur la pièce (plateau de gauche) De manière générale, on appelle ça une "machine à reproduire"
Sans parler des ondes, le soucis c'est encore et toujours l'effet rebond. Je vois très bien venir l’émergence d'usages connectés à très haut débit : Une sur utilisation des flux vidéos : streamer sur son bureau une vue de l'intérieur de sa bagnole ou maison, La visio en 4k,
les lives de n'importe ou (live pêche à la ligne ou escalade en montagne, live labour de champ...). Une fainéantise sur le poids des données non optimisé, les objets connectés qui échangent des volumes démentiels pour rien, qui échangent tout court pour rien.
Cette image circule souvent pour illustrer le problème. Il faut une infrastructure de ouf pour allumer une lampe.
Bien sur, cette infra est aussi utile à autre chose (et existe déjà sans la 5G)