"Il m'a dit qu'en fait, les conclusions n'étaient pas les siennes!"
Andrew Hill ***n'aurait pas écrit lui-même*** la conclusion de sa méta-analyse sur l'ivermectine, on lui aurait forcé la main!
Pourquoi c'est important? ⬇️⬇️⬇️
Le Dr Andrew Hill, mandaté par l'OMS / UNITAID a prépublié en janvier une méta-analyse sur l'efficacité de l'ivermectine sur la COVID-19, sur la base de 18 ECR avec 2282 patients, qui concluait à une réduction moyenne du risque de mortalité de 75%!
Il se montrait lui-même très enthousiaste sur le potentiel de l'ivermectine, ainsi qu'en témoignent ses tweets:
Le problème, c'est que la conclusion de sa méta-analyse semblait, par rapport aux données, excessivement prudente: il insistait sur la nécessité de conduire plus d'études avant de valider, et même d'utiliser, un traitement qui diminue la mortalité de 75%, ceci en pleine pandémie
Cette conclusion n'est pas du tout anodine. Elle diminue l'impact de son travail. @DgCostagliola l'a d'ailleurs tweetée récemment avec une évidente satisfaction pour nous faire comprendre "Vous voyez, même Andrew Hill pense comme moi qu'il faut plus de données!":
Or, ce que la Dr Tess Lawrie nous révèle ici, c'est que cette conclusion n'a pas été rédigée librement par Andrew Hill, mais a été influencée / dictée par son sponsor (UNITAID? l'OMS?).
En plus de la censure des médias, du sabotage des revues médicales, les ONG s'y mettent! 🤬😡
Comme le dit la Dr Lawrie: "J'ai été choquée, j'ai considéré qu'il s'agissait d'un conflit d'intérêts!"
Hé bien oui, c'en est un! Quand on n'est pas libre de rédiger sa propre conclusion, quand l'ONG qui paie la détermine à notre place, on est à 100% dans le conflit d'intérêts.
"J'ai demandé à Andrew Hill de qui venaient les conclusions de l'article"
"Il n'arrêtait pas de se référer à 'd'autres personnes' "
"J'ai dit 'qui sont ces autres personnes?' "
"Il a fait référence à quelqu'un qui s'appelle Dominique Costagliola"⬇️
Selon la Dr Tess Lawrie, Andrew Hill lui aurait déclaré que ses conclusions ne reflétaient pas sa propre opinion, mais qu'il avait été influencé par son sponsor UNITAID. Il aurait également explicitement mentionné des discussions avec Dominique Costagliola. C'est un GROS problème
Dans une telle méta-analyse, si une ou plusieurs personnes ont contribué à la conclusion, elles doivent être explicitement mentionnées, par exemple comme co-auteurs. Ici, elles ne le sont pas. L'intégrité de l'article est remise en question. C'est très grave.
ça peut paraître étrange que je parle de ça, parce que je n'évoque a priori que des sujets qui concernent directement l'actualité liée à l'ivermectine. J'aimerais parler des personnalités antisociales, qu'on appelait autrefois les psychopathes. Peut-être que ce sera utile un jour
On sait que les psychopathes sont incapables, ou peu capables, d'empathie. On sait qu'ils se montrent très manipulateurs, mentent beaucoup plus facilement que les autres, apprécient les positions d'autorité. On oublie parfois qu'ils ont un goût pour le risque et la transgression
Dans les films, c'est souvent ce qui les perd: le tueur en série qui se met au premier rang lors de l'enterrement de sa victime, qui nargue de plus en plus ouvertement la police jusqu'à ce qu'il se fasse prendre. Ils trouvent dans cette prise de risque, ce "culot", un plaisir.
1/n Thread🔥💥⚡️2ème scoop: comment @CochraneUK a rejeté la revue de l'équipe de la Dr Tess Lawrie (des centaines d'heures de travail) sans aucune raison valable!
"Nous sommes préoccupés par la vidéo que vous avez faite"
Explications ci-dessous ⬇️⬇️⬇️
- On veut publier votre revue!
.. Ah, non, on veut plus, vous n'êtes pas objective
- OK, qqun peut me remplacer!
- Ah non, en fait, on veut une revue complète
- OK, on en a une!
- Ah non en fait, il y a un autre équipe dessus
- OK! On peut leur transmettre nos données!
- Heu non.
Si le ridicule tuait... Donc, Cochrane accepte d'abord de publier, puis change d'avis sans réelle justification (bondissant de prétexte en prétexte).
Mais le pire, c'est que ce n'est pas fini, attendez mon 3ème thread.
Les deux prochaines vidéos pour lesquelles nous travaillons à produire des sous-titres sont d'après moi deux bombes absolues. Je me réjouis de vous les faire découvrir. (suspense)
On peut soupçonner que ce soit dû à la consommation d'ivermectine par le groupe contrôle, vu que:
2) comme déjà signalé, il a été découvert en cours d'étude que 38 des participants contrôle avaient reçu de l'ivermectine "par erreur"... no comment.
3) Etait inclus dans l'étude quiconque n'avait pas pris d'ivermectine dans les 5 derniers jours, ce qui implique qu'ils auraient pu en prendre seulement 6 jours avant leur inclusion et finir dans le groupe contrôle! Une durée plus standard serait 10 jours, ou même plus.
On peut ajouter que la qualité des preuves est "de moyenne à basse."
En français courant, ça se traduit par: l'ivermectine réduit probablement / peut réduire la mortalité de 68%.
Ce degré de certitude est suffisant pour utiliser un médicament extraordinairement sûr et pas cher
Du moins, c'est ce que pensent immédiatement les patients et les médecins traitants normalement constitués.
Les "experts" eux, préfèrent les traitements qui, avec une qualité des preuves incroyablement élevée, sublimement élevée, ont prouvé qu'ils ne servaient pas à grand chose.