Covid-19 : « Des biais amplifient artificiellement le nombre de cas positifs et faussent la perception de la gravité de l’épidémie » | Via @lemondefrlemonde.fr/idees/article/…
Si les décisions concernant la gestion de l’épidémie depuis mars 2020 reposent sur le nombre de personnes admises dans les services de réa d’HP précarisés, et sur le nombre de décès + ou - liés à ce virus, les autorités sanitaires s’appuient également sur le « taux d’incidence ».
Cet indicateur, diffusé et commenté chaque soir par les médias, recense le nombre de personnes testées « positives » au Covid-19 rapporté à une population donnée (100 000 personnes testées).
Pour déterminer ce taux, les autorités s’appuient sur le test RT-PCR. De nombreux scientifiques, dont l’Ecole de santé publique de Harvard, ont mis en évidence ses limites – la personne est dite « positive » indépendamment de la charge virale et donc de sa contagiosité.
Le coefficient d’amplification dit « CT » (le chiffre à partir duquel apparaît la fluorescence), est essentiel. Plus le chiffre est bas, plus la charge virale est élevée, donc la contagiosité, et inversement.
Or, ce CT n’est pas harmonisé, variant de 20 à plus de 40, selon les laboratoires de biologie médicale et selon les pays, alors qu’il s’agit d’une politique de santé publique.
Comme l’a signalé la Société française de microbiologie (SFM), cette hétérogénéité comporte des biais importants : elle identifie un fragment d’ARN et non un virus, a fortiori encore moins un « cas de Covid-19 » ; sfm-microbiologie.org/wp-content/upl…
elle ne tient pas compte de la charge virale de la personne, donc de sa contagiosité ; la rémanence des fragments d’ARN, donc la positivité, peut être longue ; au-delà d’un nombre de cycles d’amplification supérieur à 33, il s’agit d’un « cas positif faible » ;
Enfin, l’interprétation du résultat doit prendre en compte les signes cliniques par un médecin, ce qui n’est quasiment jamais le cas en pratique.
Selon la SFM un «portage prolongé de l’ARN viral est possible après la phase de guérison jusqu’à plus de 60 jours après le début des signes cliniques. La détection d’ARN viral par PCR ne signifie pas forcément qu’il y a des particules virales infectieuses dans les échantillons»
Dit autrement, des personnes ont été confinées par milliers inutilement, alors qu’elles n’étaient plus contagieuses, et ce pour un coût exorbitant pour les finances publiques et l’activité économique.
Le dépistage des cas de Covid sans évaluation de la charge infectieuse est un non-sens épidémiologique.
Le Gvt a cru pouvoir gérer l’épidémie avec ses solutions Start Up tout en démolissant l’HP et sans faire appel aux médecins ni à leurs traitements précoces éprouvés. #AZ#IV
Ces biais, connus depuis août, ne sont pas pris en compte par les autorités pour interpréter les indicateurs dérivés du test RT-PCR, tels le taux d’incidence ou le « R0 » pourtant crucial pour mesurer l’intensité d’une épidémie
Ces biais amplifient artificiellement le nombre de cas « étiquetés positifs Covid-19 », et faussent la perception de la gravité de l’épidémie et sa persistance, à travers une communication anxiogène.
L’Espagne n’a d’ailleurs pas hésité à réduire le nombre de cycles d’amplification (CT) des tests RT-PCR, conduisant à une division des « cas positifs » de 50% en une journée... L’Allemagne s’interroge aussi, en multipliant de nouveaux moyens de prélèvement.
La connaissance et la correction de ces biais sont essentielles si l’on veut piloter et décider de mesures de restrictions des libertés publiques proportionnées à l’ampleur de la crise.
Les personnes testées « positives » doivent en outre être informées du « vrai » risque qu’elles encourent. C’est une exigence législative (loi du 4 mars 2002).
De nombreux scientifiques avaient appelé le gouvernement à revoir la politique de tests pour la rendre plus efficace en ciblant les personnes – la Sécurité sociale dépense pour ces tests inutiles et mal interprétés plus de 4 milliards € en année pleine.
Il est impératif que l’avis de la SFM soit appliqué dès à présent par les laboratoires de biologie médicale afin que la politique de santé publique de tests RT-PCR soit harmonisée. Il en va des intérêts sanitaires, économiques et financiers de la France.
Cette standardisation, le partage des résultats, la quantification virale des eaux usées permettraient l’analyse commune et les comparaisons entre territoires, puis entre pays, et une meilleure appréciation des risques réels de l’épidémie par les pouvoirs publics et la population
Au 6 avril, 67.722.810 tests PCR ont été réalisés depuis juillet 2020 pour une dépense d’environ 4,2 milliards d'€ payée par l’argent public (entre 54€ et 70€/ test).
Soit l’équivalent de la construction de 16 hôpitaux* de 1200 lits.
*Sur la base du coût de l’hôpital de Melun, construit sur le modèle du partenariat public-privé : une santé au rabais pour les pauvres, des charges pour l’hôpital public, et des profits pour la clinique privée lesechos.fr/amp/167487
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Dans tous les cas, le problème n’est pas tant le glyphosate, qui sera remplacé par une molécule similaire voire pire en cas d’interdiction, que le modèle agrochimique.
🔻#2022 À gauche, la bataille d’Egos continue à faire rage alors que le PS est gangréné par les Vallsistes, EELV est une coquille vide sans assise militante, et LFI peine à créer l’unité.
Il faut négocier un programme commun et élire un candidat unique ou c’est l’échec assuré.
Sawicki : l’électorat de gauche en France actuellement c’est 25% à tout casser.
À 1 an de la présidentielle et des législatives, il faut être réaliste et appeler à une grande alliance NPA - PC - LFI - EELV - PS (expurgé des Vallsistes) avec candidat unique élu par la base.
Vu la situation du pays, c’est inadmissible que les dirigeants de gauche n’aient pas déjà mené ce travail. Ces gens sont sensés représenter les intérêts du peuple aspirant à la démocratie, à l’écologie et au socialisme. Or ils ne représentent que leurs idées et leur clan.
Banque en ligne, voiture sur rails, déshumidification d’air.... le serial entrepreneur plafonne à 9.200 € nets par mois grâce à des soutiens ayant fait fortune dans la finance et le pétrole google.fr/amp/s/www.capi…
Trois Start Up du pseudo-écologiste Montebourg sont déjà connues : Bleu Blanc Ruche (qui vend du miel), la Mémère (qui fabrique des glaces) et la Compagnie des amandes (qui plante des amandiers). Il y a aussi BFR, une banque en ligne crée en juin 2019.
BFR veut utiliser un nouveau système de scoring (risque crédit) en utilisant l’intelligence artificielle. Elle est dirigée par Preetam Ramdul (business angel et entrepreneur, ancien cadre dirigeant du Crédit agricole) et Elisabeth Sabbah (ancienne dir marketing d’Orange Bank).
En France, les #NouveauxOGM sont déjà dans des produits médicaux et dans des champs bien qu’ils soient interdits
Les autorités ferment les yeux en attendant que l’UE, sous la pression de la finance et des firmes pharmaceutiques & agrochimiques, se prononce sur leur légalisation
Les #NouveauxOGM sont en plein boom dans le monde entier : Les chinois ont donné naissance à des chiens nés avec le double de leur masse musculaire normale.
L’expérience intéresse les industriels de l’élevage qui veulent exploiter des animaux OGM rendus + rentables et productifs
Derrière la petite blague sur Zune (un échec de Microsoft supplanté par l’Ipod), une rivalité google.fr/amp/s/www.busi… entre 2 transhumanistes libertariens
Musk : cryptomonnaie, voiture électrique, voyage sur Mars & Neuralink
Une manière aussi de se moquer des trumpistes et des théories hasardeuses sur la vaccination en reprenant un dessin du militant pro-Trump Ben Garrison, intitulé « Plannedemic »
Elon Musk, Bill Gates et l’Etat allemand ont investi dans CureVac, la Start Up allemande qui développe un vaccin à ARN avec Bayer-Monsanto
Bruxelles s’apprête à réautoriser l’utilisation de protéines animales (issus des non ruminants) dans l’alimentation des volailles et des porcs. google.fr/amp/s/amp.oues…
Rebaptisées « protéines animales transformées » (PAT), les nouvelles farines animales proviennent de sous-produits d’animaux destinés à la consommation humaine : pieds de porcs, têtes de volailles, cuirs, peaux, plumes, os...
À la suite de l’épidémie d’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ou maladie de la « vache folle » dans les années 1980-1990, les farines animales, en particulier celles d’origine bovine, avaient été totalement interdites dans l’alimentation des animaux d’élevage en 2001.