Cheikh El Mokrani, de son nom complet Mohammed el-Hadj el-Mokrani ou Mohammed Ben Hadj Ahmed El Mokrani (en kabyle : Lḥaǧ Muḥend n Ḥmed n At Meqqṛan), né en 1815 et mort le 5 mai 1871,
est l'un des chefs des révoltes survenues en Algérie pendant la conquête française, après la défaite de l'émir Abd el-Kader.
Le tombeau de Cheikh El Mokrani.
Cheikh El Mokrani
Le Passage des Portes de fer en Algérie, 18 octobre 1839 par Adrien Dauzats.
La RN5, le chemin de fer et le viaduc de l'autoroute Est-Ouest traversant Bab el Kebir.
Le passage par les Portes de Fer est un épisode de la conquête de l'Algérie par la France qui a été illustré par plusieurs peintres, notamment Adrien Dauzats et Hippolyte Bellangé.
L'armée française passe les Portes de fer.
Vue sur la Kalaa, de nos jours.
La Kalâa des Beni Abbès (en arabe : قلعة بني عباس, en berbère : Lqelεa n Ayt Ɛebbas, en Tifinagh : ⵍⵇⵍⵄⴰ ⵏ ⴰⵢⵜ ⵄⴱⴱⴰⵙ) est une ancienne citadelle d'Algérie, capitale du royaume des Beni Abbès,
fondée au XVIe siècle dans les Bibans et presque totalement détruite lors de la révolte des Mokrani en 1871.
Un versant du mont Fiouane vu du village.
La « pierre salique » (disparue depuis) érigée sur la place du Vieux Marché en mémoire de l'exhérédation des femmes kabyles.
L’exhérédation est un terme utilisé en droit des successions qui signifie le fait de déshériter une personne.
Vue de Djemâa Saharidj vers 1889.
En mai 1871, lors de la répression de la révolte des Mokrani, apprenant que des forces importantes sont rassemblées à Djemâa Saharidj, le général Lallemand décide d'« aller donner une leçon aux rebelles » et conduit une colonne à l'attaque du village :
c'est un sérieux revers pour les assaillants qui sont repoussés et doivent se replier en hâte devant leurs poursuivants.
En 1872, une fois le pays soumis, les Jésuites fondent à Djemâa Saharidj un poste qu'ils abandonnent en 1880. Après l'avoir repris en 1883, les Pères blancs le confient en 1886 aux Sœurs blanches, puis s'y réinstallent en 1920.
Parallèlement, Djemâa Saharidj devient l'un des terrains d'expérimentation des fonctionnaires « kabylophiles » : en 1881 il est avec Tamazirt, Tizi Rached, Taourirt Mimoun et Mira, l'un des cinq villages de Grande Kabylie où le gouvernement Jules Ferry décide d'implanter une
école laïque, dite « école ministérielle ». Après avoir suscité dans la population une curiosité mêlée de méfiance, l'entreprise se heurte à l'indignation soulevée par la fermeture, à l'initiative des autorités locales, des écoles coraniques et des zaouïas.
L'hostilité des élus colonialistes à toute idée d'instruction des « indigènes » finit de condamner l'expérience dont les principaux animateurs sont écartés dès 1884.
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La confrérie Rahmaniyya (en Kabyle : tareḥmanit, en Tifinagh : ⵜⴰⵔⴻⵃⵎⴰⵏⵉⵜ, en Arabe : الرحمانية) est une confrérie musulmane soufie, fondée en 1774 par Sidi M'hamed Bou Qobrine en Kabylie.
La Rahmanyia, à l'origine Khalwatiya (de Khalwa, en arabe: خلوة, qui signifie: isolement), connue une forte audience jusqu'au XIXe siècle, réussissant à fortement s'implanter et se répandre en Afrique du Nord.
Celui qui reste chaste et meurt d'amour meurt martyr.”
De Muhammad saws
Portrait de Ahmed Zabana.
Ahmed Zahana (en arabe : أحمد زهانة), connu sous son nom de révolution Ahmed Zabana (en arabe : أحمد زبانة) et surnommé par ses proches H'mida, issu de la tribu des Mehadja, né en 1926 à Saint-Lucien (actuellement Zahana) dans l'actuelle wilaya de Mascara en Algérie et
Le jour même de son arrivée à Alger, le 22 février 1841, Bugeaud adresse une proclamation aux habitants européens de l'Algérie, et une à l'armée. Aux Européens, il expose qu'il a été l'adversaire de la conquête absolue en raison des moyens humains et financiers qu'elle exigerait,
mais qu'il s'y consacrerait désormais tout entier. À l'armée, il disait que son but n'était pas de faire fuir les Arabes, mais de les soumettre.
Bugeaud finit par disposer de plus de 100 000 hommes. Entouré des généraux, La Moricière, Changarnier, Bedeau, Cavaignac,
Bugeaud emploie de nouvelles méthodes. Il allége l'équipement des soldats, remplace les voitures par des bêtes de somme, met l'artillerie à dos de mulet.
La date de la première présence humaine en Côte d’Ivoire est difficile à évaluer car les ossements ne se conservent pas dans le climat humide du pays. Cependant, la présence de fragments d'armes et d'outillages très anciens (haches polies taillées dans des schistes,
débris de cuisine et de pêche) découverts sur le territoire national est interprétée comme la possibilité de la présence d’hommes, en assez grand nombre, au paléolithique supérieur (45 000 à 12 000 ans avant le présent) ou au minimum, l’existence sur ce terroir,
La forteresse de Margat connue aujourd'hui sous le nom de Qalaat Marqab (Qalaʿa al-marqab, قلعة المرقب la forteresse qui contrôle). Elle est située à quelques kilomètres au sud du port de Baniyas sur la côte syrienne.🤓
Un premier château a été construit en 1062 par un seigneur musulman local. Les musulmans contrôlent la forteresse pendant la première croisade malgré l’existence de la principauté d'Antioche.