Quatrième jour de baisse du nombre de cas positifs recensés chaque jour (en moyenne glissante) au Royaume-Uni, qui repasse sous les 40 000. #Covid19
1/ ⤵️
L'évolution en une semaine est redevenue négative et continue de diminuer : le nombre moyen de cas positifs quotidiens a baissé de 15,4% en sept jours.
2/
Comme expliqué hier, il faudra attendre un peu pour affirmer si le pic est passé. Concernant l'argument du "on teste moins", le nombre de tests réalisés semble cependant diminuer dans des proportions moins élevées que celui des cas (-5% au 20/07).
Par ailleurs, le nombre d'hospitalisations quotidiennes au Royaume-Uni continue de grimper (+27% en une semaine au 20 juillet), en raison de l'écart entre dépistage et hospitalisation.
4/
Ce graphique combinant les deux indicateurs montre que le ratio cas positifs/hospitalisations a diminué (il aurait été divisé par environ 4), essentiellement grâce à la vaccination (7 adultes sur 10 sont complètement vaccinés au Royaume-Uni).
5/
L'Ecosse (8% de la population britannique) a déjà passé son pic des cas positifs il y a trois semaines, et celui des hospitalisations semble aussi avoir été atteint. 👇
On observe par ailleurs que la situation semble aussi s'inverser dans d'autre pays très touchés par cette nouvelle "vague", comme les Pays-Bas et la Tunisie. Mais à confirmer ces prochains jours.
7/
• • •
Missing some Tweet in this thread? You can try to
force a refresh
🇺🇸 Des milliers de pages des sites officiels sont rendues inaccessibles.. pour "se conformer aux décrets du président Trump" : "Il y a un sentiment de peur parmi les scientifiques, c'est une tentative de coup d’État administratif." ⤵️ @le_Parisien
@le_Parisien Concernant la santé publique, se sont notamment volatilisées des données médicales sur les jeunes LGBT, des recommandations pour le vaccin contre la variole du singe (mpox), ou encore des conseils aux personnes transgenres face au VIH. ⤵️
@le_Parisien La raison ? Trump a notamment décidé que seuls deux genres existeraient, homme et femme. L’un des décrets ordonne de "supprimer toutes les déclarations, politiques, réglementations, communications ou autres messages qui promeuvent ou inculquent l’idéologie du genre".
Les cancers du système digestif sont de plus en plus fréquents chez les moins de 50 ans, sans que l'on parvienne encore à comprendre pourquoi : "Nous passons à côté de quelque chose !"
Plusieurs recherches sont lancées. A dérouler ⤵️ @le_Parisien
@le_Parisien "Les consultations sont un peu plus longues et compliquées avec les jeunes adultes, car ils me demandent pourquoi ils ont un cancer alors qu’ils ne sont pas obèses, ne fument pas, font du sport… On est bien incapables de leur répondre", témoigne l'oncologue Alice Boilève.
2/9
@le_Parisien Colon, mais aussi pancréas, foie… Le nombre de cas rapportés chaque année grimpe depuis plusieurs décennies, en France mais aussi un peu partout dans le monde : "Tout le monde le constate !"
Les mutuelles préfèrent parler de "médecines douces", très visibles dans leurs offres, plutôt que de "pratiques non conventionnelles".
Alpivia vante "une approche globale qui considère l’interconnexion entre le corps, l’esprit et l’environnement", Aesio liste "19 médecines douces remboursées".
2/8
@le_Parisien Ces médecines douces et autres "prestations à la périphérie des soins de santé" ont représenté quasiment 1 milliard d’euros de dépenses pour les complémentaires santé en 2022, d'après un rapport du Sénat. C'est huit fois plus qu’en 2014.
🔴 La #grippe n'a pas encore atteint son pic et continue de progresser, à des niveaux exceptionnellement élevés.⤵️
Cela vaut pour les consultations chez le médecin (gauche) et pour les hospitalisations après passage aux urgences (droite), pour grippe/syndrome grippal*.
1/6
La part d'activité de grippe/syndrome grippaux chez SOS Médecins atteint 28%, du jamais-vu depuis 2010. Elle passe la semaine dernière en niveau "très élevé".
2/6
C'est chez les enfants de 5 à 14 ans que cette part de syndromes grippaux parmi les actes SOS Médecins est la plus élevée, comme le montre cet autre graphique.
@le_Parisien Sur le papier, la France part en effet de très loin. Moins d’un quart des professionnels exerçant en établissement de santé s’étaient fait vacciner contre la grippe en 2022, et cette part varie d'environ 19 % à 30 % selon les régions.
2/9
@le_Parisien Internes et médecins sont les plus vaccinés (autour de 50 %), aides-soignants et agents hospitaliers le sont le mois.
"Il n’y a pas 80% d’antivax mais il y a sans doute une part de négligence, certains considèrent que ce n’est pas la peine de se faire vacciner."
Ce 1er janvier marque l'élargissement de la #vaccination contre les méningocoques, obligatoire chez les nourrissons.
Voici ce qui change, et pour quelles raisons ⤵️
1/6
Les méningocoques sont des bactéries pouvant provoquer des méningites très graves, entraînant parfois des séquelles (amputations comme pour Théo Curin, troubles cognitifs, etc) voire le décès.
D'autres pathogènes peuvent provoquer des méningites, mais souvent moins sévères.
2/6
Jusqu'à présent, seule la vaccination contre les méningocoques du groupe C était obligatoire et celle contre B était simplement recommandée.
Désormais, la vaccination contre toutes les souches - A, B, C, W et Y - sera obligatoire.