On n’a (pour l’instant) pas battu le record de primo-injections de mai dernier. Elles semblent se stabiliser, ou repartir à la baisse. Il y en a 360 000 chaque jour.
Le nombre total de doses injectées chaque jour est en légère baisse depuis le 21 juillet.
614 000 vaccinations chaque jour.
63,5 % des Français sont vaccinés avec au moins une dose, 53 % sont totalement vaccinés.
86 % des plus de 75 ans ont reçu au moins une dose de vaccin
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Sur la semaine en cours, on détecte 21 756 cas chaque jour, en hausse de 9,2% par rapport à la semaine dernière. Le nombre de cas publié aujourd’hui (prélèvements de lundi) est en légère hausse par rapport au lundi précédent (+2,3%).
Hier et avant-hier on avait deux légères baisses hebdomadaires. Aujourd’hui on a une légère hausse.
Le taux de positivité baisse, mais seulement légèrement. Malgré un dépistage record qui ne cesse de croître (qui participe probablement à faire baisser le taux de positivité quelle que soit l’activité épidémique).
Le nombre de cas publié aujourd’hui (qui correspond aux prélèvements de dimanche) est plus faible que celui de la semaine précédente. Baisse pour le deuxième jour consécutif donc. En moyenne sur une semaine, le nombre de cas continue de progresser (+17%).
L’épidémie ne progresse plus. Le taux de croissance est au plus bas depuis plus d’un mois (et même négatif sur les deux dernières journées).
600 admissions chaque jour à l’hôpital, en hausse de 65% sur une semaine.
En moyenne sur sept jours, le nombre de cas augmente toujours (+18%). Mais pour la première fois depuis le 26 juin, le nombre de nouveaux cas publié aujourd’hui est plus faible que le chiffre publié il y a une semaine (-1,2%).
Ici on voit la petite baisse que je viens d’évoquer (la barre est négative, vers le bas).
Il semblerait que le taux de positivité commence à baisser.
La baisse du nombre de cas se poursuit dans neuf départements, et plus particulièrement dans les Pyrénées-Orientales, en Charente-Maritime et à Paris.
Le dépistage n’augmente plus dans ces départements, voire diminue. Mais cela n’empêche pas le taux de positivité de baisser. Cela signifie que le nombre de cas baisse plus vite que le dépistage, l’épidémie perd du terrain dans ces territoires.
Les admissions à l’hôpital sont toujours en hausse dans ces départements, c’est attendu, elles sont décalées d’au moins une semaine sur l’activité épidémique.
Le nombre de cas continue de progresser, mais de moins en moins vite. La hausse hebdomadaire est actuellement de 34% (ce qui reste relativement élevé).
Jeudi dernier (le nombre de cas est remonté à J+3), le nombre de cas était supérieur de 16% au jeudi précédent. Un taux de croissance beaucoup plus faible que ce qu’on observait il y a une dizaine de jours.
Par contre à l’hôpital ça augmente plus fortement : +92% d’admissions en une semaine (quasiment un doublement). C’était attendu, cela reflète la forte hausse des cas de la semaine précédente.