Voici les contre-indications à la vaccination imaginées par la DGS. Mais la Haute autorité de Santé en a déconseillées 2 (les essais cliniques et l’état clinique particulier du patient) et elle a recommandé des précisions pour les autres. #Covid19
Le premier tableau du haut porte sur les contre-indications définitives. La HAS recommandait d'ajouter les "personnes ayant déjà présenté des épisodes de syndrome de fuite capillaire" ou "un syndrome thrombotique et thrombocytopénique suite à la vaccination par AstraZeneca".
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La HAS recommandait aussi de supprimer le syndrome de Kawasaki de la liste, ainsi que d'apporter des précisions plutôt mineures aux formulations utilisées.
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La HAS a été suivie sur tous ces points, sauf pour les personnes présentant "un syndrome thrombotique et thrombocytopénique suite à la vaccination par AstraZeneca" et qui ne figurent pas dans le décret d'application de la nouvelle loi,paru ce dimanche.
On passe au second tableau, comportant les contre-indications "temporaires". La HAS recommandait d'apporter de simples précisions de syntaxe pour les anticorps et les myocardites et péricardites et elle a, logiquement, été suivie sur ces points.
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En revanche, elle déconseillait d'instaurer une contre-indication pour les "patients inclus dans des essais cliniques (avec des anticorps monoclonaux ou recevant un candidat vaccin" : ils "ne constituent pas une contre-indication médicale à la vaccination mais une exemption".
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Même chose pour la "recommandation compte-tenu de l’état clinique d’un patient", qui aurait notamment pu concerner des Covid long : elle concerne "des personnes qui, à ce titre, bénéficieraient d’une protection vaccinale contre les formes graves".
Là aussi, la HAS a été suivie et ces deux éléments ne figurent pas dans le décret d'application de la loi. Les personnes en question n'auront donc pas d'autre choix que de se faire vacciner ou tester afin de disposer du pass sanitaire.
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Ce décret apporte aussi plusieurs précisions pratiques concernant l'application du pass sanitaire, à découvrir dans le fil ci-dessous et, en détails, dans cet article ⏩leparisien.fr/societe/pass-s…
La double annonce par Olivier Véran (délai de 72h pour un test et autotests) repose sur un avis du Conseil scientifique, paru ce dimanche: "Ces 2 mesures reposent sur des connaissances scientifiques limitées, mais [doivent] répondre aux difficultés logistiques anticipées".
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Cette double mesure (annoncée hier soir dans @le_Parisien) fait beaucoup réagir. Olivier Véran indiquait l'avoir décidée "après consultation des autorités scientifiques", sans plus de précisions.
Dans son avis (transmis au gouvernement le jeudi 5 août), le Conseil scientifique souligne aussi que la couverture vaccinale actuelle (un peu plus d'un Français sur 2 complètement vacciné) "est insuffisante pour limiter seul cette 4ème vague liée au variant Delta".
Tests, hôpital, centres commerciaux, contre-indications médicales... Comme attendu, un décret paru ce dimanche au Journal officiel apporte des précisions concernant l'élargissement du #PassSanitaire à partir de demain. A dérouler ⤵️
Tout d'abord, et comme l'a annoncé Olivier Véran dans @le_Parisien, le délai de réalisation d'un test pour les non vaccinés sera de 72h (et non de 48h), et un autotest sera aussi valable.
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Ici, figure la liste des lieux et des services de restauration qui ne seront pas concernés par le pass sanitaire : restauration collective, restaurants routiers, etc.
Olivier Véran annonce des aménagements pour permettre aux non vaccinés de disposer du pass sanitaire :
•Un test négatif devra avoir réalisé 72h (et non plus 48h) avant le jour J.
•En plus d'un test PCR ou antigénique, un autotest sera aussi valable.
1/⤵️ leparisien.fr/politique/le-p…
Ah bah tiens, l'autotest a déjà été ajouté sur la page officielle du gouvernement consacrée au pass sanitaire (à droite, une capture d'écran de la page telle qu'elle s'affichait avant-hier). En revanche, il est toujours indiqué 48 heures. gouvernement.fr/info-coronavir…
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Concernant le pass sanitaire pour accéder à l'hôpital, Olivier Véran précise qu'il ne sera pas demandé pour aller chez un médecin généraliste et qu'il ne "devra en aucun cas être un frein pour accéder à des soins utiles et urgents" à l'hôpital.
• 664 patients #Covid19 sont hospitalisés chaque jour (en moyenne glissante) en France, six fois plus qu'il y a un mois.
• La pression hospitalière est toujours de plus en plus forte, mais la croissance des entrées quotidiennes ralentit (+38,5% en une semaine).
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Même tendance pour le nombre de patients admis quotidiennement en soins critiques : 152 par jour, +50% en une semaine.
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Le nombre de patients #Covid19 hospitalisés en soins critiques augmente logiquement assez nettement et repasse au-dessus de 1 500, tout en restant encore très loin des pics des vagues précédentes.
L'augmentation par rapport au même jour de la semaine précédente continue (logiquement) de diminuer, elle s'établit désormais à 4,9%.
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L'incidence a surtout diminué ces derniers jours chez les jeunes adultes de 20 à 29 ans (en partant de très haut), alors que les courbes ont continué de légèrement grimper dans les autres tranches d'âge.
La vaccination est-elle (aussi) efficace contre les réinfections? Oui, d'après une étude des autorités sanitaires américaines : une personne non vaccinée aurait 2,34 fois plus de risques d'être réinfectée qu'une personne complètement vaccinée. #Covid19
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246 résidents du Kentucky infectés en 2020 (en grande majorité entre octobre et décembre) puis réinfectés entre mai et juin 2021 ont été étudiés, avec un groupe contrôle de 492 personnes. La part de complètement vaccinés était, respectivement, de 20,3% et 34,3%.
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Les résultats établissent donc que les habitants qui n'étaient pas vaccinés avaient 2,34 fois plus de risques de réinfection que ceux complètement vaccinés, alors que la vaccination partielle "n'était pas significativement associée à la réinfection".