Depuis des décennies, les chercheurs tentaient de comprendre les circonstances du décès de Séqénenrê Taa II, dont la momie porte des marques visibles de blessures au visage.
Séqénenrê Taa II, dit "le Courageux", a régné sur
l'Égypte près de 1 600 ans avant notre ère, durant la XVIIe dynastie (-1625 à -1549).
Il a, notamment, dirigé les troupes égyptiennes contre les envahisseurs asiatiques Hyksôs, premiers étrangers à avoir conquis le Delta du Nil.
S'appuyant, notamment, sur des images en trois
dimensions, l'étude, menée par l'archéologue Zahi Hawass et le professeur de radiologie à l'Université du Caire Sahar Salim, suggère que le pharaon a été tué par ses adversaires lors d'une "cérémonie d'exécution", après avoir été fait prisonnier sur le champ de bataille,
l'analyse d'armes (hache, lance et poignards), ayant appartenu aux Hyksôs, a indiqué une "compatibilité avec les blessures" de la momie.
De nouvelles contusions, dissimulées par le travail des embaumeurs, ont également été découvertes. Grâce à l'étude attentive de l'ossature de
Séqénenrê Taa II, les scientifiques égyptiens ont estimé que le pharaon "était âgé de 40 ans au moment de son décès". #culture #Egypte
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Il y a bien longtemps,
dans le règne des animaux, un mouton passait et a vu un lion pleurer à l'intérieur d'une cage. Le lion supplia le mouton de le sauver, en lui promettant de ne pas le dévorer par la suite. Mais, celui-ci, très méfiant, refusa.
Après maintes supplications
du lion, le mouton finit par lui ouvrir la cage.
Mais, le lion, une fois libéré et ayant trop faim, se jeta sur le mouton pour le dévorer.
Le mouton lui rappela, en vain, sa promesse.
Ils étaient là, en train de se disputer, quand d'autres animaux, de passage dans la zone, ont
cherché à savoir ce qui était à l'origine du litige.
Le lion et le mouton ont, chacun, raconté leur version des faits. Mais, tous les animaux, ayant peur du lion et soucieux de gagner des faveurs auprès de lui, ont pris parti pour lui, à l'exception de la tortue, qui a prétendu
Langue orale typiquement populaire, l'argot a suscité dès le XIXe siècle la curiosité des journaux, qui se sont plu à en reproduire les meilleures expressions et à en décortiquer les mécanismes.
« L'argot, c'est le verbe devenu
forçat », disait Victor Hugo. Comme l'auteur des Misérables, les journaux français affichent dès le XIX siècle une véritable fascination pour l'argot, ce langage populaire aux expressions riches et imagées, souvent associé aux criminels, mais dont l'usage dépasse en réalité
largement le simple milieu des gouapes, des marlous, des arsouilles et autres fleurs de bagne.
En 1856, le dramaturge Albert Monnier se risque dans Le Figaro à une « excursion dans l'argot ». De cette virée en zone louche, il ramène quelques perles :
un malheur frappa un village situé au pied d'une montagne. Cela créa la paranoïa au sein de la population qui, du fait de cette maladie étrange, vivait dans une une promiscuité totale. Alors, le roi fit appel à son plus grand guérisseur dans l'optique de
trouver une solution. Le soir venu, le grand guérisseur se présenta devant le roi et ses conseillers. Il leur rassurait que la solution était à sa portée et qu'il y avait plus de peur que de mal.
Ainsi, tous les malades furent convoqué le lendemain, ils se réunirent tous dans
la cour royale où le grand guérisseur avait entrepris d'allumer un feu geant dans lequel il y introduisit des écorces d'arbre. Après multiples incantations, il invita les malades à danser au tour du feu. Chose faite avec plaisir par ceux qui étaient à la quête d'une guérison.
Une nuit le Roi voit dans un rêve que toutes ses dents sont tombées.
Le lendemain il alla à la recherche d'un savant qui pourrait lui traduire ce rêve.
La première personne lui dit que toute sa famille s'éteindra devant ses yeux .
Il ordonna à ses gardes corps d' égorger
ce traducteur.
Il fit appel à un second qui lui dit que son rêve signifie qu' il sera témoin de la mort de tous ses parents..
Mécontent du traducteur,il ordonna à ses gardes de tuer ce dernier.
Il fit appel à un troisième traducteur qui lui dit :
Oh mon Roi , vous avez fait un très bon rêve ,vous serez la personne qui aura la vie la plus longue dans toute la famille .
Le Roi se mit à rire ,il est heureux .
Pourtant tous les trois traducteurs ont dit la même chose
Les Olmèques, matrice de la Méso-Amérique (Golfe du Mexique, 2500 av. J.-C. - 500 av. J.-C.)
En plaçant la figure humaine au cœur de son inspiration, l'iconographie de cette civilisation nous a plutôt bien informés sur son type physique. On les imagine ornés de peintures
faciales, les yeux bridés, les lèvres charnues et le nez probablement épaté. L'obésité était par ailleurs considérée comme le signe d'un statut social élevé. Les têtes colossales de Tres Zapotes, La Venta et San Lorenzo, fabriquées à partir de blocs monolithiques lourds de
plusieurs tonnes, sont devenus les plus célèbres représentantes de l'art olmèque. Malheureusement, les stucs et les peintures qui les recouvraient ont disparu, ce qui laisse la porte ouverte à diverses interprétations. Certains y voient des portraits de chefs, d'autres des
Un homme a deux épouses.
Il les aime profondément.
Dans sa religion,la polygamie est autorisée mais à une condition.
Si tu donne à la première,il faut donner forcément la même chose à la seconde.
Quand tu dors deux nuits chez l'une , il faut dormir deux nuits chez l'autre.
Cet
homme est heureux car ses femmes vivent en parfaite harmonie.
La seconde épouse se permet même d'appeler la première grande sœur.
Les enfants de la première sont plus proches de la seconde que de leur mère.,vice versa..
Tout baigne dans ce foyer jusqu'au jour où Dieu décida de
tout basculer.
Les deux épouses meurent dans un accident.
Bien qu'abattu,le mari amène leurs corps à la maison,il appelle deux Laveuses de cadavres,
On doit les laver au même moment,les transporter au cimetière au même moment et les enterrér au même moment.
Pour le mari ,