Thread by @MartinFierro769

1/n Un nouveau rapport danois, le Danemark où Omicron est très majoritaire, traduit en graphiques qui montre que le bénéfice en termes d'hospit attendu des boosters (vert) pour le groupe de non vaccinés (orange) diminue ou disparaît pr les groupes les + jeunes.

https://twitter.com/TracyBethHoeg/status/1482492224449368066

2/n On ne parle ici que de bénéfices en termes de risque observable d'hospitalisation, on ne parle pas de rapport bénéfice-risques, les risques des vaccins restant constants pr une pop non infectée mais augmentant au fur et à mesure qu'une tranche d'âge est infectée.

3/n Comme je l'avais déjà dit le risque d'hospitalisation n'est pas non plus un équivalent de degré de sévérité car avec Omicron la part des hospits incidentes est très augmentée et les séjours sont bp + courts, signe de faible sévérité.

4/n D'autre part en termes d'infection les plus de 40 ans ont plus de risques d'être infectés si vaccinés (vert et bleu).

https://mobile.twitter.com/TracyBethHoeg/status/1478777266532274186

5/n Cette différence pourrait être due à la différence dans la part des personnes qui se testent entre vaccinés et non vaccinés. C'est une hypothèse.

https://mobile.twitter.com/KT_Baek/status/1478482421138046979

6/n La vaccination est plus "permissive" pour Omicron (les vaccinés sont plus facilement infectés par Omicron que par Delta).
L'infection naturelle protège très bien contre Omicron, bien mieux que la vaccination et contre d'autres variants.

https://mobile.twitter.com/MartinFierro769/status/1482414726651027457

7/n Cela veut dire que les bénéfices du vaccin pour un groupe d'âge, à risque ou pour un individu vont dépendre: 1- de son risque de départ (celui-ci dépend de l'âge et des comorbidités) 2- de la part d'Omicron dans les infections, plus Omicron circule, plus les bénéfices>

8/n > de la vaccination sont minces ou peuvent devenir inexistants pour un groupe ou pour la population en moyenne (les gps les moins à risque sont ceux dont le rapport bénéf-risque se renverse en premier)

9/n 3- de l'état immunitaire de la personne, ou du groupe ou de l'ensemble de la population, car les personnes déjà infectée ne tireront pas de bénéfice d'une vaccination en revanche leurs risques sont augmentés.

10/n Cela dément le mantra vacinaliste, "plus on vaccine, mieux c'est" car le bénéfice de la vaccination est relatif à un contexte, à un niveau de risque et à un état immunitaire des individus et de la population.

11/11 On en revient à la seule position raisonnable et scientifiquement fondée qui est de vacciner uniquement les personnes à risque élevé non primo-infectées.
L'antithèse de la position autoritairement imposée par le gouvt.