"Le SARS-CoV-2 provoque chaque année plusieurs pics et plusieurs vagues épidémiques. Pour la grippe, on a parfois deux pics, avec les souches A puis B, mais sans retomber entre-temps à de bas niveaux et toujours entre fin décembre et le mois d’avril", décrit @MT_Sofonea.
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Première explication : le SARS-CoV-2 est plus contagieux, à la base, que les virus grippaux. Du coup le "frein estival" à lui seul (on est moins souvent en lieu clos, propice à la transmission) ne suffit pas à empêcher une reprise épidémique en été.
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Après les quatre concerts de Taylor Swift à Paris, de nombreux fans ont eu un syndrome grippal... avec parfois un test #Covid positif : "Tous les gens que je connais sont tombés malades", mais "ça valait bien cinq Covid d’affilée !". ⤵️ @le_Parisien
Alex, 29 ans, est venue de Lille pour le 3e show. "Le lundi d’après, j’ai commencé à tousser. Mercredi, ça n’allait pas du tout, je ne pouvais rester debout plus de 5 minutes".
Elle voit sur Insta des gens parler de test Covid positif et va au labo. Verdict : Covidée.
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"On n’entendait plus trop parler du Covid mais, avec le recul, on se dit que c’est logique vu qu’on était en lieu fermé, avec 45 000 personnes par soir… Si un virus circule, ça va très vite", témoigne une autre de ces "swifties".
🔴 Le Conseil constitutionnel juge conformes à la Constitution l'article de loi sanctionnant toute incitation à abandonner ou ne pas suivre un traitement et celui sanctionnant le fait de placer ou maintenir une personne dans un état de sujétion psychologique ou physique. ⤵️
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S'agissant de l'incitation à abandonner ou ne pas suivre un traitement, qui avait fait tant parlé lors des débats parlementaires (👇), les élus requérants y voient notamment "une atteinte (excessive) à la liberté d’expression et de communication".
Mais le Conseil constitutionnel estime qu'il y a assez de garde-fous dans la loi. Par exemple, cet abandon/abstention "doit être présenté comme bénéfique pour la santé de la personne concernée" et la personne victime doit être "atteinte d'une pathologie".
👶 Le #Beyfortus aurait permis d'éviter 5 800 hospitalisations de bébés après passage aux urgences pour #bronchiolite à VRS cette saison, soit près d'un quart du nombre total d'hospitalisations attendu sans ce traitement.
On disposait des données des essais cliniques, mais il restait à établir l'efficacité en vie réelle de ce traitement préventif. C'était d'autant plus attendu qu'il y avait des questionnements légitimes. 👇
La bonne question n'est pas "y aura-t-il une nouvelle pandémie", mais "quand" et surtout "avec quel virus ?" Impossible à prédire... mais on peut s’y préparer.
Le point sur les pathogènes les plus surveillés, "en fonction du mode transmission". ⤵️
1) Les virus à transmission respiratoire (grippe, SRAS, MERS, etc.)
Il suffit que l’un d’eux acquière une ou plusieurs mutations dans son génome pour lui permettre de se diffuser plus facilement entre humains, non immunisés.
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"Une pandémie grippale est la seule dont on sait qu’elle arrivera certainement".
Et il pourrait s'agit d'un virus de grippe aviaire : "On les surveille comme le lait sur le feu, car il peut y avoir des franchissements de barrière d’espèce à mesure que le virus mute."
😧 Alerte sur la santé mentale des jeunes filles, "l’écart se creuse" avec les garçons.
La part d’élèves de collège se disant en "excellente santé" a beaucoup plus chuté chez les filles... par ailleurs 3 fois plus souvent à risque de dépression. ⤵️
Ces résultats publiés ce mardi par @SantePubliqueFr proviennent de la dernière enquête EnClass, réalisée en 2022 auprès d'environ 10 000 collégiens et lycéens.
Ces ados devaient remplir un très large questionnaire.
Le fait que les filles apparaissent en moins bonne santé mentale que les garçons au collège/lycée est visible pour tous les indicateurs analysés, et on voit que cet écart apparaît dès la 6e puis se creuse.