"le pic des PIMS est survenu une semaine avant le pic des hospits et la décroissance semble.. suivre celle des hospits.
=> Ce constat permet de supposer un IMPACT DIFFERENT DU VARIANT OMICRON.. sur l’épidémiologie des PIMS"
2/4
Le 17/02/22, SPF constate que la vague de Pims vient "essentiellement" de la vague Delta. Cette affirmation concerne la semaine 6.
Après la semaine 7, ça baisse fortement.
Il n’y a donc pas de vague de PIMS concernant OMICRON. 3/4
L’insuline analogue #Lantus de #Sanofi pour Diabète 1 ET 2
(Ouverture d’un énorme marché)
=> «Ils ont eu un génie marketing extraordinaire. Ils ont fait croire qu’elle était + lente que les autres, ce qui était faux. Il y a toujours eu des insulines qui duraient + ou - 24h»
2/11
Toujours sur #Lantus et #Sanofi :
attaques médiatiques contre des chercheurs qui prouvent que la #Lantus n’est pas superieure. (anti innovation, contre l’intérêt des patients notamment des associations de malades en lien aux labos…)
« En France, au moins 4 personnes sont mortes DES SUITES d’un traitement à l’HCQ »
=> FAKE
Selon les centres de pharmaco vigilance de Dijon et Nice :
3 "PLAUSIBLEMENT lié"
et 1 "douteux" ("AUTRE CAUSE VRAISEMBLABLE").
Causalité NON ÉTABLIE.
2/12
Surtout qu’en 1ere vague
=> Covid peu connu (facteur de confusion)
=> matraquage médiatique /toxicité
Experts anti HCQ avec double discours
=> signalements pour l’HCQ servant de preuve
=> censurent les signalements /vax, en rappelant l’absence de causalité établie
Pourquoi?
3/12
"Nous avons été le SEUL PAYS de l’UE à appliquer avec autant de rigueur et de ZÈLE cette obligation. Dans bcp de pays, comme la Suisse, il y a eu un encouragement des soignants à se vacciner. En France, il y a eu des records de suspensions et de radiations (et de démissions)"
2/3
"Compte tenu de ce que l’on sait aujourd’hui de l’EFFICACITÉ de ce vaccin… je ne vois pas pourquoi la France se paye la fantaisie de ne pas abroger cette loi.
Cette obligation a eu de telles CONSÉQUENCES qu’il revient au LÉGISLATEUR de se réapproprier cette décision"
3/3
«L’idée est de transférer la prise en charge financière du RISQUE résultant de la mise sur le marché d’un NOUVEAU MÉDICAMENT, compte tenu des CIRCONSTANCES PARTICULIÈRES et de l’URGENCE liées au Covid-19. »
«Je vis cette situation comme une grande violence, violence qui a eu des conséquences sur ma santé. Jamais de ma vie je n’aurais imaginé vivre une telle expérience traumatisante, une telle maltraitance. Je vis sur un petit pécule» 1/7
Infirmiere qui a eu le Covid (injustement suspendue):
"C’est une situation ubuesque. Psychologiquement, c’est très difficile à vivre. Je me sens paria, et je suis très angoissée pour mon avenir et celui de mon enfant: vais-je arriver à financer la fin de ses études ?"
2/7
Une aide soignante
"Je suis endettée. Je n’arrive même plus à passer en voiture devant l’hôpital, traumatisée par l’inhumanité… abandonnée, laissée sur le bord de la route, sans rien. Quand tous me félicitaient de mes qualités professionnelles… C’est dur, cruel, injuste."
3/7