Tandis que la gauche s’enfonce dans un sinistre aveuglement face aux conséquences humaines et sociales du #COVID19, la presse financière continue quant à elle de s’alarmer du nombre de personnes rendues incapables de travailler à cause du #covidlong ⬇️
C’est désormais tous les jours que le magazine Forbes publie le témoignage de personnes souffrant de problèmes de mémoire et de concentration, (brain fog) particulièrement invalidants.
C’est Forbes qui explique particulièrement bien qui si ces personnes ont pu jusque-là se reposer pour «gérer» leurs problèmes cognitifs, les entreprises souhaitent désormais les voir de retour.
C’est Forbes qui mentionne la nécessité absolue pour les malades covid long de se reposer (pacing), y compris sur le plan intellectuel.
Et qui souligne donc leur inquiétude grandissante à l’idée de devoir reprendre un travail à temps complet.
C’est Forbes qui évoque les inégalités entre travailleurs ayant la chance de pouvoir travailler de chez eux et les autres qui n’ont malheureusement pas ce choix.
C’est Forbes qui parle de la possible catastrophe pour certains secteurs économiques et rappelle le nombre astronautique de 14 millions de travailleurs souffrant de #covidlong aux Etats-Unis.
C’est Forbes qui s’inquiète du manque de normes et de protocoles pour les employeurs.
C’est Forbes qui s’inquiète du manque de programme de management national.
C’est Forbes enfin qui souligne les très nombreuses études actuelles faisant état d’un lien possible entre les infections #COVID19 et les risques futurs de maladies neuro-dégénératives.
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Juillet 1984 : un psychiatre New-Yorkais dénommé Casper G. Schmidt, et que l’histoire a oublié depuis, écrit un papier : «The Group-Fantasy Origins of AIDS» où il décrit le #VIH comme une «hystérie collective». ⬇️
Novembre 2021 : un autre psychiatre, français cette fois, Cédric Lemogne, publie une étude dans @@JAMAInternalMed, étude louée par @MartinHirsch comme une bien belle étude, étude cherchant à psychiatriser le #CovidLong