Si un individu fait une demande mûrement réfléchi (et sans être influencé par quiconque) d'euthanasie en raison d'une maladie incurable physique ou psychique, je ne suis pas contre et je respecte son choix.
J'espère juste qu' en Europe, la Commission d'experts ferra bien son travail de manière à s'assurer que l'individu, qui fait la demande d'euthanasie, ne subit pas d'emprise psychologique le forçant à prendre cette décision mortelle.
En Europe, les demandes d'euthanasie sont bien encadrées par les Commissions d'experts pour éviter des dérives. Mais je vois qu'au Canada, les contrôles ne sont pas aussi stricts... alliancevita.org/2022/10/cas-li…
Le site alliancevita.org semblerait contre les demandes d'euthanasie mais c'est ce genre de site qui serait les premiers à dénoncer les dérives; donc, ce n'est pas inutile d'y prêter un peu attention, même s'il peut y avoir manque de neutralité sur le sujet.
Au Canada, la législation, concernant #euthanasie ou suicide assisté, a des condition précises d'accès se limitant aux cas incurables de maladie physique. Mais ce sera aussi accessibles aux malades psychiques incurables dès le 17/03/2023. canada.ca/fr/sante-canad…
Donc, au Canada, en 2023, le suicide assisté, l'euthanasie seront accessibles aux malades psychiques, institutionalisés ou pas, aux prisonniers, qui en font la demande en personne ou par l'intermédiaire d'un tiers de confiance. Témoignage d'Ellen Cohen : theglobeandmail.com/opinion/articl…
En 2016, Louis-André Richard, Professeur d'université au Québec s'inquiétait que ce projet de loi de suicide assisté irait "beaucoup plus loin". Insuffisance d'aide social, médical soulageant malades, handicapés. Négligence qui les décideraient à en finir lefigaro.fr/international/…
Canada : homme de 54 ans, risquant d'être à la rue et SDF, demande l'#euthanasie (acceptée par un médecin) , ne recevant pas d'aide sociale pour logement, souffrant de grande douleur physique et dépressif. De quoi s'interroger sur dérive
Au Canada, des individus dans la pauvreté (augmentant les souffrances psychiques) comme cet homme de 54 ans, sont découragés par manque d'aide sociale, médicale et finissent par choisir l'#euthanasie possible si accord de 2 médecins. thepostmillennial.com/ontario-man-ap…
Canada: Ellen Cohen soucieuse du risque que malades psychiques institutionnalisés ou pas, forcés aux soins, vulnérables, seraient aussi "poussés par qq proches, soignants" à choisir "aide à mourir" si ni aide médicale, ni soutien social pour vivre mieux. theglobeandmail.com/opinion/articl…
#euthanasie ou suicide assisté ne peut pas être proposé parce qu'il y a "un manque de ressources" pour soigner ou aider à trouver un logement. Or, au Canada, il semblerait que c'est le cas. Homme de 54 ans, dépressif, douleur physique, en pauvreté.
Il semblerait le Canada est allé "beaucoup plus loin" que l'Europe, concernant les conditions d'accès à l'euthanasie ou au suicide assisté. Respectons le choix de toute personne qui en fait la demande. Mais on est droit de s'interroger sur les risques de "vices de procédure".
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"Je me sens comme un fantôme qui ne ressent plus rien. Il y avait peut-être d'autres solutions que les médicaments."
Pour mettre fin à ses souffrances psychiques, Shanti De Corte a choisi l'#euthanasie. Morte à 23 ans. Paix à son âme. #sadworld
Mais un passage de cet article pose question : une thérapeute aurait proposé une thérapie mais la psychiatre de Shanti De Corte a préféré décliner l'offre. Pour rappel, l'#euthanasie est proposée quand tout a été essayé médicalement. Lire cet extrait : rtbf.be/article/shanti…
Des psys , sensés soigner la souffrance psychique, trouvent normal de proposer l'#euthanasie comme solution médicale finale aux patients les +souffrants qu'ils n'encouragent plus à vivre, les abandonnant à la mort tout en les convainquant qu'il n'y a plus d'issue possible.
1. L'article de Cécile Morin, membre du CLHEE (Collectif Lutte et Handicaps pour l'Égalité et l'Émancipation), du 11/3/2022 dans Médiapart, alerte sur les pénibles conditions de #travail des personnes en situation de lourd #handicap dans les #ESAT. blogs.mediapart.fr/morin-cecile/b…
2. Cécile Morin y parle de l'enquête (durant 6 ans) du journaliste Thibault Petit sur les #ESAT. Il a écrit un livre à ce sujet titré "Handicap à vendre". #handicap#travail babelio.com/livres/Petit-H…
3. Dans son livre "Handicap à vendre", couverture avec la citation "Resteriez-vous sept heures à trier des vis ? eux, oui ! " d'un directeur d'#ESAT , Thibault Petit y dénonce des mauvais traitements subis par les handicapé(e)s dans leur #travail. blogs.mediapart.fr/morin-cecile/b…
1. Durant ces 2 ans et demi de crise sanitaire mondiale, les médias ont rarement parlé de la manière dont se faisait le "tri des patients" malades du Covid aux urgences des hôpitaux. Cela semble être un sujet "tabou".
2. On espère tous que, lors de la prise en charge, selon le serment d'Hippocrate prêté par tous les médecins, ils soigneraient bien tous les malades de manière équitable. Et si un choix cornélien doit se faire, quelles vies leur sembleraient plus valables d'être sauver ?
3. Sur le tard, les infos finissent par se diffuser "à bruit", n'apparaissant pas en couverture des journaux, tant ce sujet de "tri des patients" suppose que les médecins décident de ne pas sauver certains patients. Douloureux pour des soignants idéalistes, moins pour d'autres...
1. Il y a certaines vérités, celles s'éloignant du "communément admis" ou du "politiquement correct", qui sont réduits à néant par les agissements de trolls de la bienséance "no fake", ceux-ci ridiculisant d'honnêtes auteur(e)s les faisant passer pour ""irrationnel(le)s".
2. Au sujet des agissements des trolls de la bienséance "no fake", càd #nofakemed , cela s'est vu particulièrement au cours des deux ans de cette pandémie COVID, maintenant tous reconvertis dans la lutte contre les "poutinolâtres".
3. C'est une tendance "binaire" dans le jugement : ceux qui suivent sans se poser de questions les directives gouvernementales occidentales, et ceux qui s'y opposent... nommés "complotistes" par ces trolls de bienséance #nofakemed ou "no fake" incapables d'y voir des nuances.
Cela semble derrière nous à présent, on a retrouvé la vie d'avant ou presque : les restrictions "sanitaires" seront remplacée par celles "énergétiques". Préparons nos couvertures pour l'hiver...
Tout ce drame mondial, je me demande si tout cela aurait pu être éviter si l'#OMS ou #WHO avait pris des précautions sanitaires strictes à temps. C'est-à dire...