Vous apprécierez le nom de la prétendue formation donnée aux salariés de la société de "portage" mandatée par Paris Habitat : "la manutention des personnes à mobilité réduite sans danger."
"La manutention" : les locataires handicapés ne sont pas des êtres humains apparemment...
Une "formation" de "portage' ni faite ni à faire...
.@Paris_Habitat a choisi de confier "le portage" à la société la plus cheap. Ladite société ne dépense pas des masses en formation pour ses salariés mais vit de l'activité de "portage" (qui rapporte quand même pas mal...)
Qui se retrouve en danger ? Les locataires handicapés.
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Si je dois renoncer ou annuler ma présence pour cette raison, je rendrais le motif public avec le nom de l'évènement (ou autre) puisqu'il n'y a que la "shame" qui vous fait peur et que vous comprenez.
Par ailleurs, pour prévoir toutes les configurations : si pour une raison ou une autre, je me sens obligée de me déplacer et de venir, je commencerais mon intervention par un "point Covid et égoïsme des valides."
2021 : Je prétends, à grand renfort de coups de téléphone, mon grand intérêt pour le handicap et les questions de validisme pour tenter d’obtenir le soutien de militantes handicapées à ma campagne pour les primaires de mon parti.
2022 : Je tweete sur « la fin du #Covid » avec tout le mépris pour les personnes actuellement malades et les personnes à risques malades/handicapés que cela implique.
En tant que militants (je ne peux m'exprimer qu'à ce titre) c'est déjà ce que nous faisons avec nos comptes sur les RS, avec nos blogs et avec nos écrits.
Néanmoins, nous savons également que la caisse de résonance n'est pas la même. Or, notre but est aussi de convaincre et de rendre notre propos accessible à un maximum de personne.
Avec la séquence de TPMP/Bolloré on en revient toujours au vieux débat sans fin du « quelle stratégie médiatique » lorsque l’on fait de la politique (même si là il y a des questions supplémentaires qui se posent), milite ou que l’on défend des idées.
Disons plus généralement « quelle stratégie médiatique » quand on fait du plaidoyer comme disent les américains.
Les arbitrages ne sont pas toujours simples, je le sais par expérience. On peut toujours se planter. Je ne vous raconte pas l’état dans lequel ça me met quand ça m’arrive, malgré ma (modeste) expérience justement et la méfiance qui est la mienne.
Ce que je trouve incroyable dans l'histoire du #Macron qui ne dort pas, c'est que c'est supposé le valoriser, en faire un surhomme, un modèle même sur lequel il faudrait se caler.
ça banalise une situation (et ses répercussions professionnelles) qui n'a rien de "normale" ni de souhaitable pour personne.
En plus de la question des règles applicables en matière de protection de la santé en milieu professionnel, il y a un fait scientifiquement prouvé : quand tu ne dors pas ou trop peu, au bout d'un moment... tu pètes un câble !