J’ai lu ces deux livres, sortis en 1932, il y a quelques mois et ils sont intéressants pour le rôle qu’ils ont certainement joué dans la construction des représentations sur les objets et leur obsolescence. #industrie #imaginaire (1/4) 
B. London parle de la nécessité de renouveler les biens d’usage plus fréquemment pour soutenir l’activité. Il contribue à faire entrer le mot #obsolescence dans le débat et surtout la voit comme une réponse au chômage de masse et un levier d’émancipation des classes populaires.
Dans la dystopie d’A. Huxley, on inculque aux enfants, à travers l’hypnopédie qu’il vaut mieux jeter que réparer les objets (Ending is better that mending). Notons que l’obsolescence programmée comme le concept de technocratie ont été développés pendant la Grande Dépression (3/4)
L’intérêt à travers ces livres est de voir comme la littérature et autres joue un rôle dans la construction de notre #imaginaire et de nos représentations et donc la nécessité d’avoir des récits forts et incarnés pour soutenir les évolutions et les virages à prendre… (4/4)
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