Je suis contre la censure.
Mais il existe un moment où l'absence de tout cadre à une liberté, ne profite plus qu'aux ennemis de cette liberté.
Et notre refus d'agir n'est plus une passivité coupable, mais une complicité.
Mais il existe un moment où l'absence de tout cadre à une liberté, ne profite plus qu'aux ennemis de cette liberté.
Et notre refus d'agir n'est plus une passivité coupable, mais une complicité.
2/ car tendre complaisamment le micro à des relais d'un discours de haine et d'hostilité contre nous, alors qu'on ne cesse de répéter que nous vivons une guerre informationnelle, c'est pas seulement une "mauvaise habitude" ou "le prix à payer pour être libre".
C'est une faute.
C'est une faute.
3/ Imaginez seulement si aux lendemains des attaques de janvier ou novembre 2015, on avait interviewé des chefs djihadistes ?
Déjà qu'on a mis des mois à faire comprendre qu'il ne fallait pas ouvrir les JT avec les vidéos & visuels d'Amaq #JeMeComprends
Déjà qu'on a mis des mois à faire comprendre qu'il ne fallait pas ouvrir les JT avec les vidéos & visuels d'Amaq #JeMeComprends
4/ Nous sommes, que nous le voulions ou non, plongés dans une guerre informationnelle.
Jusqu'à quand déciderons-nous de rester passif et de n'être pour nos ennemis (tels qu'ils se déclarent eux-mêmes) qu'un terrain de manoeuvres pour nous affaiblir et nous diviser ?
Jusqu'à quand déciderons-nous de rester passif et de n'être pour nos ennemis (tels qu'ils se déclarent eux-mêmes) qu'un terrain de manoeuvres pour nous affaiblir et nous diviser ?
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