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Cette journée sera marquée par les dépositions des deux présidents d'associations de victimes des attentats: @Arthur_Dvx pour @lifeforparis et Philippe Duperron pour @13onze15 #13Novembre2015
Selon toute vraisemblance, @Benzema se sera pas présent à ce procès, qui doit durer trois jours. Son entourage met en avant le #Clasico contre le FC Barcelone de dimanche pour expliquer cette absence.
16 auditions au moins sont programmées aujourd'hui. L'audience doit débuter à 12h30, mais dans les faits elle commence souvent plutôt vers 13h.
C'est le Pr Bertrand Ludes, directeur de l'institut de médecine légale de Paris (après avoir dirigé celui de Strasbourg) qui est le premier témoin de la journée.
L'ex-chargé de mission d'Emmanuel Macron est accusé d’avoir brutalisé des manifestants le 1er mai 2018 et d’avoir utilisé des passeports diplomatiques alors qu’il n’y était pas autorisé. Il comparaît aux côtés de trois autres prévenus.
Ce lundi, la cour d'assises spécialement composée devrait examiner le dernier volet des constatations des tueries du 13-Novembre, avec un retour sur les terrasses endeuillées: la fusillade de la Belle Equipe où 21 personnes ont été tuées, et le Comptoir Voltaire.
Hier déjà, elle a examiné les scènes de crime du Stade de France et de deux fusillades sur les terrasses parisiennes: Le Carillon et Le Petit Cambodge, puis La Bonne Bière et le Casa Nostra. leprogres.fr/faits-divers-j…
La journée sera marquée par la projection d'images des attentats commis à Saint-Denis et sur plusieurs terrasses parisienns.
L'audience du jour devrait être marquée par une première prise de parole des accusés sur les charges qui pèsent contre eux.
La magistrate avait déjà témoigné devant la justice française à l'occasion du procès de l'attentat manqué du #Thalys (21 août 2015).
Comme vous avez déjà pu le lire, la cour va désormais entamer l’examen des faits à proprement parler, et l’audition d’un premier témoin : un responsable de la Sdat, la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire. vosgesmatin.fr/faits-divers-j…
L'ambiance est beaucoup plus calme qu'hier. Le nombre de journalistes sur place a été divisé par 4 ou 5. Non pas parce que tout le monde se désintéresserait tout à coup de l'audience, mais parce que cette journée devrait surtout être "technique".
Sur la place Dauphine et ailleursdans le quartier, les journalistes commencent à installer leurs caméras.