TRMD : Tableau récapitulatif des moyens par discipline, fait apparaître les besoins en enseignement liés à la structure et aux effectifs retenus et qui permet d’argumenter pour les postes.
"Au début, on a coupé des dépenses accessoires... Et puis au bout d'un moment, on a commencé à couper les dépenses critiques, indispensables pour qu'une école fonctionne."
"Des classes de plus en plus grandes."
"Nous n'avons pas été augmentés en 10 ans"
À l’âge où doit se former le jugement moral, esthétique et critique, le système s’oriente vers une hyperspécialisation précoce des jeunes élèves. fr.aleteia.org/2019/02/25/edu…
"Les enseignants du lycée international souhaitent informer les parents de la situation inquiétante dans laquelle la communauté éducative, professeurs et élèves, pourrait se retrouver à la rentrée 2019 en raison de la réforme" change.org/p/rectorat-de-…
La politique du ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, n’est jamais exposée dans son entièreté permet ainsi « d’éviter soigneusement la mise en débat du schéma d’ensemble », analyse le chercheur en sciences de l’éducation Xavier Pons.
«Les réformes, c’est comme le sexe, il faut tenir compte de ses partenaires» «N’importe quel prof sait que ça ne tient pas la route» @mariepiquemal demande leurs avis aux enseignants sur les réformes.
« Cela nous met en difficulté financière. Nous craignons d’être obligés de devoir diminuer la qualité de l’école publique pour que l’impact de la réforme soit moins important », regrette Emilie Kuchel. Au point de supprimer l’Atsem par classe ?
La @Courdescomptes est très (très) critique envers la politique de développement de l'apprentissage, qui couterait 5Md€ pour un « effet net sur l’emploi en volume / vraisemblablement faible. ».
@Courdescomptes L'apprentissage a tout l'air de prendre le même chemin que le CIR : officiellement fait pour une chose (la recherche/l'insertion pro.) mais qui en réalité en fait une toute autre (un soutien déguisé aux entreprises).
« *De manière persistante*, le chômage des jeunes de 15 à 24 ans est en France au moins deux fois plus élevé que celui de l’ensemble de la population. L’emploi des jeunes est une préoccupation constante du Gouvernement, qui met en œuvre *de longue date*... »
🤔
une intervention légitime mais parfois mal proportionnée de l’État
Dans un contexte déjà défavorable, la nécessité
de répondre aux menaces pesant sur l’emploi des jeunes
« Le début de la pandémie justifiait que le Gouvernement prenne une série de mesures en faveur des jeunes »
« Les dispositifs de soutien ont été nombreux mais leur montée en puissance a été tardive, et ils ont atteint les étudiants de manière inégale (I). La gestion de l’urgence a mis en évidence les défauts structurels du système de soutien à la vie étudiante (II) »
Infographie sur la progressive montée en charge des difficultés rencontrées par les étudiants, au fur et à mesure qu'elles s̴o̴r̴t̴a̴i̴e̴n̴t̴ d̴a̴n̴s̴ l̴e̴s̴ m̴éd̴i̴a̴s̴ étaient relayées par les acteurs de terrain.
Éclairage et synthèse @pole_emploi sur les abandons de recrutements : ces fameuses « offres d'emploi non pourvues » qui fondent l'essentiel de notre politique d'emploi et de professionnalisation.
Une note de fouille des données @InseeFr sur les diplômes et l'emploi, qui conduit à sérieusement se questionner sur la politique de professionnalisation à l'Université.
Intéressante réaction, qui démontre bien que le projet politique n'est pas d'améliorer notre système économique et social pour que les français vivent mieux, mais d'augmenter la précarité des jeunes pour qu'ils acceptent des conditions de vie dégradées.
Si on exclu les métiers saisonniers, on trouve : 1. des métiers peu qualifiés mais difficiles et qui ne permettent pas de bien vivre 2. des métiers qualifiés en santé et informatique (pour lesquels aucun effort public de formation n'est fait).