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Il est à lire.
Il est d'une journaliste naturopathe.
Cela peut paraître au premier abord, rédhibitoire.
J'engage tous ceux qui ne sont pas enfermé dans leurs croyances à le lire. Même aussi les autres.
La mise en parallèle des caractéristiques des religions archaïques avec le credo actuel de la vaccination montre que cette science, sous un look de modernité, présente
Nous avons beau vivre dans une société qui honore la liberté d’expression, lorsqu’il s’agit de vaccination, force est de constater que les points de vue contradictoires n’ont pas droit de cité!
Avec les vaccins, la nécessité de préserver le culte collectif autour de la vaccination passe avant la liberté d’expression et le droit à l’information
Une confiance qui a tendance à largement s’effriter à l’heure « complotiste » d’Internet », nous assène doctement les scientifiques . Un appel à la foi plus qu’à la raison
« La puissance du mythe vient de ce qu’il dit réellement aux hommes
A défaut de comprendre, donc, nous sommes priés de croire.
Certain mettent en parallèle les 5 enfants SDF morts. Morts évitables si le problème des SDF était pris en compte.
Or ces récits « pathologiques » n’ont aucune valeur scientifique.
«Les mythes naissent de la tendance universelle des hommes à transférer leurs angoisses et leur conflit sur des victimes arbitraires, les boucs émissaires. Les mythes inversent systématiquement la vérité, ils innocentent les persécuteurs et blâment les victimes
Alors que les vaccins arrivent au même moment, il est plus facile de leur attribuer le mérite de cette guérison collective,
Notre illusion mythique est d’avoir fait des virus et bactéries des boucs émissaires idéaux alors que la croissance exponentielle
le nouveau coupable idéal, c’était le virus ! C’est toute l’époque pasteurienne qui trouve là un débouché idéal pour son essor.
Le vaccin, c’est la résurgence parfaite du pharmakos (bouc émissaire + remède + poison), un terme qui résonne fort bien étymologiquement avec notre pharmacolog
notre science reproduit à la perfection, dans un produit high-tech,
La peur primaire des grands fléaux
Lorsque nous nous livrons au rituel vaccinal, nous ne faisons donc rien d’autre que reproduire ce lynchage collectif sur le virus.
Or dans la vraie vie aujourd’hui en Occident, les maladies de l’enfance
Malgré tout, les médias, nos médiums contemporains, n’hésitent pas à jouer les oracles, sans avoir à justifier leur propos
L’obligation vaccinale, c’est le masque laïc de l’interdit religieux…
Ceux qui ne sont pas d’accord, comme les scientifiques dissidents, sont bannis, excommuniés, on s’acharne sur eux. Ils subissent une véritable cabale médiatique, en vue de les discréditer
Les médias sont aussi là pour nous rappeler chaque année nos devoirs vaccinaux. Comme dans les temps anciens où le mythe était récité à l’occasion de fêtes et célébrations, le mythe est rappelé au cours de rituels de passage comme l’entrée à la crèche,
Nous nous en remettons aveuglément au vaccin parce que nous ne comprenons pas plus qu’avant, sous nos airs d’hommes savants, le fonctionnement réel de mère nature et encore moins des virus et bactéries, avec leurs mutations surprises
Mais en réalité, le nouveau mythe vaccinal n’a jamais établi scientifiquement son efficacité
Cependant une recherche sans concession des preuves d’efficacité de la vaccination, par ceux qui l’on véritablement faite, ne retrouve pas des preuves solides des affirmations
Mais qui prend le temps de chercher ces preuves scientifiques quand celles-ci paraissent évidentes ?
On sacrifie au nom d’une juste cause, mais cette fois de manière généralisée, les nouveau-nés
La violence médicale s’inscrit toujours dans une logique collective, : « le bénéfice collectif est supérieur à la somme des bénéfices individuels conférés par le produit »
La cécité du persécuteur est une composante essentielle du mythe que l’on retrouve à l’œuvre dans la science moderne. C’est une manière commode d’arranger la réalité afin de s’économiser une remise en question face à notre «péché» de violence,
le désir de pouvoir, d’honneurs et de possessions matérielles. Alors que les conflits d’intérêts gangrènent nos hautes autorités de santéi
la Cour des Comptes (rapport sur la sécurité sociale, 2001) : « la politique du médicament est inféodée
Les études qui servent aux autorisations de mise sur le marché sont protégées par le «secret de fabrication», ce qui permet d’occulter des pratiques malsaines.
On découvre que dès ses débuts, la vaccination a été entachée du sang de nombreux innocents. Dans son livre L’apport des vaccinations à la santé publique,i Michel Georget rappelle que « L’éthique ne semble pas avoir beaucoup préoccupé les vaccinateurs
En étudiant l’histoire de la découverte de Pasteur, notre grand gourou, on découvre aussi des cadavres dans le placard. Les comptes rendus de l’époque nous indiquent que de nombreux débats ont eu lieu
« En 1886, tant en France qu’à l’étranger, les morts à mettre officiellement au passif de la méthode Pasteur s’élevaient déjà à soixante-quatorze : quarante étrangers et trente-quatre
S’ils ne servent pas à éradiquer les maladies, quelle est donc au fond l’utilité sociale des vaccins ? « Les rites consistent à transformer en acte de cohésion sociale, paradoxalement, la désagrégation conflictuelle de la communauté »
Fin du thread
Lisez l'article pour vous faire votre propre idée.
Je n'ai tiré que quelques phrases qui me paraissaient importantes.