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Grace à @vaccinologie j'ai découvert cet article
pryskaducoeurjoly.com/actu/2358/vacc…
Il est à lire.
Il est d'une journaliste naturopathe.
Cela peut paraître au premier abord, rédhibitoire.
J'engage tous ceux qui ne sont pas enfermé dans leurs croyances à le lire. Même aussi les autres.
" entreprendre un décryptage de la science vaccinale au regard de la pensée visionnaire de René Girard."
La mise en parallèle des caractéristiques des religions archaïques avec le credo actuel de la vaccination montre que cette science, sous un look de modernité, présente
finalement les mêmes mécanismes d’un mythe au sens propre du terme.
Nous avons beau vivre dans une société qui honore la liberté d’expression, lorsqu’il s’agit de vaccination, force est de constater que les points de vue contradictoires n’ont pas droit de cité!
La science vaccinale, une vache sacrée « la vaccination, ça ne se discute pas »Constater que le principe du débat contradictoire, garde-fou de l’objectivité du journaliste, est totalement bafoué dans le traitement de l’information délivrée par les mass médias sur les vaccins,
c’est déjà un signe évident qu’il se joue quelque chose de profond autour de la vaccination.Alors que les journalistes ne cessent d’évoquer les victimes potentielles d’une baisse de la couverture vaccinale, ils ne parlent presque jamais d’autres victimes bien plus réelles
et peut-être même plus nombreuses, celles qui sont touchées par les effets secondaires.
Avec les vaccins, la nécessité de préserver le culte collectif autour de la vaccination passe avant la liberté d’expression et le droit à l’information
Des grands prêtres qu’il faut écouter
Une confiance qui a tendance à largement s’effriter à l’heure « complotiste » d’Internet », nous assène doctement les scientifiques . Un appel à la foi plus qu’à la raison
« La puissance du mythe vient de ce qu’il dit réellement aux hommes
sur ce qu’il faut faire et ne pas faire pour que les rapports restent tolérables au sein des communautés humaines, dans un contexte culturel », nous explique René Girard.
A défaut de comprendre, donc, nous sommes priés de croire.
Et pour nous persuader, le logos (le discours rationnel) active volontiers le pathos (l’émotion), excellent ressort rhétorique du mythos, à l’aide d’histoires effrayantes pour confirmer le dogme .
Aujourd’hui le mort par rougeole !
Certain mettent en parallèle les 5 enfants SDF morts. Morts évitables si le problème des SDF était pris en compte.
Or ces récits « pathologiques » n’ont aucune valeur scientifique.
Un bouc émissaire
«Les mythes naissent de la tendance universelle des hommes à transférer leurs angoisses et leur conflit sur des victimes arbitraires, les boucs émissaires. Les mythes inversent systématiquement la vérité, ils innocentent les persécuteurs et blâment les victimes
Le choléra est ainsi endigué naturellement, sans l’aide du premier vaccin anticholérique (1990) ». Il en ira de même pour les autres maladies.
Alors que les vaccins arrivent au même moment, il est plus facile de leur attribuer le mérite de cette guérison collective,
cela évite la remise en question du capitalisme sauvage qui commence à se mettre en place (le fameux « mimétisme conflictuel » de René Girard).
Notre illusion mythique est d’avoir fait des virus et bactéries des boucs émissaires idéaux alors que la croissance exponentielle
des villes créait un phénomène anarchique de foule et de l’insalubrité.
le nouveau coupable idéal, c’était le virus ! C’est toute l’époque pasteurienne qui trouve là un débouché idéal pour son essor.
Le remède pharmacologique, avatar du «Pharmakos»
Le vaccin, c’est la résurgence parfaite du pharmakos (bouc émissaire + remède + poison), un terme qui résonne fort bien étymologiquement avec notre pharmacolog
On comprend mieux le ressort mythologique du vaccin, qui contient le virus (soi-disant vecteur des maladies, bouc émissaire sans doute innocent) parallèlement divinisé pour son aspect curateur magique.
notre science reproduit à la perfection, dans un produit high-tech,
le bon vieux filon du mythe archaïque : le rituel du pharmakos, le poison qui sauve, le mal qui guérit.
La peur primaire des grands fléaux
Lorsque nous nous livrons au rituel vaccinal, nous ne faisons donc rien d’autre que reproduire ce lynchage collectif sur le virus.
Nous faisons cela parce des grands prêtres en blouse blanche nous font croire, du haut de leur expertise doctorale, que le dieu Vaccin nous protègera des fléaux, un peu comme au temps des dix plaies d’Egypt
Or dans la vraie vie aujourd’hui en Occident, les maladies de l’enfance
sont très rarement mortelles.
Malgré tout, les médias, nos médiums contemporains, n’hésitent pas à jouer les oracles, sans avoir à justifier leur propos
Des impératifs moraux
L’obligation vaccinale, c’est le masque laïc de l’interdit religieux…
Ceux qui ne sont pas d’accord, comme les scientifiques dissidents, sont bannis, excommuniés, on s’acharne sur eux. Ils subissent une véritable cabale médiatique, en vue de les discréditer
aux yeux de la communauté.
Les médias sont aussi là pour nous rappeler chaque année nos devoirs vaccinaux. Comme dans les temps anciens où le mythe était récité à l’occasion de fêtes et célébrations, le mythe est rappelé au cours de rituels de passage comme l’entrée à la crèche,
la puberté, le troisième âge… Le calendrier vaccinal fait office de nouveau calendrier liturgique. Tout le monde doit se plier aux grand-messes vaccinales, sinon, on vous le dit, la protection collective ne marchera pas! Et ce sera de votre faute.
Des sacrifices « nécessaires »
Nous nous en remettons aveuglément au vaccin parce que nous ne comprenons pas plus qu’avant, sous nos airs d’hommes savants, le fonctionnement réel de mère nature et encore moins des virus et bactéries, avec leurs mutations surprises
et leurs résurgences imprévues.
Mais en réalité, le nouveau mythe vaccinal n’a jamais établi scientifiquement son efficacité
C’est une affirmation qui fera rentrer l’auteur d’emblée dans le camp honni des « antivaxs ».
Cependant une recherche sans concession des preuves d’efficacité de la vaccination, par ceux qui l’on véritablement faite, ne retrouve pas des preuves solides des affirmations
péremptoires des tenants de la vaccinations. Le problème est bien là : beaucoup affirment des vérités qui ne sont aucunement retrouvées dans les études scientifiques.
Mais qui prend le temps de chercher ces preuves scientifiques quand celles-ci paraissent évidentes ?
Or les recherches montrent que les affirmations diffusées par les autorités tiennent plus de la répétitions d’un mensonges qui devient une vérité qu’une vérité « réelle ».
On sacrifie au nom d’une juste cause, mais cette fois de manière généralisée, les nouveau-nés
(qui reçoivent une batterie de vaccins), les jeunes vierges (vaccin Gardasil), les personnes les plus fragiles (vaccin anti-grippal), etc! Ce qui nous ramène à la case départ de la fondation des civilisations : «Le sacrifice est l’institution primordiale de la culture humaine»
pour sauver le groupe, les victimes des effets secondaires font office de sacrifices nécessaires.
La violence médicale s’inscrit toujours dans une logique collective, : « le bénéfice collectif est supérieur à la somme des bénéfices individuels conférés par le produit »
ou encore « si la vaccination est un geste individuel, le bénéfice demeure avant tout collectif ».
Des persécuteurs qui s’ignorent
La cécité du persécuteur est une composante essentielle du mythe que l’on retrouve à l’œuvre dans la science moderne. C’est une manière commode d’arranger la réalité afin de s’économiser une remise en question face à notre «péché» de violence,
que nous refusons toujours de voir.
le désir de pouvoir, d’honneurs et de possessions matérielles. Alors que les conflits d’intérêts gangrènent nos hautes autorités de santéi
la Cour des Comptes (rapport sur la sécurité sociale, 2001) : « la politique du médicament est inféodée
aux lobbies pharmaceutiques tandis que la formation et l’information des médecins sont assurées essentiellement par les laboratoires pharmaceutiques«
Derrière le culte, une science qui occulte…
Les études qui servent aux autorisations de mise sur le marché sont protégées par le «secret de fabrication», ce qui permet d’occulter des pratiques malsaines.
On peut parler de bad science lorsqu’on regarde comment sont fabriqués et testés les vaccins, en marge des règles scientifiques élémentaires : pas de vrais placebos (les adjuvants sont le placebo!), absence d’étude de cancérogenèse, de génotoxicité et de mutagénèse,
absence d’étude de pharmacocinétique (pour étudier le devenir d’une substance dans l’organisme), suivi trop court et sur effectifs réduits, mise sur le marché trop rapide.
Un meurtre fondateur caché
On découvre que dès ses débuts, la vaccination a été entachée du sang de nombreux innocents. Dans son livre L’apport des vaccinations à la santé publique,i Michel Georget rappelle que « L’éthique ne semble pas avoir beaucoup préoccupé les vaccinateurs
du XIXe siècle au moment de la vaccination anti-variolique.
En étudiant l’histoire de la découverte de Pasteur, notre grand gourou, on découvre aussi des cadavres dans le placard. Les comptes rendus de l’époque nous indiquent que de nombreux débats ont eu lieu
à l’Académie de médecine, débats refoulés dans les archives de notre inconscient collectif.
« En 1886, tant en France qu’à l’étranger, les morts à mettre officiellement au passif de la méthode Pasteur s’élevaient déjà à soixante-quatorze : quarante étrangers et trente-quatre
Français. Certains étaient morts en présentant les symptômes de la rage ordinaire, d’autres avaient succombé à une affection nouvelle qui fut appelée la “rage des laboratoires”»
La canalisation des conflits sociaux
S’ils ne servent pas à éradiquer les maladies, quelle est donc au fond l’utilité sociale des vaccins ? « Les rites consistent à transformer en acte de cohésion sociale, paradoxalement, la désagrégation conflictuelle de la communauté »
Pour comprendre l’essor fulgurant de la vaccinologie, il faut revenir au contexte de l’industrialisation et de l’explosion de l’urbanisation évoquée plus haut. En 1888, date de la fondation de l’institut Pasteur, la promiscuité, l’appât du profit, l’essor de l’individualisme
et les épidémies liées à l’insalubrité détériorent le vivre-ensemble, avec des risques de guerres civiles ou d’émeutes. Les vaccins vont permettent de conserver une solidarité humaine aux dépens des virus, coupables idéaux des maux générés par le nouvel ordre socio-économique
décidé par les promoteurs de l’industrialisation.

Fin du thread

Lisez l'article pour vous faire votre propre idée.
Je n'ai tiré que quelques phrases qui me paraissaient importantes.
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