This year's badge. (Not the slightest idea of how it works.)
Ok so, like last year, different categories of people have badges of different colors that can communicate. And this is how us journos (green badges, rare species) have lots of people coming to us 😄
Uh, looks like those have to be paired in a certain sequence (not sure though). I'm looking for a yellow badge right now 😎
Des nouvelles du @DC_BHV : cette année le "Device Lab", pimpé façon hôpital, soumet aux chasseurs de failles 40 dispositifs médicaux (contre 8 l'an passé). Une dizaine de fabricants ont accepté de jouer le jeu, et la FDA est partie prenante de l'initiative.
"We'll never get policies right if policy makers get the tech wrong", says @schneierblog#DEFCON27
"We need more public interest technologists. (...) This pervasive myth in Silicon Valley that tech is politically neutral --it's not."
"Everything we do has a moral dimension and we need to engage in that. (...) We have a surprising amount of power." @schneierblog @ #DEFCON27
Interesting discussion on "Ethical Issues in Cyber Attribution" right now (led by @MalwareJake) in the @EthicsVillage
The discussion w/ the attendees was based on scenarios. What if attributing a serious attack (w/ no casualties) will lead to an armed conflict? What if attribution will lead to sanctions that will impact your countrie's businesses?
The whole point of the talk as described by @MalwareJake: "Do you want to get involved in CTI [cyber threat intel] in the first place? Because your work will definitely impact people's lives."
[@libe] [Reportage] Plongée dans les sous-sols de l'hôtel des Invalides, là où est installé le Groupement interministériel de contrôle (GIC), discret service de Matignon qui centralise les écoutes administratives du #renseignement français. liberation.fr/societe/police…
Pour le GIC, la loi renseignement de juillet 2015 a été un «big bang», explique son directeur. Et pour cause. A la centralisation des écoutes et des métadonnées s'est ajoutée celle des outils espions «de proximité» : balises, micros, caméras (hors DGSE et DGSI, tout de même).
Post-2015, c'est aussi la normalisation administrative. Jusque-là, le GIC était certes sous l'autorité de Matignon, mais... rattaché administrativement à la DGSE, d'où était issu l'essentiel de son personnel. Héritage des années 60. Aujourd'hui, il est adossé au SGDSN.
La procédure dite «d'urgence absolue» prévue par la loi de 2015, i.e. autorisation du Premier ministre sans avis préalable de la CNCTR, n'a été utilisée qu'une fois, en décembre de la même année.
Quelques éléments sur les contrôles «sur pièces et sur place» effectués par la CNCTR : DGSI et DGSE ont droit à deux visites par mois.
Le président de la CNCTR a fait état dans son audition de trois «irrégularités sérieuses» depuis 2015. Une en 2018 : surveillance d'une personne «non visée dans l'autorisation initiale» + 2 en 2019 sur lesquelles la DPR n'avait pas d'éléments au moment de boucler son rapport.
Ça a pris du temps, mais le rapport annuel de la délégation parlementaire au #renseignement (aka DPR) est enfin en ligne sur le site du Sénat. C'est parti pour un (très long) thread.
Il est copieux : 297 pages, 59 recommandations + 7 relatives aux fonds spéciaux.
6 chapitres : bilan & perspectives des lois de 2015, renseignement pénitentiaire, maîtrise des risques (habilitation et déontologie), renseignement spatial, cyberdéfense + rapport de la commission de vérification des fonds spéciaux.
(Sur ce sujet aussi, les rapporteurs y vont avec des pincettes)
Pas de pincettes, en revanche, pour qualifier de «hold-up jurisprudentiel» (carrément) l'arrêt Tele2 de la CJUE, qui s'oppose à la conservation généralisée des données (cf. liberation.fr/planete/2018/0…)
Le rapport de la mission d'information envisage plusieurs pistes. La première mettrait sans doute la CJUE en PLS :
Moment lecture (avec retard) du rapport de la mission d'information de l'Assemblée sur la #LoiRenseignement de 2015 (assemblee-nationale.fr/dyn/15/rapport…). Où est datée (à la louche) l'apparition des Imsi-catchers en France :
Issu du même rapport : en discussion, un équivalent du Service technique national de captation judiciaire (STNCJ, chargé des logiciels espions) pour les services du "second cercle" (cf cnctr.fr/3_cadre_legal.…)
Un des principaux enseignements de la décision du Conseil constitutionnel sur la loi de prorogation de l'état d'urgence sanitaire, c'est que le régime de quarantaine et d'isolement créé par la loi du 23 mars est contraire à la Constitution (points 83 à 87) conseil-constitutionnel.fr/decision/2020/…
«Si le dernier al. de l'art. L. 3131-15 du code de la santé pub. […] prévoit que ces mesures doivent être strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances […] et qu'il y est mis fin sans délai lorsqu'elles ne sont plus nécessaires...
... le législateur n'a assorti leur mise en œuvre d'aucune autre garantie, notamt quant aux obligations pouvant être imposées aux personnes y étant soumises, à leur durée max. et au contrôle de ces mesures par le juge jud. ds l'hypothèse où elles seraient privatives de liberté»