Réveillées par le vent
Semblent bouger dans ton cœur
Tu ne crois pas tes yeux
En regardant le jeu
De la lumière qui danse sur une fleur
N'essaie pas mon amour de le saisir
Mais garde toujours le souvenir.
Graeme devait aimer cette chanson méconnue…
Il avait les mots et les sons pour l'ado perturbé que j'étais.
Johnny.
Joue, joue, joue.
et tout Cohen :
Avalanche.
Les soeurs de la miséricorde.
L'étranger.
Lover lover lover.
On peut chanter tous les poèmes des sages
Et on peut parler de l'humilité
Mais il faut s'unir pour abolir injustice et pauvreté
J'ai vu se briser tant de vagues sur la plage
Et j'ai chassé les ombres des nuages
Sur un plateau d'argent
Elle te sert du thé au jasmin
(Suzanne)
Petite fleur, bon…
Quelques poèmes de Maurice Cocagnac chantés presque sans musique… dont, saisissant :
Au cœur de l'arbre y a le bois
Au cœur du bois y a la planche
Et de deux planches on fait la croix
Qui tient Dieu dans ses branches
Je trouve le texte rugueux, approximatif, ça ressemble à une commande de maison de disques.
On doit être toujours en 1984, ou 85.
"L'homme donnait des noms aux animaux, quand tout commençait", l'original sonnait mieux, avec plus d'altitude.
La salle bourrée, bien sûr, le public amical, souriant, à la fois un peu idolâtre et un peu paternel, comme avec un Salif Keita ("Salifou, Salifou…")
Oui, le benêt au premier rang qui chante faux en même temps que l'artiste et en se plantant.
Très beau concert (à part ça 😃).
Mon hommage à Graeme Allwright a été (et reste) une tentative de traduire "I'm your man". Il subsiste quelque part une vidéo de mon interprétation hors de rythme. Non, non, n'insistez pas. Le texte : web.archive.org/web/2015100905…
Et pensé pour le public : Allwright a allégé les références bibliques de "L'Étranger".
après une très belle série d'interviews sur France Culture : franceculture.fr/emissions/voix…
Viens, change de docteur, viens, j'en connais un meilleur
Il arrache sa vie et te soigne avec ça
Quand je meurs, alléluia, tout à l'heure
J' m'envolerai, volerai