. @Francois_Ruffin sous la pression dialectique du discours paranoïaque racialiste de @Youbrak, enroulé dans un discours de lutte de classe sous faux drapeau. Rien sur le soutien massif des transnationales à cette disruption pour tuer le mouvement social.
Ruffin en synthèse : Je me soucie de vous mais le racialisme victimaire n'est pas un levier pour rassembler et peser. Brakni en synthèse : le racisme est le coeur du système car les non-européens sont la classe révolutionnaire.
La réalité : l'oligarchie libérale veut placer à la tête de la contestation sociale dans le monde occidental, une minorité racialiste que la majorité n’acceptera jamais de suivre et la réduire ainsi à l'impuissance.
Les minorités sont utilisées partout comme l'armée de réserve de l'oligarchie libérale mondialisée. Une version 2.0 de la théologie de la libération incubée par les Frères Musulmans a vocation à servir de courroie d'entrainement idéologique dans le monde occidental.
Mais le lien profond (national, culturel et conservateur) maintenu par les populations nord-africaines bloque la contamination du virus. Les populations d'origines sub-sahariennes sont, elles, plus perméables à cette nouvelle synthèse mais la teintent de racialisme identitaire.
La théologie de la libération 2.0 mute donc progressivement en racial-marxisme (les "races opprimées" comme. nouveau messie collectif ayant vocation à réaliser une lutte des classes muée en lutte suprémaciste sous couvert de dialectique marxiste).
Impasse électorale assurée (idéal pour tenir le calendrier oligarchique de désappropriation) mais blocage stato-sécuritaire avec les outils de contrôle social nétocratiques garanti au RDV. Le "modèle" israélien étendu à l'ensemble du monde occidental. Cool.
Antidote : souverainisme (localiste et euroréaliste) conservateur (axiologique, religieux, ethno-culturel) non-aligné (multipolarité) favorable à une politique euro-méditérannéenne. Sinon ce sera la léopardisation sans souveraineté et donc sous métacontrôle davocratique.
Obstacles : déconstructionnisme culpabilisateur gauchiste, insécurité d'origine allogène alimentant la xénophobie, terrorisme "islamique" manipulé, islamocentrisme de la droite populiste, individualisme consumériste, victimisation mimétique (islamophobie vs christianophobie).
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