La vague a fini par refluer, laissant derrière elle des masses énormes de corps sans vie ou cassés.
Le dépistage n'invente pas les infections…
www1.nyc.gov/site/doh/covid…
• ça grimpe moins vite, donc faux sentiment de sécurité ("on a le temps") ;
• le système de santé n'est pas menacé de saturation dans les 3 semaines, donc idem ;
• personne n'a envie d'intervenir (c'est l'été, etc.).
L'équation est simple :
• plus on intervient tôt, plus vite on dévie de la trajectoire, plus tôt on cesse de dévaler la pente vers une position dégradée
• plus on attend, plus ça empire et plus il faudra avoir la main lourde pour corriger
• isoler plus tôt les malades (auto-isolement et traçage)
• meilleur niveau de prévention et de respect des mesures
• limitation des contacts (surtout les contacts à haut risque type soirées, etc.)
On peut dire : c'est par prudence dans les rues bondées ; pourquoi pas.
Intérieur, entreprises, commerces et services = obligatoire
Interaction proche et prolongée avec une personne extérieure au foyer = recommandé
juritravail.com/Actualite/info…
• Annoncer franchement que l'épidémie est repartie.
• Les masques doivent être gratuits. C'est une dépense sanitaire d'intérêt général, elle doit être socialisée, les faibles revenus ont autre chose à faire du peu d'argent qu'ils ont…
En France métropolitaine, un peu moins de 27 000 personnes ont été testées positives entre le 13/05 et le 14/07 (données SI-DEP), pour un peu plus de 1700 décès entre le 27/05 et le 28/07, soit un taux de létalité sur cas recensés de 6,4%.
Ça donnerait 1700 décès = autour de 280 000 infections {entre 200 et 425 000 infections}, soit 0,4% de la population infectée entre le 13/05 et fin juillet.
Depuis, exponentielle oblige, on a dû prendre un facteur 1,5 à 2, ce qui ferait entre 6000 à 10 500 (si facteur 1,5) ou entre 8000 et 14 000 (si facteur 2) nouveaux cas/jour actuellement.