« Ce collectif qui se fait appeler (No) FakeMed confond science et toute puissance, autorité et autocratie, savoir et inquisition. Qui sont-ils pour mettre ainsi la science en cage ? »
Via @france_soir
francesoir.fr/opinions-tribu…
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« Le collectif #FakeMed est composé d’étudiants, de médecins et de journalistes proches de Gilead, Abbvie, Novatris, Pfizer, Johnson & Johnson, Merck etc.. En somme, des membres de l’Agipharm, le lobby pharmaceutique américain. agipharm.org 
Les FakeMed ne jurent que par la génétique, la biologie moléculaire, la biochimie et la bio-informatique, et se sont montrés incapables de prendre de la hauteur dans la lutte contre la Covid-19, focalisés sur les détails, s’extasiant sur la Protéine Spike modélisée en 3D.
Leur technique pour discréditer leurs contradicteurs : le qualifier de complotiste dès que celui-ci doute de la version officielle du gouvernement LREM ; tout comme au 17e siècle on interdisait de penser que la terre était "au centre de l'univers".
Contrairement au Collectif FakeMed, le collectif citoyen n’est pas sectaire et son objectif est simplement de concrétiser le droit des citoyens à interroger les stratégies thérapeutiques que nos autorités médicales mettent en place.
Pour exemple, nous respectons la position plutôt neutre adoptée par Philipe Froguel, Professeur endocrinologue à l’Université de Lille, qui pourtant est sévère avec le Professeur Raoult et incrédule quant à l’efficacité de l’hydroxychloroquine.
Il est d’ailleurs surprenant de voir le Collectif FakeMed l’exhorter à choisir un camp, à dénoncer sans concession le Professeur Raoult. Du fait de cette neutralité, il est injurié, diffamé et harcelé sur Twitter.
Les No FakeMed ne nous laissent-ils comme seule option de devoir docilement les écouter et leur faire aveuglément confiance quant aux stratégies thérapeutiques officielles ? Disposer de son corps est, il nous semble, le premier des droits fondamentaux.
La sécurité sanitaire concerne tout le monde et ne saurait être la chasse gardée des seuls médecins agréés par l’industrie pharma qui depuis le début de cette pandémie s’estiment légitimes à confisquer la parole publique jusqu’à éreinter des confrères mondialement reconnus.
Les membres du Collectif FakeMed ne cherchent pas la solution. Ils cherchent à avoir raison et sont pour cela prêts à soutenir des errements dramatiques pour la science quand ceux-ci sont publiés par les plus grandes revues. Ils se sentent intouchables et tout puissants.
Nous, le collectif citoyen, ne sommes en guerre contre personne. Nous combattons la Covid-19 de manière collégiale avec un débat ouvert et un modèle «Open Source». Nous pouvons faire des erreurs et nous accueillons la contradiction de manière bienveillante dans l’intérêt de tous.
Les comportements délictueux, haineux et violents observés durant cette crise, notamment sur les réseaux sociaux, aura durablement altéré la confiance en la médecine de beaucoup de concitoyens,
bien plus que tous les propos condamnés par ces nouveaux inquisiteurs qui relèguent au rayon « fake news » ou « complotisme » tout ce qui ne va pas dans leur sens, sens dont on ne sait très bien dans quelle direction il nous mène si ce n’est vers le profit des industriels.
La startup Nation, face à une pandémie, a très largement montré ses limites et on peut espérer qu’en cas d’une nouvelle épidémie, le lobbying soit mis en sourdine. »
