Un sacré aveu de #Macron: «L’économie c’est de la psychologie. L’économie n’est pas une science. Ce n’est pas vrai»
La guerre psychologique a été gagnée par sa classe sociale en nous faisant croire que l'économie était une science à laquelle le peuple ne pouvait rien comprendre.
Si l'économie n'est pas une science pourquoi #Macron veut-il nous faire croire à la "théorie du ruissellement"
qui est une théorie libérale fausse?
Les cadeaux fiscaux faits aux 1% et les milliards injectés dans la finance par la #BCE restent tout en haut, ils ne ruissellent pas.
Quand il s'agit de faire des cadeaux aux 1%, #Macron le justifie en faisant appel à la "science" de l'économie avec la théorie du #ruissellement.
Quand il s'agit de faire travailler le peuple, soudainement l'#économie perd son caractère scientifique, et devient psychologique.
😏
Rien n'est plus #politique que l'économie, car l'#économie est au cœur de l'organisation de la cité.
L'économie est simple et n'a besoin que de bon sens humain.
C'est parce qu'ils en ont fait une science reposant sur les mathématiques que l'économie s'est déconnectée de l'humain.
Derrière son discours politique, #Macron manque de cohérence. Ce défaut est propre aux incompétents ou aux menteurs. À vous de choisir...
• • •
Missing some Tweet in this thread? You can try to
force a refresh
L'importance que certains donnent aux milliardaires est juste caractéristique de notre monde moderne.
Dans un monde où le matérialisme est roi, où la spiritualité est niée, il en résulte que la société prend pour modèle non pas les hommes valeureux, ni les grands penseurs, mais les hommes qui ont le plus accumulés de matières (leurs actifs : actions, immeubles, etc.) et d'argent.
Plus le temps passe, plus notre société s'accroche seulement au côté matériel des choses, déplaçant le point de gravité de plus en plus bas dans la matière.
René #Guénon, un écrivain et philosophe français de la première moitié du XXe siècle, a écrit sur la "dictature de la quantité", qu'il considère comme l'une des caractéristiques de la société moderne.
La société moderne est dominée par une obsession pour la quantité et la mesure, plutôt que la qualité et la valeur. Cette obsession a mené à une perte de sens de la vie spirituelle, de la tradition et de la culture, et a conduit à la désintégration de la société.
René Guenon prône pour une réintégration de la vie spirituelle dans la société moderne pour combattre cette dictature de la quantité.
Il manque une brique dans la théorie de Marx. Je le dis humblement et avec des yeux d'ex trader du XXIÈME siècle.
Marx ne considère nullement la rémunération du risque du capital.
1/
Selon la théorie de Marx, les propriétaires de capital récupèrent non seulement les coûts de production, mais également une partie supplémentaire du produit qui est obtenue grâce à l'exploitation des travailleurs.
/2
Or le profit peut (souvent de nos jours dans un monde sans éthique) provenir de l'exploitation des travailleurs qui sont sous-payés. C'est l'idée de mauvais partage des richesses, surtout depuis les années 80 où l'actionnaire et le financier ont accaparé les gains de productivité
Le faux combat : "le patron devient riche en exploitant les travailleurs".
Le même travailleur qui est bien content de trouver un emploi chez un entrepreneur, qui veut bien prendre la responsabilité de gérer l'entreprise et de porter le risque économique sur ses épaules.
Tous les entrepreneurs ne se valent pas. Certains ont une meilleure gestion de l'entreprise que d'autres, savent partager avec leurs salariés le fruit du succès, réinvestissent les profits dans la recherche et l'innovation, savent remettre en question les acquis de leur société.
Bien sûr, le rapport entre le patron et le travailleur n'est pas naturellement équilibré. Il y a un rapport de subordination, que le droit du travail et la flexibilité du marché de l'emploi doivent éliminer.
En 50 ans, grâce au progrès humain et technique, il faut moins de temps de travail pour s'acheter les choses du quotidien (pain, frigo, télé...).
Mais tout ce précieux temps gagné est plus que dévoré par le temps supplémentaire qu'il faut pour se loger.
L'explosion de la création monétaire par les banques commerciales lors de l'octroi des crédits immobiliers, a conduit à une spéculation immobilière qui finit par nous voler notre temps de vie.