En ces temps de troubles, j'aimerais exprimer ma plus grande affection fraternelle à tous mes frères et sœurs qui travaillent dans l'ombre à faire rayonner l'Islam: par leur fierté d'être musulman, par leur soucis quotidien, leurs discussions avec leurs camarades, collègues, amis
par leur implication dans les milieux associatifs musulmans, par leurs efforts dans les mosquées, du nettoyage à la nourriture distribuée en passant par l'enseignement, par leur volonté d'étudier leur religion, de défendre leurs principes, questionnant souvent pour savoir s'ils
ne font pas d'erreur, par le soutien qu'ils manifestent dès que l'un de nous est touché, par les dons qui pleuvent dès qu'il y a un projet, un malade ou un endetté, par cette miséricorde qu'on observe sur le terrain à travers ces visages rayonnants qui se sourient alors pourtant
qu'ils ne se connaissent pas mais savent qu'ils s'aiment en Allah ; ces pères de familles qui travaillent dur à élever leur foyer selon notre Din et soutenir leur communauté, ces mères qui veillent à éduquer, invoquer, qui s'instruisent et construisent, ces frères et sœurs qui
illuminent les assemblés par leur esprit scintillant de rêves, d'espoir, de projets, d'optimisme et de convictions, ces enfants qui psalmodient en choeur le Livre béni dans nos classes et nos mosquées et frétillent de joie en apprenant les histoires de nos Prophètes et Messagers,
tous ceux, petits et grands, qui se prosternent et s'inclinent ensemble devant le Roi des rois, qui célèbrent ensemble nos fêtes et nos joies et se soutiennent dans l'émoi, vous tous ici présent et ailleurs qu'on oublie ou qu'on ne voit simplement pas, ou pas comme il se doit.
Qu'Allah vous bénisse, vous protège et vous permette de rayonner encore plus.
Un de vos frères qui est fier de l'être.
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L’un des miracles de la prophétie de nos jours est que le pays le plus islamophobe, la France, soit l’un des seuls au monde à avoir falsifié le nom de notre maître le Prophèteﷺ, l’appelant Mahomet plutôt que Muhammadﷺ !
Ceci fait echo avec une histoire survenue de son temps :
À l’époque du Prophète ﷺ, les polythéistes,voulant lui nuire et l’affecter,ont changé son nom de Muhammad (qui signifie «le digne de louanges») à Mudhammam («le digne de critiques»).
Ils insultaient donc « Mudhammam », comme disait la femme d’Abu Lahab dans des vers de poésie :
مذمما أبينا ** ودينه قلينا ** وأمره عصينا
Nous avons refusé Mudhammam, détesté sa religion et désobéit à son ordre
Mais le Prophèteﷺ réagit d’une manière surprenante en disant : « N’êtes-vous pas étonné de la manière dont Allah éloigne de moi les insultes de Quraysh et leurs
La dot est autant un pilier du mariage qu'elle est un sujet polémique, au centre des débats les plus passionnels. Mais au delà des avis personnels, c'est à la législation seule que nous devons révérence
Alors que dit l'Islam sur cette prescription ?
Tout d'abord, rappelons que l'Islam appelle en tous points à la juste mesure et à la modération
Allah dit : «[Les serviteurs du Tout Miséricordieux sont ceux] qui, lorsqu’ils dépensent, ne sont ni dépensiers, ni avares, mais se tiennent au juste milieu.» (Coran, 25:67)
Cette modération ne quitte pas le croyant et l'éclaire dans toutes les décisions de sa vie. Elle garantit la stabilité de l'humain, de son foyer et de l'ensemble de la société.
Les dépenses équilibrées sont retirées de là où il ne faut pas et données là où il faut, à qui il faut
Le culte de la personnalité sur les réseaux n'épargne personne, pas même les musulmans
Cachés derrière récitations ou rappels avec une allure de dandi, l'apparence est omniprésente et le message(souvent sans légitimité)se retrouve en arrière-plan
Méfions-nous des ruses de satan
Nota Bene : ceci n'est ni une attaque, ni un procès d'intention. C'est une critique ouverte sur une des gravissimes maladies de l'âme, l'infatuation ; qui vaut pour chacun d'entre nous (moi le premier), à différents stades.
Si tu veux faire un examen de conscience sincère, pose toi les bonnes questions :
-Quelle légitimité ai-je à faire mes récitations avec trémolo et gandinerie ? Suis-je diplômé ? Ai-je mémorisé le Qur'an ? Ai-je l'ijaza ? Vais-je apporter une plus-value autre que ma personne ?
Un jour il faudra que l'on parle de cette frange de notre communauté qui sous prétexte d'intellectualisme défend des doctrines occidentales pensées pour détruire notre religion, en utilisant comme "sources" des thèses orientalistes fumantes et des soi-disant "faits historiques"
Nota bene :
1. Le fait qu'à une période un "évènement"ce soit passé, en plus d'être à prouver et à remettre dans son contexte, n'a en RIEN une portée juridique ou législative. L'Islam a des sources et des lois qui ne changent pas pour les agissements de tel personne à tel époque
Qu'on rapporte que des femmes se soient rebellées à telle époque ou aient tenu tête à l'autorité, en plus d'être dénué de contexte, est un sophisme dangereux
En quoi cela prouverait quoi que ce soit ? Que d'aucuns aient forniqué à cette époque rendrait-il la fornication licite ?
Pour faciliter la lecture, je commencerai déjà par faire un petit résumé du thread pour les plus pressés d'entre vous, puis je donnerai le détail des propos des savants sur la question.
Si vous cherchez une réponse complète, n'hésitez pas à lire jusqu'au bout !
RÉSUMÉ: cette parole a été interprétée de plusieurs manières, entre sens métaphorique et sens concret:
- Certains diables seulement sont enchaînés
- Métaphore pour dire qu'ils sont affaiblis
- Enchaînés ne veut pas dire totalement incapables
- Le mal provient aussi de notre ego