"GameSpot a encouragé les salariés de ses magasins à publier des vidéos d’eux-mêmes au travail en train de danser pour le #RedWineChallenge sur Tiktok"
▶️ 1/5 Si les employés ne sont pas au bénéfice d'une forte culture du numérique, c'est plutôt risqué 20min.ch/fr/story/les-s…
2/5 De plus, ça implique aussi la mise en place d'un plan de gestion de crise, non seulement pour anticiper et gérer un potentiel badbuzz et la réponse à y apporter, mais aussi pour définir des mesures spécifiques pour protéger les employés en cas de cyberharcèlement...
3/5 Quid de l'employé qui a fédéré - sur son compte personnel - une forte communauté autour de l'image de son entreprise ou des produits de celle-ci sur une plateforme sociale, et qui démissionne ou se fait licencié ? Là aussi le risque d'un retour négatif est à prendre en compte
4/5 d'autant plus que l'employé qui a quitté l'entreprise va garder ses followers, et éventuellement retrouver un emploi chez un concurrent. Dès lors, l'entreprise ne "perdra" pas seulement un employé, mais peut-être aussi une partie de ses clients à plus ou moins long terme.
5/5 Sur les réseaux sociaux, l'employé ambassadeur peut être une vraie valeur ajoutée pour l'entreprise, mais cette démarche demande à être pensée et structurée en amont (y compris au niveau des RH), et encadrée dans sa mise en pratique.
1/n Depuis le début du web, les États tentent davantage de pousser les plateformes de médias sociaux à appliquer leur propre cadre juridique national que d'en développer un au
@DMasmejan@sr3us3@sebastienfanti@lemondefr@RSF_inter@RSFCH 2/n niveau international. Cette évolution peut avoir un effet positif dans les pays démocratiques, mais elle peut être délétère dans les pays autoritaires ou les dictatures, dont le cadre légal sert à plus à opprimer le citoyen que de le protéger.
@DMasmejan@sr3us3@sebastienfanti@lemondefr@RSF_inter@RSFCH 3/n
Même l'Europe ne parvient pas à faire respecter les droits démocratiques et humains par ses pays membres (par exemple la Pologne avec le droit à l'avortement, ou la Hongrie avec les réfugiés). Beaucoup d'états sont en retard sur une réelle adaptation de leur cadre légal
1/11 Un (autre) exemple des méthodes utilisées par Chloé Frammery. Que ça ait été pour inciter les citoyens à signer le référendum contre SwissCovid, ou pour les pousser au non respect des mesures sanitaires. Et, non, ce n'est donc pas juste l'expression d'une opinion.
[thread]⤵️
2/11 Donc, la manchette du Matin Dimanche, extraite de la publication du 5 octobre (tweet précédent 1/11), date dans les faits du 16 août. C. F. publie cette manchette, mais ne dit pas que l'article mentionne une surmortalité à Genève, Vaud et au Tessin
➡️lematin.ch/story/moins-de…
3/11 Certains diront "rien d'illégal", oui... mais ce genre de pratique avait déjà réagir la classe politique, qui a déposé une motion visant à la sanctionner @hurnib
ℹ️ "La démocratie directe mérite qu'on réprime la récolte frauduleuse de signatures" parlament.ch/fr/ratsbetrieb…
@horodate@SergeMichel_hD@GuyMettan 1/n Je suis en total opposition avec les propos de Guy... l'immersion faisait sens par rapport à l'intérêt public que représente la manière dont ce type de groupe fonctionne et s'organise... il ne s'agit pas juste de l'expression d'opinion, mais de l'organisation ⤵️
@horodate@SergeMichel_hD@GuyMettan 2/n d'une communication, par un groupe structuré qui se réunit à intervalles réguliers pour discuter de la teneur ses messages et de sa stratégie de communication, profitant de la période actuelle d'incertitudes pour influencer des personnes psychologiquement fragiles ⤵️
@horodate@SergeMichel_hD@GuyMettan 3/n en qualifiant un certain nombre de connaissances établies et vérifiables, comme étant des mensonges...
Quant au terme de "complotisme", il est dans le Larousse, les mots ont une utilité, et le terme correspond tout à fait à la définition, n'en déplaise à Guy... ⤵️
@reymondin@heidi_news 1/n Que certains articles soient en accès réservé par rapport à une crise telle que celle du #COVID2019, surtout par rapport à la gestion de la pandémie en devenir, démontrerait qu'il n'y a pas une stratégie nationale de gestion des médias, c'est très inquiétant @BAG_OFSP_UFSP
@reymondin@heidi_news@BAG_OFSP_UFSP@24heuresch@tdgch@Tamedia@lenouvelliste@laliberte@arcinfo 2/n Toutes les informations prioritaires sur la propagation du virus et les comportements à adopter, devraient être en accès libre. La confédération devrait ensuite dédommager les médias concernés par rapport au manque à gagner induit par la diffusion non payante des articles
@vijaya 1/n I'd like to tell you a story: One of my students, a 17y-old girl today. When she was 14, she created a Twitter account, under which she appears with her first & last name and her picture. She published as her first Tweet "I'm new on Twitter and addicted to Marijuana".
2/n Then she forgot about the existence of this account, until she started looking for an apprenticeship. Unfortunately, she couldn't remember the email address with which she had created this account. From then on, it became impossible for her to delete it.
3/n As a result, this account now has a negative impact on his job search. It is as if she is being harassed by this account she created, but that she can no longer have deleted, or have deleted. She cannot even report it, even if her account is actively damaging her reputation
1/n La pression est continue (et pas nouvelle), mais ce n'est en aucun cas une réalité aujourd'hui, le chiffrement de WhatsApp est toujours exempt de porte dérobée, et l'application utilise le même protocole de chiffrement que Signal. Les failles de sécurité de WhatsApp...
2/n se situent au niveau de l'application, et pour celles qui sont devenues publiques, à ma connaissance, aucune de ces failles ne remet en cause le chiffrement en tant que tel (zdnet.fr/actualites/une…). Ce genre de faille n'est pas non plus propre à WhatsApp, par exemple...