Rester en contact avec sa famille, ses amis, suivre l'actualité de son pays, etc. ce serait séparatiste.
Je me demande ce que c'est du coup, d'étaler à ce point son ignorance.
Le monde n’est pas⤵️
blanc ou noir, en passant une frontière, on n’efface pas d’un coup de baguette magique ses relations, ses souvenirs (et qui le souhaiterait ?). On en ajoute, tout simplement.
L’insertion dans une société dépend de multiples facteurs, et beaucoup sont à la
charge du pays d’accueil. Par exemple, ici, au Québec, l’accès aux cours de français est n’est pas toujours simple. Il faut avoir le bon visa, des horaires de travail adapté, rarement le cas pour les nombreux migrants temporaires travaillant dans l’hôtellerie-restauration aux
horaires atypiques et imprévisibles, dans l’agriculture ou l’aide à domicile (où ils et elles résident chez l’employeur qui peut interdire de suivre des cours de français de manière directe ou indirecte), etc.
Quand on est arrivé, mon conjoint n'avait pas le "bon" visa pour suivre les cours de"francisation". C'est grâce au bouche à oreille qu'on a trouvé une asso en offrant à un coût abordable.
Depuis peu, les demandeurs d'asile s'en trouvent absurdement privé. ici.radio-canada.ca/nouvelle/17425…
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Résultat du féminationalisme français : "ce qui fait aujourd'hui obstacle à l'ascension de ces femmes sur l'échiquier socioprofessionnel, ce n'est pas tant l'islam ou le voile que le refus de leur faire une place dans la société."
Ca me fait penser à l’article d’Emmanuelle Santelli dans « Partir à Londres… pour favoriser l’insertion professionnelle en France » (2013) sur les jeunes français d’origine Maghrébine qui font un séjour à Londres dans l’espoir que cette expérience ⤵️
de mobilité internationale leur donne des capitaux (mobilité, langue, flexibilité) valorisable sur le marché du travail français. Dans les entretiens, les jeunes interrogés parlent du sentiment de ne pas vivre de discriminations à Londres : ils sont – enfin – considérés comme
Commencer sa journée à la lecture du ministre de l’éducation français qui étale son inculture crasse dans les médias et reprend – encore !- les éléments de langage de l’extrême-droite. Ah, il accuse aussi un
certain nombre d'universitaires d'être complices de terrorisme. J'imagine que plus c'est gros, plus ça passe.
Rappel : l’approche intersectionnelle est issue des féministes noires étatsuniennes qui voulaient rendre compte du fait qu’elles ne sont pas que noire *ou femmes, mais noires EIT femmes & que ces deux rapports sociaux (genre & race) agissaient de manière simultanée et imbriquée.