Située à Limoise, dans l’Allier, cet élevage porcin est engagé depuis 2014 dans la démarche « préférence » d’Herta.
L’exploitation compte 600 truies reproductrices (la moyenne nationale se situant autour de 250 truies) et produit 15.000 porcs chaque année.
On peut observer plusieurs manquements à la réglementation dans la vidéo. Comme dans beaucoup d’autres exploitations porcines en France, les porcs sont entassés dans des bâtiments fermés, dont ils ne sortent pour la première fois que pour aller à l’abattoir.
En France, Herta compte une centaine de salariés au siège et deux usines de charcuterie, l’une à Saint-Pol-sur-Ternoise (Pas-de-Calais, 1.200 salariés), et l’autre à Illkirch-Graffenstaden, (Strasbourg, 400 salariés). L’entreprise s’apprête à y investir 85 millions €.
« Herta s’engage ». Avec ce slogan lancé en 2001, la marque de produits de charcuterie et traiteur, qui vante « le goût des choses simples », promet d’agir pour une production plus durable et meilleure pour la santé. ilec.asso.fr/uploads/media/…
En 2013, Herta pousse la démarche plus loin et lance une « filière préférence » qui prend la forme d’un partenariat entre Herta, des éleveurs et des abattoirs, qui passe par un « guide de bonnes pratiques » et « signe les prémisses d’un élevage moderne et plus responsable »
En 2018, les activités charcuterie et pâte à tarte d’Herta (la marque la + achetée par les Français) en Europe ont généré un CA de 667 millions € (+ 8%).
À l’origine détenue que par Nestlé, la multinationale cède 60% des parts en décembre 2019 au groupe Casa Tarradellas.
Pratiquement inconnu en France, Casa Tarradellas pourrait être qualifié de Sodebo espagnol. L’entreprise familiale créée en 1976 produit pizzas, pâtes, sandwichs, saucisse sèche (l’espetec), pâté et viande tranchée.
Casa Tarradellas est aux mains de Josep Terradellas Arcarons, 141e fortune d’Espagne. C’est l’une des entreprises les plus rentable de la Catalogne, où elle est basée.
Casa Tarradellas, qui emploie plus de 2.000 personnes, revendique un chiffre d'affaires de 936 millions €.
Le bénéfice net est d’environ 20 millions €/an.
La famille Terradellas se partage un revenu d’environ 1 millions €/an. Le reste est transféré dans les fonds propres de l’entreprise qui atteignent aujourd’hui plus de 325 millions € (en 2020, ils étaient de 40 millions €). google.fr/amp/s/cronicag…
Pendant ce temps, victimes de la chute du cours du porc, les éleveurs sont pris en otage par les industriels de la charcuterie, lesquels se pourlèchent les babines devant la fringale retrouvée des consommateurs confinés. lemonde.fr/economie/artic…
La pression financière et les méthodes intensives font perdre aux éleveurs toute notion du bien être animal et de ce que signifie « élever des animaux »
Outre l’exploitation et l’aliénation des éleveurs, ce modèle industriel provoque des écocides, d’abord dans les forêts d’Amazonie et d’Asie du Sud est, dévastées par les cultures de soja-OGM bourrés de pesticides et exportés en Europe pour le bétail
Enfin, on trouve dans les charcuterie Herta du nitrite de sodium (E250), utilisé pour fixer les couleurs. Il est cancérigène : il favorise le cancer colorectal et le cancer de l'estomac foodwatch.org/fr/sinformer/n…
L’E250 est le produit de l’hydroxyde de sodium obtenu lors de la synthèse de l’acide nitrique, un composé chimique aussi utilisé pour la propulsion des missiles soviétiques SS-1 Scud dans les années 1956.
La production commerciale de l’acide nitrique se fait en utilisant l'ammoniac, un composé exploité par la pétrochimie. Le procédé Ostwald a permis d'utiliser l'ammoniac NH3 synthétisé par le procédé Haber-Bosch.
Ces méthodes sont cruciales pour l'industrie agrochimique.
On trouve aussi du carmin, E120, un colorant naturel extrait de la cochenille, un insecte souvent utilisé aussi pour donner la couleur de certains bonbons comme les fraises Tagada. Il présente le risque de rendre les enfants hyperactifs. google.fr/amp/s/www.cons…
La pression financière et industrielles et les politiques néolibérales des gouvernements de droite depuis 60 ans ont créé une agriculture monstrueuse.
Et le Gvt LREM favorise plus que jamais ce modèle qu’il promouvra sans vergogne jusqu’au bout de sa logique :
« Je ne veux plus parler de la science, car nous avons affaire à une technoscience, c'est-à-dire à quelque chose de monstrueux qui se sert de la science acquise pour produire de la technologie. » google.fr/amp/s/www.huma…
Le métier de chercheur est de plus en plus un métier de technicien supérieur, avec très peu de liberté d'innovation parce qu'il doit chercher là où cela paraît utile à ceux qui l'emploient.
Depuis la découverte de l'ADN et de son fonctionnement, on ne peut pas dire que la biologie ait produit des concepts nouveaux. Ce qu'elle a produit, ce sont des outils, et ce qui a progressé, ce n'est pas l'intelligence, mais la puissance d'action.
Le #clofoctol : la molécule «miracle» de l'Institut Pasteur contre le #Covid
Un simple antibiotique utilisé depuis 1978 pour soigner les infections respiratoires bénignes
Un médicament connu, efficace, peu cher, que l'on pourra utiliser immédiatement google.fr/amp/s/www.futu…
Cette molécule a une action sur les deux portes d'entrée du virus dans les cellules humaines, contrairement à l’hydroxychloroquine. De plus, il n'est pas nécessaire d'augmenter sa concentration pour qu'elle soit efficace, contrairement au Remdesivir.
Il s'agira, si ses effets sont avérés par les tests, d'un traitement précoce contre le coronavirus. La molécule pourra être prescrite au patient dès la révélation d'un test PCR positif afin d'abaisser la charge virale, réduire la contagiosité et éviter une forme grave.
La thérapie génique consiste à introduire des gènes étrangers au sein des cellules d’un patient pour traiter une maladie.
Puisque ce gène s’intègre à l’ADN du patient (tout comme on intègre un gène a une plante pour la rendre tolérante aux herbicides), il devient un humain OGM.
En 2017 eut lieu la première modification de l’ADN chez l’homme : les chercheurs ont remplacé un gène défectueux de Brian Madeux par un gène étranger. google.fr/amp/s/amp-sant…
L’étude de Séralini & Jungers montre la présence fréquente de substances toxiques et cancérogènes qui ne sont pas indiquées sur l’étiquette des produits : métaux lourds, Arsenic, Cuivre, Plomb, Nickel, hydrocarbures...
Or, les études toxicologiques sur les pesticides ne mesurent que le principe actif déclaré... Les industriels ont donc dissimulé ces données pour que leur produits ne fasse pas l’objet d’interdictions.
2021 : fini les quarantaines, pour renouer avec le profit, l’aéronautique prône un « Travel Pass », une plateforme numérique intégrant des informations sur les tests et les vaccins des voyageurs google.fr/amp/s/amp.oues…
« Le Travell Pass va permettre de gérer et de vérifier les information sur le dépistage et la vaccination des passagers en mettant en lien les gouvernements, les compagnies aériennes, les laboratoires et les voyageurs.
Dans l’immédiat, cela signifie qu’il faut convaincre les gouvernements que le test COVID-19 systématique avant le départ peut remplacer les exigences de quarantaine. Et cela finira par déboucher sur un programme de vaccination. »
Au 🇬🇧, la campagne de vaccination sera gérée par l’IA
« La MHRA [l'autorité de santé britannique] recherche de toute urgence un logiciel d'intelligence artificielle (IA) pour traiter le volume élevé attendu de réactions indésirables au vaccin Covid-19 » ted.europa.eu/udl?uri=TED:NO…
« Il n’est pas possible de moderniser les anciens systèmes de la MHRA pour gérer le volume d’information qui sera généré par un vaccin Covid-19. Par conséquent, si la MHRA ne met pas en œuvre l'outil d'IA, elle ne sera pas en mesure de traiter efficacement ces informations.
Cela entravera sa capacité à identifier rapidement tout problème de sécurité potentiel avec le vaccin Covid-19, ce qui représente une menace directe pour la vie des patients et la santé publique. »