Dans son livre La guerre des médicaments aden.be/index.php?aden… Dirk Van Duppen expliquait déjà comment la bataille pour des médicaments « stars » qui se vendent bien est menée au détriment de la santé publique.
Au lieu d’investir dans des vaccins contre le SRAS, Pfizer a continué cette politique. Au début de ce siècle, un quart des ventes de Pfizer consistait en un seul produit : l’inhibiteur de cholestérol Lipitor.
C’est seulement parce que le gouvernement a éliminé le risque commercial que les vaccins ont été développés si rapidement. Car une société pharmaceutique préférera ne pas commencer la production avant d’être certaine que le vaccin est efficace, sûr et commercialisable.
Le risque lié à l’investissement est trop élevé. Étant donné que c’est la rentabilité financière qui prime et non le besoin social, les entreprises ne passent à l’étape suivante que si elles ont une certitude totale sur la précédente.
Le géant Pfizer se plaît à affirmer qu’il n’a pas reçu de financement public pour le développement de son vaccin. Cela n’est vrai que parce qu’il possédait un vaccin développé par BioNTech, une société allemande, avec le soutien de l’argent public allemand.
Comme BioNTech elle-même ne disposait pas de l’infrastructure nécessaire pour tester et produire le vaccin, elle est tombée comme un fruit mûr entre les mains du mastodonte pharmaceutique.
Le vaccin Moderna a lui été développé à 99,9 % sur des fonds publics.
Sous le capitalisme la libre concurrence garantirait les prix les plus bas. Ces vaccins montrent l’inverse. Bien que le secteur privé n’ait pas investi et que le risque soit supporté par la collectivité, les brevets et la propriété intellectuelle restent aux mains des entreprises
C’est un peu comme si, après avoir payé pour les plans d’une chaise, sa production, et le risque encouru à l’utiliser, ainsi que son prix d’achat, vous deviez encore payer chaque année pour pouvoir vous asseoir dessus. Et c’est l’actionnaire qui empoche à chaque fois la somme.
Le gouvernement et les multinationales pharmaceutiques gardent secrète la façon dont le prix d’achat est déterminé. Tout est négocié en coulisses. Le contribuable n’a même pas le droit de savoir exactement combien il paie pour l’achat des vaccins.
Ce que nous savons, c’est que les accords sont conclus « aux frais de la princesse ». C’est à dire aux nôtres. La « volonté de payer » est un importante. Combien un pays est-il disposé à payer pour un médicament ? Un autre point crucial est évidemment la marge bénéficiaire.
Le PDG de Pfizer a jugé « fanatique et radicale » de prétendre que les entreprises ne devraient pas faire de profit sur ce vaccin. Mais le fait que les bénéfices des actionnaires soient subventionnés par l’argent des contribuables ne lui pose pas de problème.
Étant donné que, pour presque tous les vaccins contre le Covid-19, la recherche, le développement, l’expansion de la capacité de production et le risque financier (y compris pour les vices cachés) sont largement couverts par de l’argent public,
cela signifie que le contribuable paie en réalité son vaccin pour la troisième ou quatrième fois au moment de l’achat.
Soyons clairs : investir les bénéfices dans des médicaments essentiels n’est pas du tout la priorité des firmes pharmaceutiques. En 2019, les Pharma Papers ont révélé comment des sociétés pharmaceutiques sont devenues des mastodontes financiers, pour qui la santé est secondaire.
Entre 1999 et 2017, onze firmes pharmaceutiques ont réalisé des bénéfices de plus de 1000 milliards €. 90% de ce montant a été distribué aux actionnaires. Selon Peter Cohan de Forbes, Moderna pourra compter sur 34 milliards $ (28 milliards €) de revenus supplémentaires en 2021.
Pfizer-BioNTech sur 20 milliards $ (soit plus de 16 milliards €) selon CNN. D’après The Guardian, le pur profit tiré du vaccin contre le Covid dépasse de loin celui du produit le plus vendu de Pfizer, un vaccin contre le pneumocoque.
La Commission européenne a nommé sa stratégie de vaccination contre le coronavirus « réduction des risques » : le risque d’investissement de l’entreprise est transféré au gouvernement. La Commission a acheté des vaccins qui devaient encore être développés.
L’argent investi dans les vaccins qui n’aboutissent pas est perdu. Les entreprises privées ne couraient donc pratiquement aucun risque et avaient champ libre pour expérimenter n’importe quel produit pourvu qu’il soit le plus rentable.
☘️#Thread État des lieux de la Biodiversité & du Climat
« Depuis 40 ans, 60% des populations de vertébrés ont disparu. Poissons, mammifères, reptiles, amphibiens déclinent à un rythme mille fois supérieur que celui calculé au cours des temps géologiques » m.reporterre.net/Alerte-biodive…
#Biodiversité « Il existe aujourd’hui un consensus scientifique sur le fait que nous vivons une crise générale de la biodiversité et un effondrement universel, rapide et qui s’accélère », affirme Yann Laurans (Iddri).
La biodiversité — qui recouvre la diversité des écosystèmes, des espèces animales ou végétales, et des gènes — est si menacée que l’on parle désormais d’une sixième extinction de masse. Les insectes pourraient disparaître de la planète d’ici là fin du siècle.
🎥 #Thread Les stratégies des lobbys pour promouvoir la désinformation scientifique dans la société.
« Éduquer le public à la bonne science » :
La guerre des industriels (finance, pétrochimie, agrochimie, pharmaceutique...) contre la société civile.
🎥 Les Échos, le Point, l’Express, l’Opinion, Europe 1, Valeurs Actuelles, Konbini, M6... Chiens de garde de l’industrie et militants anti-science.
La Raison est instrumentalisée par des intérêts privés.
🎥 Libération parle d’un « cyclone de réactions » avant même que le livre « Les Gardiens de la Raison » ne paraisse, le même cyclone qu’avait subi Cash Investigation au moment de son enquête sur le glyphosate
Personnellement, je n’ai jamais affirmé que les vaccins génétiques modifient volontairement le génome des vaccinés ni que les injections de Rivotril étaient de l’euthanasie de personnes qui n’agonisaient pas. Et je n’ai pas connaissance du fait que Stalec l’ait lui même affirmé.
J’ai lu qu’il était mobilisé contre Monsanto et son monde et je pense qu’il est au courant des outils dont dispose l’industrie chimique pour modifier le génome des organismes vivants, comme CrisprCas9.
Le pseudo-scientifique milliardaire qui est en train de vendre des milliards de vaccins partout dans le monde nous dit que le COVID-19 va rester encore au moins 10 ans... Et qu’il faut redéfinir ce qu’est « la vie normale ».
#Thread Se dirige-t-on vers une évolution à la Polio ?
L’OMS se félicite en août 2020 que les 3 type de polio virus ont été éradiqué du continent africain Grace à la vaccination.
A n’en pas douter elle se félicitera un jour d’avoir éradiqué le SARS-CoV-2 grâce aux vaccins financés par son 1er donateur privé. franceinter.fr/amp/monde/la-p…
Il existe 3 souches de poliovirus (PV1, PV2 et PV3) parmi lesquels on trouve des sous-types.
- Le type 1, le plus fréquemment isolé chez les malades.
- Le type 2, (un type sauvage (PVS2) ET un type dérivé de la souche vaccinale (PV2)).
- Le type 3, peu répandu.
📋#Thread Rapport ATC/CNRS sur la toxicité du gaz lacrymogène CS utilisé par les FDO
Le Gaz CS provoque la métabolisation de cyanure qui entraîne des atteintes des systèmes nerveux, cardio-vasculaire et endocrinien, et des Ménorrhées chez les femmes.
De Mai 68 (7 morts) au mouvement des GJ, une histoire de l’usage du gaz lacrymogène s’est bâtie en France, avec en toile de fond des manifestations et des phénomènes d’insurrection légitimes contre le pouvoir d’Etat.
La doctrine du maintien de l’ordre s’est infléchie à la mort de Malik Oussekine (1986) : la stratégie consiste ensuite à éviter les heurts physiques et fait peu de cas des dégâts matériels. Les techniques de dispersion –en particulier les lacrymogènes– sont devenues essentielles.
La région a été particulièrement déstabilisée par « la guerre en Libye » en 2011, une campagne militaire mandatée par l’ONU grâce à l’acharnement de Nicolas Sarkozy, très proche de Bolloré cairn.info/histoire-secre….
Isolé en Europe dans son désir d’instaurer une zone d’exclusion aérienne en Libye, Sarkozy s’était tourné vers la Ligue arabe pour le soutenir. Il savait que le roi Abdallah d’Arabie détestait le colonel libyen. google.fr/amp/s/www.libe…