#Thread Cette manie de la pensée dominante financiarisée et déshumanisante de tout transformer en compétition et de ne scruter que la meilleure performance comptable immédiate.
La « médecine » n’est plus qu’une branche particulièrement pourrie de la finance.
La « médecine » n’est plus qu’une branche particulièrement pourrie de la finance.
Osons lutter pour un monde solidaire, où les connaissances, les savoir-faire et les moyens sont partagés, où les coopérations remplacent la compétition, où ce qui est essentiel à la vie humaine et à la biodiversité n’est pas sacrifiés sur l’autel du productivisme et du profit.
Ils nous gavent de vaccins génétiques et de leurs autres produits chimiques autant qu’ils se gavent de profits. Un tel business plan alliant les nouvelles biotechnologies de Bayer-Monsanto & Co et le désir insatiable de profits peut il constituer une politique sanitaire viable ?
Un modèle de société viable ?
Au siècle dernier, la poliomyélite, une pathologie infectieuse grave et très contagieuse, a fait énormément de victimes. Dans les années 1950, le chercheur américain Jonas Salk a découvert un vaccin contre cette maladie.
Au siècle dernier, la poliomyélite, une pathologie infectieuse grave et très contagieuse, a fait énormément de victimes. Dans les années 1950, le chercheur américain Jonas Salk a découvert un vaccin contre cette maladie.
Lorsqu’on lui a demandé qui détenait le brevet pour son invention, Salk a répondu : «Le peuple. Il n’y a pas de brevet. Pourriez-vous breveter le soleil ?» Ainsi le vaccin contre la polio est-il entré libre de brevet sur le marché international, permettant d’éradiquer la maladie.
Supposons que les entreprises décident aujourd’hui de rendre la production de leurs vaccins libre de droits, comme l’a fait le chercheur américain Jonas Salk avec son vaccin contre la polio.
Chaque État pourrait décider démocratiquement quel type de médicament il décide de développer, de tester selon ses standards, et d’utiliser (vaccins classiques, vaccins génétiques, antibiotiques etc...) et les citoyens sauraient exactement combien cette histoire leur coûte.
On pourrait alors lancer des chaîne de production massive partout dans le monde au lieu que ce soit le village flamand de Puurs qui serve de plaque tournante pour un vaccin expérimental développé à la va vite et imposé de manière totalitaire par l’industrie pharmaceutique crade.
Mais le capitalisme ne s’inscrit pas dans cette logique. On dit que le capitalisme se base sur la libre concurrence. Mais les brevets et les droits de propriété intellectuelle éliminent cette concurrence et confèrent à une ou plusieurs entreprises un monopole sur le vaccin.
La concurrence entre multinationales ralentit le développement de vaccins de qualité, et leur distribution.
Le système économique financiarisée, stressé par la gestion de la pandémie, travaille tout entier à accoucher de la solution la plus rentable et donc la plus sale.
Le système économique financiarisée, stressé par la gestion de la pandémie, travaille tout entier à accoucher de la solution la plus rentable et donc la plus sale.
On nous plonge chaque jour un peu plus la tête dans des chiffres effrayants pour qu’on arrête de penser au monde que nous sommes en train de fabriquer. Le sentiment de passivité lié au fait d’être entravé ne doit pas faire oublier que nous travaillons tous à enrichir les + riches
Et ce sont ces + riches, qui concentrent l’argent et donc le pouvoir, qui décident par leurs investissements des solutions technologiques, industrielles et même politiques à nos problèmes actuels. Or ce système n’est pas juste inégalitaire et inhumain, c’est une aberration totale
Par ex, si Moderna avait partagé sa technologie, il n’y aurait pas eu besoin de super congélateurs pour le vaccin de Pfizer. On a deux vaccins très similaires (ARN) pour lesquels il faut des protocoles différents. La logique capitaliste de la concurrence est totalement inefficace
En outre, les prochains vaccins devront démontrer autant d’efficacité en terme financier pour venir concurrencer les produits déjà enregistrés. Même si ce sont des produits moins risqués, moins chers pour le contribuable, et plus faciles à produire ou à distribuer.
https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1332035314160979970
L’approbation rapide des vaccins entrave donc le développement de concurrents potentiellement meilleurs et pourrait même s’avérer contre-productive à long terme. L’opacité sur les prix et la gestion anti-démocratique ne font en plus qu’exacerber la défiance initiale.
https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1345395359003119618
Enfin, les droits de propriété intellectuelle limitent la production et la disponibilité du vaccin. Pendant ce temps, les pays occidentaux ont rapidement acheté les stocks disponibles. Dans les pays les plus pauvres, aucun vaccin ne sera disponible avant 2023.
Des documents internes de CoVax (le dispositif d’accès mondial pour un vaccin contre le Covid-19) font penser que des milliards de personnes devront même attendre jusqu’en 2024. ptb.be/devons_nous_di…
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