Petit thread de mise au point à l'intention de tous les experts, aux @Hopitaux_unige et ailleurs, qui prétendent que leur décision de ne pas prescrire de l'#ivermectine est basée sur leur rationalité leur amour de la "Science™"...
L'ivermectine est extrêmement sûre (profil de sécurité connu depuis des dizaines d'années), efficace sur la mortalité en traitement (-75% sur la base de 18 essais contrôlés randomisés sur plus de 2000 patients), efficace en prévention (-88% d'infection, 4 études), bon marché...
Vous autres "experts" refusez de l'utiliser "faute de données suffisantes" mais n'avez aucun problème avec l'idée qu'on ait commencé à utiliser des vaccins sans disposer de données d'études, même en prépublication, sans données indépendantes, sans respecter la procédure usuelle..
OK, je comprends, situation d'urgence, le rapport bénéfice / risque était favorable aux vaccins. Soit. Mais vous n'avez vu aucun souci non plus dans l'approbation du remdesivir, à l'impact clinique proche du zéro absolu et aux effets secondaires (rapidement connus) importants...
Vous n'en avez pas non plus vu dans l'utilisation des anticorps monoclonaux ou du plasma de convalescence, alors que leur bénéfice clinique est très faible et leur coût très élevé. Pire encore, pour toutes ces molécules, leur usage a commencé sans avoir d'études évaluées par...
... les pairs, mais selon vous il n'y en a jamais assez pour l'ivermectine!
Je vous trouve hypocrites, totalement incohérents, et
donc forcément, très incompétents aussi
A titre personnel, je ne vois pas quels arguments on peut opposer à ça, mais je vous écoute volontiers.
Le principal souci étant: on ne peut pas faire passer le rapport bénéfice / risque avant le respect strict de la procédure pour une solution (les vaccins) et insister sur des données parfaites sur une autre (l'ivermectine), alors que les bénéfices cliniques sont comparables! NON!
Par ailleurs, ce qui renforce le manque de cohérence, les mêmes experts ne disent rien (au mieux) ou valident avec enthousiasme (souvent) les interventions non-pharmaceutiques (confinement, couvre-feu, masques dehors, écoles) qui ne sont simplement PAS validées scientifiquement!
Je vais sûrement regretter d'avoir écrit "incompétents" un peu plus haut (je le regrette déjà), mais, honnêtement, expliquez-moi quelle autre conclusion on pourrait en tirer sur la base de ces données-là?
Il y a des vies en jeu, nom d'une pipe, et ce qui est certain, c'est que le risque impliqué par la prescription à large échelle de l'ivermectine est extrêmement faible. Donc, même en supposant que son effet sur la mortalité soit moins spectaculaire que prévu, ça en vaut la peine.
Parfois, j'ai le sentiment très désagréable que les experts et décideurs en matière de santé publique vivent sur une planète différente de la mienne, et que sur leur planète à eux la logique la plus élémentaire ne s'applique plus; ça me rend perplexe.
Et je ne suis pas le seul: le camp des perplexes inclut les spécialistes de méta-analyses pour l'OMS que sont la Dr Tess Lawrie et le Dr Andrew Hill, des pointures de la médecine comme le Dr Thomas Borody et les Drs de la FLCCC qui ont déjà eu raison sur les corticostéroïdes...
... il y a aussi, en Suisse, les médecins des hôpitaux et permanences qui ont adopté l'ivermectine pour soigner leurs patients covid. Ce n'est donc pas "les réseaux sociaux contre la Science", c'est "la vraie Médecine qui soigne contre une vision étriquée de la médecine".
#Ivermectine: Tout savoir grâce à des vidéos sous-titrées français ! A commencer, par la petite dernière, la vidéo la plus complète et la plus à jour sur l'état de la recherche, 40 minutes avec le Dr Pierre Kory qui vont dans le détail: vimeo.com/502654566
Les vidéos des interventions en décembre au Sénat US de Pierre Kory, touchantes, très accessibles et courtes (moins de 10 minutes), qui ont beaucoup contribué à attirer l'attention sur l'ivermectine: d'abord celle qui présentait les données cliniques:
Dans celle-ci, le Dr Kory présente quelques données épidémiologiques, et explique notamment comment une campagne de "vermifugation" a permis de lutter contre la COVID dans un état du Paraguay:
Je voulais mettre à disposition aujourd'hui une longue interview de Pierre Kory sur l'ivermectine traduite en français avec l'aide de @Dahuuu. Ce sera pour un autre jour, et peut-être sur Odysee ou Vimeo: elle a été préemptivement retirée de youtube pour "contenu inapproprié".
C'est vrai que de présenter pendant 39 minutes des résultats d'études cliniques, c'est totalement inapproprié. C'est l'occasion de rappeler, même si on dirait que tout le monde s'en fout complètement, que la recherche sur l'ivermectine est censurée sur les réseaux sociaux.
La FLCCC, le groupe de médecins dont fait partie Pierre Kory, ont vu leur compte Facebook censuré à plusieurs reprises, sont invisibles sur Youtube. La vidéo de Tess Lawrie sur sa meta-analyse a été retirée de Youtube, même des liens vers des journaux scientifiques sont bloqués..
Donc, si vous vivez en Suisse et avez un proche vulnérable, ou êtes vous-même vulnérable, prenez note de quels hôpitaux vous proposeront des traitements avec un faible impact sur la mortalité, et desquels vous proposeront au contraire un traitement qui peut sauver des vies.
Il s'agit vraiment, potentiellement, d'une question de vie ou de mort, de parents ou grands-parents qui, en fonction de l'hôpital que vous choisirez, ne seront pas traités de la même manière, et pas avec les mêmes résultats.
Je n'aime pas twitter, les réseaux sociaux, je me réjouis de les quitter. La seule raison pour laquelle je passe du temps à traduire et rédiger, c'est pour que les gens que j'aime et ceux que vous aimez aient accès au meilleur traitement possible. Là, on s'en rapproche.
1/n "Nous n'avons pas encore assez de données pour valider l'utilisation de l'ivermectine" FAUX.
Nous avions mi-décembre:
– 24 essais, 7 825 patients, avec groupes de contrôle bien appariés
– 15 essais contrôlés et randomisés avec plus de 3 000 patients
ça a augmenté depuis
L'ivermectine offre un bénéfice extrêmement élevé en terme de réduction de la mortalité (-83% sur la base des essais contrôlés randomisés disponibles), est très sûre, ne coûte rien. Jetons un oeil aux conditions qui ont permis l'adoption dans les hôpitaux des autres traitements:
Remdesivir, adopté en dépit de faibles impacts cliniques (pas d'effet sur la mortalité), d'effets indésirables importants, de données alors non-revues par les pairs, d'un coût élevé et de directives contradictoires (OMS vs NIH)
Il y a un consensus depuis le début: on ne peut sortir de cette pandémie que par une vaccination. Le cardiologue suisse Paul R. Vogt n'a aucun doute sur l'efficacité d'une vaccination, mais fait une proposition alternative: une association médicamenteuse antivirale ...
Premièrement, un anticoagulant; puis l'ivermectine, dont le formidable effet réducteur de virus a été démontré in vitro; Hydroxychloroquine, zinc et Zithromax, pour empêcher les virus de pénétrer dans les cellules; Vitamine C et vitamine D pour soutenir le système immunitaire...
Vogt souhaite proposer au Conseil fédéral et aux instances compétentes de permettre une sorte d'approbation d'urgence de l'association médicamenteuse. Au moins pour les patients qui le souhaitent. Ce qui est également nécessaire le plus rapidement possible: Une étude randomisée