1/9 Le pouvoir, quel incroyable champs des possibles ! Par lui, des vies changent. L’espoir se transforme en bonheur; la misère en du vent qui rivalise à peine ! Il est la force motrice qui matérialise la volonté que l’on peut avoir.
2/9 On a aimé #Mandela. Par son pouvoir, il a jeté les bases d’un pays qui a tourné le dos à l’apartheid. Et #Gandhi ? Un défenseur de premier rang opposé aux injustices sociales. Des portraits qui font rêver et qui auraient dû suffire à résumer ce pouvoir exercé au nom de tous.
3/9 Mais, ces beaux exemples parsèment modestement l’histoire de l’humanité. Nombreux, des cas d’exercice du pouvoir où l’abus et la déception sont si fréquents qu’il est légitime de se demander si le pouvoir n’est-il, in fine, un moyen de renforcer le statut de ses détenteurs?
4/9 Totalitaires, despotes, autoritaires... le graal s’est présenté sous toutes les coutures: d’une rigidité narcissique à un semblant de flexibilité sous le couvert d’une subtile manipulation. Il a impliqué des tragédies et frustrations aussi vives que grands ont été les espoirs
5/9 Espoirs suscités toujours par le même cycle : Charme et beaux discours pour séduire. Puis des gestes pour dompter l’émotionnel.
La confiance est accordée ! Le pouvoir change de mains.
Au début, le pouvoir se montre généreux. Ses racines n’ont pas encore fait remonter la sève.
6/9 Assez vite, on est rattrapé par la perte de contact entre l’heureux élu et son peuple. Ceux qui y croient encore, c’est pour auréoler un «saint» canonisé avant de mourir; de mourir à lui-même. Des actions et des décisions qui font juste dire « c’est moi le chef ici ! »
7/9 Le pouvoir est ainsi personnifié à l’individu, subtilement (même en "démocratie") ou ouvertement.
Et pour ne rien arranger, ce pouvoir toujours trop grand pour une poignée d’individus, les prend au piège si facilement qu’il met en exergue la faiblesse morale à lui résister.
8/9 Et le supposé bénéficiaire: le #peuple? S’il ne se laisser gagner par des frivolités; la dureté de sa condition lui fait prendre conscience que les actifs des gouvernants n’ont pas amélioré sa situation. Le pouvoir qui a tout changé pour eux, n’a rien changé pour lui
9/9 De là, il se met à réfléchir. Il comprend que le pouvoir ne sert que celui qui le détient. Et pour que tout le monde jouisse du pouvoir, tout le monde doit le détenir. Le pouvoir du changement collectif est celui dont tout le monde possède une portion: le #PouvoirCitoyen
#THREAD / Vision d’une vie nationale forte (remake)
1/7 Il n’est pas sage de préférer les avantages des relations avec l’extérieur à l’intégration des composantes intérieures.
2/7 Une Nation qui s’ouvre avec l’extérieur ne peut être forte que si elle a trouvé les moyens de se consolider à l’intérieur.
3/7 Si, à l’échelle d’une Nation, les questions d’identité ne sont pas posées ou mal posées, la menace d’une extinction de masse est palpable : les expatriés colonisent nos espaces et ressources, l’ethnicisme devient la norme et les tueries des compatriotes nous affectent peu.
J’AIME LE POUVOIR.
Regard du politicien congolais sur le pouvoir. #THREAD
(1/11) J’aime le pouvoir.
Dès mon enfance, j’ai observé les avantages de détenir le pouvoir. En famille, à l’école et dans quelque milieu, un mot de l’autorité suffisait à donner vie à n’importe quel désir
(2/11) Mobutu a marqué ma génération. Il m’a aidé à établir le lien entre ce goût du pouvoir des relations à celui du pouvoir politique. Son charisme, sa bourgeoisie, son aura qui se faisaient exécuter tout le monde; ont prolongé ma liste de ce que représente la valeur du pouvoir
(3/11) Je savais que la richesse, la capacité de disposer de n’importe quel bien public, était intimement liée à la détention du pouvoir. J’admirais ces ovations sur le cortège présidentiel: les voies se libéraient, tout le monde accourait; la vie ne pouvait pas être plus belle!
Être ou n’est pas être ?
Ces êtres chers qui nous quittent
Jour après jour, que de tristes nouvelles !
Le tout de la vie comme rien,
Rien de tout qui nous réunit ou
Tout de rien où nos cœurs fondent 1/3
Fragilité trahie par le vent qui passe
Tourbillons qui balaient tout
Homme d’hier, émoi d’aujourd’hui
Le Faucheur, toujours si fier de lui
Faire de l’être, un fait du passé
Une histoire, des souvenirs, du souffle
2/3
Impuissant, éternel perdant!
La bataille toujours perdue d’avance
Pourtant, pour quiconque croit
Mort d’ici, tremplin pour l’au-delà
Œuvres renaissantes de la foi
Du nuage des poussières à l’étoile;
Étoile qui brille dans l’autre monde
Rayon de vie sans fin, triomphe ultime.
3/3
Le mot employé dans le Nouveau Testament grec pour : juger ou jugement est Kpiv.
SENS I: distinguer, décider, déterminer, conclure, éprouver, penser et mettre en doute.
2/10 : SENS II: condamner, prononcer un jugement contre… et punir. C’est la prérogative de Dieu car Il a dit : « A moi la vengeance, à moi la rétribution » (Rom 12/19).
3/10 : JUGER OU PAS JUGER?
B. L'ÉCRITURE MAL COMPRISE
Une des paroles de la Bible, la plus connue, la plus mal comprise et la plus mal appliquée est : « Ne jugez point » (Mat 7/1). En lisant le passage en entier, voici la lumière qui s'en dégage que: