Thread by @DocteurGonzo4

❌ #Thread Apocalypse écologique

Maintenant que BigPharma nous a vendu la technologie ARN avec ses vaccins à ARN expérimentaux...

@Bayer-Monsanto et @Syngenta vont mettre sur le marché des PESTICIDES À ARN... qui opèrent par «neutralisation génétique» google.fr/amp/s/www.ecow…

Cette histoire se passe pour l’instant aux USA, mais vu la stratégie de l’UE et du Gvt LREM consistant à promouvoir les OGM et l’agrochimie, ça devrait vite arriver en France. D’autant que, comme pour les vaccins, la loi ne permet pas de protéger les citoyens de ces biotech

https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1336920598107332609

Aux USA, les règles sur les pesticides de l'Environmental Protection Agency ont été rédigées il y a 50 ans, bien avant que les régulateurs puissent imaginer une classe de pesticides susceptibles de modifier génétiquement des organismes vivants...

Grâce à Biden qui n’oppose aucune résistance (son ministre de l’agriculture est surnommé « Mr Monsanto »), les agriculteurs des États-Unis vont bientôt remplir leurs réservoirs de pesticides à ARN interférent (ARNi). infogm.org/7124-ogm-etats…

Ces pesticides à ARN sont des produits chimiques de synthèse agissant comme des agents « d’extinction de gènes » (gene silencing).

L'extinction de gène est un processus épigénétique de régulation de l'expression des gènes empêchant la production d'une protéine en agissant sur un gène spécifique, en l’occurrence une protéine vitale pour les insectes, ce qui entraîne leur mort.

Le pesticide déclenche un processus à l'intérieur des cellules des insectes pour désactiver ou «faire taire» les gènes qui sont essentiels à la survie - comme ceux nécessaires pour fabriquer de nouvelles cellules saines - ce qui les tue.

Concrètement, les insectes ciblés qui y sont exposés - soit en mangeant des cultures pulvérisées avec la substance soit en atterrissant sur une culture et en l'absorbant par leur corps - seront irrémédiablement génétiquement modifiés et pour la plupart, périront.

Evidemment, le géant allemand Bayer et la mafia de la chimie affirment que ces pesticides à ARNi ciblent des insectes spécifiques.

Mais l'histoire génétique d'un écosystème ne correspond pas au business model de Monsanto.

Des chercheurs indépendants du secteur privé avertissent que des milliers d'espèces d'insectes ont des séquences génétiques qui correspondent ou sont suffisamment similaires pour être modifiées involontairement d'une manière qui entraînerait leur mort.

Parmi les préoccupations soulevées par les scientifiques figurent notamment les menaces pesant sur les abeilles et autres insectes essentiels à la pollinisation, aux écosystèmes et à la production alimentaire.

Une étude de 2017 indique ainsi que les abeilles sont endommagées par les pesticides à ARNi. Or, même sans ces pesticides, 40% des espèces d'insectes sont déjà menacées d'extinction dans les décennies à venir à cause des pesticides conventionnels.

Il s'agit d'une perte si grave qu'elle pourrait provoquer un effondrement catastrophique en chaîne des écosystèmes naturels, diminuer drastiquement la variété de notre alimentation, et provoquer de graves famines.

Le plus inquiétant est qu'une fois que ces agents d’extinction de gènes sont libérés dans l'environnement, il n'y a pas de retour en arrière possible. Or, les preuves montrent que les modifications génétiques liées à l'ARNi sont transmises jusqu'à 80 générations...

Quant aux effets potentiels sur la santé humaine des pesticides à ARN, y compris sur les agriculteurs, ils sont encore très mal connus.

La recherche indique que l'ARNi naturel que nous consommons dans nos aliments pourrait réguler les gènes de notre corps. Cela suggère que l'ARNi synthétique pourrait affecter l'expression de nos gènes, et provoquer des dommages.

L'industrie des pesticides présente les pesticides à ARNi comme une solution à un problème créé par l'industrie elle-même: la résistance des mauvaises herbes et des ravageurs aux pesticides classiques.

En effet, plus de 540 espèces d'insectes et plus de 360 ​​types de mauvaises herbes ont évolué pour résister aux effets mortels des pesticides couramment utilisés. Ils deviennent inutiles pour les agriculteurs en plus d’être cancérigène et perturbateur endocrinien pour le vivant.

Malgré des augmentations drastiques et coûteuses de l'utilisation des pesticides, certaines analyses montrent que les agriculteurs perdent plus de leurs récoltes à cause des ravageurs aujourd'hui qu'ils ne le faisaient dans les années 1940.

Malheureusement beaucoup d’agriculteurs sont encore soumis au dogme de l’agrochimie et ne comprennent ni l’esclavage économique ni l’apocalypse écologique que ce système fait perdurer.

Les géants des pesticides comme Bayer et Syngenta ont besoin de nouveaux produits à vendre. Une part importante de leurs revenus est liée aux pesticides. Et à mesure que les preuves scientifiques s'accumulent, l'industrie est confrontée à des pressions croissantes.

Non seulement les pesticides à ARNi pourraient fournir une nouvelle gamme de produits lucratifs, mais les entreprises semblent les utiliser pour étendre leurs droits propriété sur la nature d'une manière sans précédent.

Les fabricants déposent des brevets qui revendiquent des droits de propriété sur les organismes exposés aux pesticides ARNi ainsi que sur leur progéniture. C’est donc un projet de privatisation de la Nature déjà bien entamé qui se cache derrière ces pesticides.

Au moins un produit a déjà été soumis à l'Agence de protection de l'environnement pour approbation. Dès l’approbation, les multinationales de l’agrochimie pourront commercialiser ces nouveaux pesticides ARNi sans évaluation significative des risques sanitaires ou environnementaux