Mme Hidalgo retweete ces accusations ridicules et délirantes.
Le sénateur Féraud et la maire de Paris affirment donc que nos tweets #saccageparis sont "une opération de propagande bien organisée relayée par qques comptes anonymes".
On se demande qui sont les "quelques comptes" (11 000) qui ont "relayé". Les gens comme vous et moi ? Les anonymes comme Dati, Le Pen, Le Monde ou Libération ?
La débilité de ces accusations complotistes fait pitié, et rappelle les basses manœuvres des régimes autoritaires.
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Un réflexe naturel, pour une personne normale et sincère, serait d'insulter ces élus qui crachent à la figure du populo. Essayons de ne pas tomber là-dedans !
En revanche, si une plainte en justice est envisageable, pour ma part je suis partant.
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La violence, la bassesse et la maladresse insigne des réactions de ces hiérarques est révélatrice. Autant de l'impact de ce petit mouvement citoyen que de leur état d'esprit.
S'ils grognent et mordent, c'est qu'ils se sentent acculés : ils sont en position de faiblesse.
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Un tweet qui buzze (+ de 400 000 vues pour celui-ci) n'a plus du tout le même sens qu'un message vu par une petite communauté. Alors je me permets quelques explications.
Je n'ai rien contre cette assoc ni contre les autres, innombrables, qui gravitent autour de la "réduction des risques" liés aux drogues illégales.
Rien non plus, évidement, contre la techno et les raves. Ce sont d'ailleurs des milieux que je connais un peu.
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Ces groupes font souvent un travail important, qui pallie une défaillance des institutions publiques (et complète l'action d'institutions plus "classiques" comme la Protection civile ou la Croix rouge).
L'association participant à la rave party en Bretagne qui a protesté contre sa dispersion est un des chouchous de la mairie de Paris.
Domiciliée dans le 19e, elle perçoit d'importantes subventions de la Ville.
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Ainsi, en 2019, elle a reçu sur proposition de Mme Souyris 80 000 euros pour financer un "drug truck".
Justification : la "santé dans les quartiers populaires" (!!!). Les rave parties sont rares à Barbès, mais quand on aime on ne compte pas.
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On remarque que ce projet de "drug truck" avait été refusé par le "Budget participatif".
"Pas grave", semble s'être dit la mairie. "Si les Parisiens n'en veulent pas, on trouvera un autre biais. On peut prendre des sous destinés à la santé des pauvres, ça ne se verra pas."
On sait que les affichages supposés de gauche ne sont jamais sanctionnés ni retirés. Les collages dits féministes bénéficient de la protection la mairie.
Un pas de plus vient d'être franchi avec la "grâce" accordée par la Souveraine à LREM : "Je leur fais cadeau des amendes"...
L'extrait vient d'un article de Valeurs actuelles, qui n'est pas, personnellement, ma tasse de thé. Mais c'est le seul média, à ma connaissance, qui ait relevé cette déclaration, scandaleuse à tous points de vue, de la maire de Paris.