Double agression d'Estelle Redpill, à l'instant, par des jeunes gens issus de l'immigration africaine. 1/
Redpill se rendait au commissariat pour une affaire de harcèlement en ligne. À un arrêt de bus, un jeune homme l'a reconnue. 2/
Il s'est mis à la filmer, à la pousser, à la couvrir d'insultes (« salope, sale facho, sale raciste »). Elle a protégé son visage avec une simple chemise de documents ; il a tenté de la lui arracher, sans succès. 3/
Deux autres personnes ont assisté à la scène, sans oser intervenir. L'agresseur a fini par s'en aller, avant que le bus n'arrive. 4/
Redpill s'installe. Mais des gendarmes, alertés alors qu'ils se trouvaient non loin de la scène, entrent dans le bus avant que celui-ci ne démarre. 5/
Nom et adresse sont pris. L'agresseur, « déjà connu des services », sera retrouvé, disent-ils. Il faut donc déposer plainte au commissariat — là où Redpill comptait se rendre, justement. 6/
Métro. Il faut acheter un billet de transport. Redpill sort sa carte bleue : deux "jeunes" (comme dit pudiquement la Presse) tentent de la lui dérober. 7/
Cette fois une passante intervient et force les deux voleurs à abandonner leur tentative. « Faites très attention, Mademoiselle, surtout pendant le confinement », lui dit-elle. 8/
Redpill parvient finalement au commissariat, où elle se trouve encore à l'heure qu'il est. Elle n'est heureusement pas blessée. 9/
« Je n'en peux plus. Ils font tout pour que l'on s'écrase, pour que l'on ait peur d'eux. Mais je ne me tairai pas. » 10/
« Je ne veux plus me laisser faire, je ne veux plus subir ces gens. Ils ont gâché ma jeunesse, ils ont pourri ma scolarité, et maintenant ils m'agressent dans la rue. » 11/
« Je suis vraiment contente de m’être lancée dans ce combat : leur violence prouve que j'ai raison. Mais je ne vais plus pouvoir sortir toute seule de chez moi. » 12/
Cette histoire est une parfaite illustration d'un discours prononcé par Renaud Camus en 2010, "la nocence, instrument du Grand Remplacement". J'en laisse un extrait ici, pour terminer. Le texte complet se trouve ici : in-nocence.org/index.php?page…
« Ce n’est pas à des voyous que vous avez affaire, c’est à des soldats. Enfin si, ce sont bien des voyous, mais ces voyous sont une armée, le bras armé de la conquête.
« La nocence, que ce soit le bruit, que ce soient les déprédations, que ce soient les occupations de halls d’immeubles et les exigences du regard baissé au passage,
« que ce soient les vols, les arrachements de sacs de vieille dame, les rackets au sein des écoles, les cambriolages, les attaques à main armée, le trafic de drogue, l’ensemble de ce qui est pudiquement appelé désormais le grand banditisme,
« ou bien, les formes nouvelles, ultraviolentes, du crime organisé, la nocence est l’instrument du Grand Remplacement du changement de peuple, de la contre-colonisation, de la conquête, de l’élargissement permanent des zones de territoire déjà soumis aux néocolonisateurs.
« En rendant la vie impossible aux indigènes, les nouveaux venus les forcent à fuir, à évacuer le terrain – c’est ce que les Anglo-Saxons appellent le « Whiteflight », la fuite des blancs.
« Ces colonisateurs qui sans cesse reprochent aux indigènes de ne pas les accueillir suffisamment, ni assez bien, ne semblent avoir rien de plus pressé, une fois dans la place, que de se l’assurer tout entière et,
« comme tous les colonisateurs, ils ne rêvent que d’être entre eux, les indigènes n’étant bons, éventuellement, qu’à faire tourner l’entreprise, à tenir le magasin.
« Les attaques dont font l’objet les pompiers, les policiers et même les médecins dès qu’ils s’aventurent dans les zones déjà soumises le montrent assez : c’est en termes de territoire,
« de défense du territoire et de conquête du territoire que se posent les problèmes qu’on réduit quotidiennement à des questions de délinquance, de lutte contre la délinquance.
« En de pareilles proportions, la nocence n’est pas un phénomène qu’on peut abandonner à l’action policière ou à celle des tribunaux, dont on connaît d’ailleurs la mollesse, engluée qu’elle est dans un réseau de lois, de règlements,
« de directives européennes et même de traités internationaux qui laissent la Nation sans défense et qui font de la Cité une ville ouverte, une sorte de Troie.
« Le système pénal, qu’il soit policier ou judiciaire, est impuissant. Chaque fois qu’un indigène est sommé de baisser le regard et de descendre du trottoir, c’est un peu plus de l’indépendance du pays et de la liberté du peuple qui est traîné dans le caniveau. »
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Journée mouvementée. Des journalistes de "Quotidien" sont venus aujourd'hui au château. Évidemment je m'attendais à ce qu'ils soient hostiles — mais ce que j'ai vu et entendu m'a sidéré. 1/
Nous sommes le 20 mars, premier jour du printemps, et jour de la venue d'Estelle Redpill à Plieux. 2/
Quelques semaines plus tôt, de jeunes gens avaient attiré mon attention sur son cas. "Elle mène le même combat que Camus, mais pour les jeunes", m'avaient-ils dit. 3/
Aujourd'hui, plongez dans le Twitter anti-camusien 👻
Ô amis, cela vaut le détour. Au menu : soraliens, lesqueniens, asensiens et robiniens. Nous avons appris au passage que la censure Amazon venait directement d'un certain @gov_hm. 👇
Je vous recommande @gov_hm, visiblement tenu par quelqu'un de très immature. Il est à la fois très mal renseigné et habité par la haine de @RenaudCamus — ce qui donne des publications d'un grand comique involontaire, où se lisent ses propres obsessions :
@gov_hm, antifa mâtiné d'asensisme, persuadé de combattre de vils nazis, se fait le relais des "Sleeping Giants" : de lui vient certainement le "shadow ban" Amazon. @rimokh1@OuchikhKarim
On prétend que @RenaudCamus n'a pas été victime de censure par @AmazonFrance. Que s'est-il passé, précisément ? Suivez le guide 👇
1. Le 18 novembre, Amazon retire de son catalogue Le Grand Remplacement (pour "contenu pornographique" (??)). Soutiens nombreux, protestations, mails : Amazon recule, deux jours après.
2. Le 14 décembre, je remarque que la recherche "Renaud Camus" ne donne que des résultats bizarres, inadéquats, quand l'on passe par la barre générale.
« Mélange de modernisme choisi et de conservatisme profond, d’audace délibérée et de classicisme foncier, de pessimisme grognon et d’humour » : tel est Renaud Camus.
Ce qu'en disent les lecteurs :
« Lire un seul volume de ce "grand" journal est insuffisant. Il faut se pencher sur la totalité des volumes qui ne sont pas tous de même intérêt certes ; mais et tout lire. Renaud Camus raconte tout ; cela donne la sensation
Il m'arrive de penser que @RenaudCamus exagère, quand il dit que les Français sont hébétés au point de ne plus comprendre le sens de leurs propres paroles.
Ainsi, il y a cinquante ans, les jeunes gens de douze ans s'exprimaient avec plus de netteté, plus de précision, plus d'élégance que n'importe quel ministre d'aujourd'hui.
Je ne comprends pas pourquoi personne n'a pris soin de brûler ces archives.
Ce sont des preuves magnifiques, quoique douloureuses, qu'il a bel et bien existé une France d'avant, une France sans petit et sans grand remplacement. Ceux qui n'étaient pas encore nés en 70 peuvent le voir, de tous leurs yeux.
« Une boîte de préservatifs offerte en Afrique c’est trois noyés en moins en Méditerranée, cent mille euros d’économie pour la Caf, deux cellules de prisons libérées et trois centimètres de banquise préservée. » #ProcèsBanquise