Thread by @CJuridiques

Est justifié le licenciement du responsable d'animalerie obsédé qui explique à sa stagiaire de 17 ans que son poisson est mort car elle a dû « se le mettre dans la chatte ».

Cour d'appel de Bordeaux, 24 sept. 2015, n° 14/05358

« Moi ce que j’adore c’est combler les deux trous en même temps, faire de nouvelles positions bien hard. »

👇Déroulez pour découvrir les autres phrases de ce poète :

« tu t’élargis des fesses, tu vas porter la culotte de cheval plus tard »

Alors qu'elle et une autre stagiaire demandaient un retour sur la visite de leur professeur principal :
« j’ai dit que toi tu étais conne et que tu ne pensais qu’au cul, et que toi tu pétais plus haut que ton cul, et que tu dandinais trop ton cul ».

« Alors, t’as baisé avec ton copain ? »

« Regarde ce poisson, il est beau, il a une belle queue. »

« J’ai testé un bisou sur la chatte pour me faire pardonner. »

En regardant sa collègue stagiaire :
« Elle a un beau cul, je l’enculerais bien ».

Alors qu’elle était là en tant que client sur le magasin avec son petit frère de 12 ans et son ami, en parlant d’une ancienne collaboratrice :
« j’aurais aimé qu’elle me suce comme cadeau de départ ».

À propos d’une cliente en jupe courte :
« C’est une salope, une prostituée ».

« Ton poisson est mort car tu as dû le mettre dans ta chatte ».

« À chaque fois que je te vois, je bande ».

« Tu es moche et grosse ».

Nous sommes par conséquent dans l’obligation de vous notifier par la présente lettre votre licenciement pour faute grave, qui prend effet immédiatement, sans indemnité de préavis de licenciement.

Bien à vous,
Jardiland

doctrine.fr/d/CA/Bordeaux/…