Guyane : un projet de centrale à hydrogène présenté comme « durable » et « innovant » va détruire 50 ha de forêt amazonienne avec la complicité de l’État français. Le peuple autochtone trahi et méprisé.
Derrière la centrale « verte », un fonds d’investissement parisien : Meridiam. Le fondateur, Thierry Déau, est l’un des instigateurs des « dîners londoniens » qui ont permis à E. Macron de récolté 1 million d’€ auprès de riches donateurs pour financer sa campagne présidentielle.
Cette proximité entre le principal actionnaire de la centrale et l’Élysée interroge, et s’ajoute à une autorisation d’exploitation obtenue en un temps record, l’absence inexplicable de dérogation à la destruction d’espèces protégées, le silence de la préfecture,
l’intimidation des acteurs locaux, la confiscation de terres promises aux Amérindiens... Tout, dans ce projet, semble profiter d’un ´ soutien aveugle, colonialiste et criminel de l’État français.
En outre, nul ne peut dire si cette énergie « verte » sera bel et bien mise au service de la population. En réalité elle vise à nourrir les besoins de l’industrie minière guyanaise, très gourmande en électricité, tel les mines d’or artisanales et le projet Montagne d’or.
9 mois après le Ségur de la Santé, les soignants alertent : ils sont malgré eux complices d’une carence de soins organisée.
Seuls les critères d’efficience et de performance économique sont pris en compte par les décideurs. Un fonctionnement inhumain. google.fr/amp/s/www.libe…
Derrière les annonces, il n’y a aucune création de lits pérenne. Les enveloppes ne sont dégagées que pour permettre à certains hôpitaux d’ouvrir temporairement 10 ou 20 lits pour faire face à des suractivités ou à des pathologies saisonnières.
La vérité, c’est qu’il est impossible de sortir du dogme de la fermeture des lits sans réformer le mode de financement et le mode de gouvernance des hôpitaux.
Les projets actuels sont examinés au travers des critères de performance économique inaccessibles.
#Thread Les vaccins de Moderna, Pfizer/BioNTech et J&J (les 3 autorisés aux USA) sont basés sur l’usage d’une version modifiée de la protéine Spike du coronavirus.
La protéine spike du SRAS2 est la protéine qui permet au virus de se lier à sa cible, en l’occurrence le récepteur ACE2 humain, ce qui lui permet d’infecter les cellules humaines, ce qui déclenche la maladie.
Grâce aux outils de génie génétique, il est possible de modifier en laboratoire la protéine spike pour qu’elle se lie à tel ou tel récepteur de tel ou tel espèce.
« Si nous ne rejoignons pas les « anti-masque » ce n’est pas par peur d’être traité de « complotistes » mais parce que nous nous opposons à leurs discours et au champs politique dans lequel ils s’inscrivent. »
- Ce type de moteur de recherche utilise Bing. Lilo reverse donc une partie des bénéfices à Microsoft qui peut en outre lui couper l’accès à Bing à tout moment. lemonde.fr/videos/article…
Près de Saint-Nazaire, l’usine chimique de la multinationale Yara pollue impunément depuis une décennie. Elle rejette des effluents d’azote et de phosphore directement dans l’estuaire de la Loire. mediacites.fr/enquete/nantes…
Si l’Etat n’agit pas contre l’envahisseur capitaliste et chimique, qui le fera ? Et comment ? À quel moment se dit-on que les marches #Climat et les lanceurs d’alerte ne suffisent pas, et ne suffiront jamais ?