Le train à hydrogène d’Alstom n’émet pas de CO2 il fonctionne grâce à des piles alimentées par deux grands réservoirs d'hydrogène présents sur son toit. Ce carburant est fourni par l'entreprise 🇩🇪 Linde, qui le fabrique à partir du reformage du méthane. google.fr/amp/s/www.fran…
Cette méthode est utilisée dans l'industrie pétrochimique : de la vapeur d'eau est chauffée à très haute température et mélangée avec du méthane, ce qui crée une fracturation hydraulique.
Sous l'action de la vapeur d'eau et de la chaleur, les atomes qui constituent le méthane (CH4) se séparent et se réarrangent en dihydrogène (H2) d'une part et dioxyde de carbone (CO2) d'autre part.
Cette technique pose donc deux problème. 1 Elle produit du CO2. 2 Elle provoque des émanations de méthane dans l'atmosphère, un gaz encore plus polluant que le CO2.
La production d'hydrogène pour faire rouler une voiture un kilomètre rejette l'équivalent de 100g de CO2. C'est-à-dire à peu près le même score que pour le diesel.
Les industriels sont évidemment conscients du problème et affirment chercher des solutions pour fabriquer de l’hydrogène grâce à « l'électrolyse de l'eau ».
Problème : la production par électrolyse nécessite une puissance électrique très importante. Ce qui la rend très coûteuse. Et dépendante des centrales à charbon, à gaz (méthane) ou du nucléaire.
On comprend donc que le grand gagnant, derrière l’hydrogène, c’est le méthane, et l’industrie pétrochimique.
Tout comme l’industrie des biotech finance ses innovations synthétiques et OGM avec les vaccins Covid #Medwash
La pétrochimie utilise l’hydrogène, sous couvert de transition écolo, comme un puissant levier d’investissement pour financer sa transition vers le méthane #Greenwash
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Les informations actuellement disponibles permettent d’affirmer que :
2014-2019 : les NIH (Gvt US) financent des chercheurs de Wuhan pour développer des coronavirus (SARS et MERS) génétiquement modifiés capables d’infecter l’humain via Spike.
Le vaccin ZyCoV-D contient un brin d'ADN synthétique qui code pour la protéine Spike, ainsi qu'une séquence génétique activant le gène injecté.
Une fois que l’ADN pénètre dans les noyaux de nos cellules, il est converti en ARNm, et ce dernier est ensuite traduit en protéine S.
C’est la différence avec les vaccins à ARN dont la substance active vise le cytoplasme, et n’a pas besoin d’aller dans le noyau de nos cellules pour être traduit en protéine Spike. nature.com/articles/d4158…
@force_ouvriere s’est positionné contre les sanctions prévues par la loi sur la crise sanitaire le 10 août.
La CGT et SUD exigent le retrait du Pass sanitaire et demandent plus de moyens et de personnels pour les services de santé, ainsi que la levée des brevets, notamment.
SUD exige clairement l’abrogation de l’obligation vaccinale.
* Devons-nous modifier génétiquement les espèces qui nous entourent avec des ciseaux génétiques mal-maîtrisés, éradiquant ainsi à jamais le fruit de millions d’années d’évolutions naturelle, au risque de foutre en l’air leur ADN, pour les modeler aux besoins du capitalisme ?
Exemple typique d’une volonté aberrante de la Start Up Nation anglaise et de la bourgeoisie locale d’opérer le forçage génétique de l’écureuil gris alors que favoriser simplement le retour de la biodiversité dans les campagnes aurait exactement les mêmes effets :
1/6 Dans un avis publié cet été, l’@Anses_fr recommandait de "respecter strictement" la règle de séparation des espèces et d'éviter tout cannibalisme : ne pas donner à manger du cochon aux cochons. gouvactu.adminet.fr/des-proteines-…
2/6 Les farines animales sont composées de carcasses broyées (museaux, pattes, os...) d’animaux.
Les poissons d'élevage et les animaux de compagnie pouvaient déjà être nourris avec ces farines. Il sera désormais possible de nourrir volailles et porcs.
3/6 La Commission européenne et l’agroindustrie mettent en avant que ces produits peuvent se substituer à l'importation de protéines végétales alors que le prix des céréales et oléagineux augmente.
« Une semaine après le lancement de la campagne de rappel en France, l’Agence européenne du médicament (EMA) se lance tout juste dans l’évaluation des effets d’une 3e dose du vaccin Pfizer » legeneraliste.fr/actu-medicale/…
2/4 « L’agence planche sur les informations transmises par le laboratoire Pfizer, notamment des données incomplètes d’un essai clinique encore en cours conduit auprès de 300 adultes ayant accepté de recevoir un rappel à 6 mois. »
3/4 « Quoi qu’il en soit, en attendant les conclusions de ces évaluations, et vu le manque de données permettant de confirmer le rapport bénéfice/risque d’un rappel, le régulateur appelle à nouveau les gouvernements à ne pas se précipiter pour autoriser la 3ème dose »