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30 Oct, 49 tweets, 9 min read
Belle brune, méditerranéenne. 23 ans. 1m75 de désir ambulant, une sorte de fantasme avec deux jambes. Callipyge, douce, un visage d'ange, des envies de succube. On se parle en ligne depuis quelques semaines. Je ne misais sur rien, mais mon désir pour elle augmente chaque jour.
Elle est à la fac, et c'est les vacances.
Elle vit chez ses parents, absents en ce moment. Décision est prise que je passe la réveiller un matin, le petit déjeuné sous le bras.
30 minutes de route, je suis chez elle.
Comme convenu, je fais sonner son téléphone une fois arrivé.
Elle mettra 3 minutes a venir m'ouvrir la porte. C'était long, juste assez pour que mon imagination tourne a plein régime en l'attendant.
Elle m'ouvre la porte, un joli sourire, un peignoir, de jolies jambes.
Elle dit rien, elle pointe simplement la cuisine qui se trouve derrière elle.
J'entre, elle ferme la porte. Je me retourne, elle m'enlace, m'embrasse. Je laisse tomber le sachet de croissants pour la prendre dans mes bras, la coller contre moi.
Je devine sa poitrine généreuse et nue sous la soie de son peignoir. Je saisi fermement son cul a pleine main. Elle sourit et continue a m'embrasser.
Elle fait glisser mon blouson en cuir de mes épaule, il se fracassera au sol dans un grand bruit.
Elle ouvre les premiers boutons de ma chemise.
Elle a les doigts froids, agiles.
Je la fait reculer de quelque pas, elle bute contre le comptoir de la cuisine. Ma jambes droite se glisse entre les siennes.
Mes mains défont le nœud de la ceinture de son peignoir, qui s'ouvre juste assez pour m'offrir ses seins, mais pas encore ses tétons.
Je jette mon visage entre ses seins, sa peau est douce, chaude. Elle sent bon.
Mes mais saisissent sa taille, écartant totalement son peignoir.
Je profite de la vue quelques seconde :
Poitrine généreuse mais ferme, joli ventre rebondi, sexe glabre. Ses lèvres dépassent légèrement de sa chatte.
Elle me sent raidir contre sa cuisse, et me fait un sourire magnifique, fière de l'effet qu'elle provoque.
Je goute l'un de ses tétons, elle hoquètera de surprise et de plaisir. Elle passe ses mains dans mes cheveux, s'y agrippe, et guide ma bouche vers son deuxième tétons. Nouveau gémissement. Son téton imite ma queue, et durcit dans ma bouche.
Je saisi son seins a pleine main, et je le titille du bout de ma langue en plongeant mon regard dans le siens. Ses yeux se ferme, son sourire se fige.
La main toujours sur son seins, je saisi son cul avec l'autre, et la pose sur le comptoir.
L'embrasse, en collant mon bassin au siens.
Son peignoir ne l'habille presque plus, je le fais glisser de ses épaules et de ses bras. Nue devant moi, les jambes écartées, mon bassin collé au siens, elle s'offre a moi.
Mon chino comme seul rempart, mon gland se frotte contre son bas ventre, pendant que ma bouche dévore la sienne.
Je glisse mon visage dans son cou. Je mord tendrement sa peau. Ses doigts se perdent de nouveau dans mes cheveux.
Ma bouche descend, retour sur le tétons durci et tendu vers moi. Mes mains glisses sur ses hanches.
Je descend lentement, son ventre, ses cuisses, je gouterais tout.
Je pose sa cuisse sur mon épaule gauche. Ca ouvre encore plus ses jambes, et j'observe son sexe en me mordant les lèvres.
Je pose un baiser sur ses lèvres, et l'observe. J'adore savoir qu'elle me scrute si attentivement.
Je pose son autre cuisse, sur mon autre épaule.
Et j'approche mes lèvres des siennes. J'attends ce moment depuis des semaines, l'odeur de sa mouille m'enivre, je veux la gouter. Ma main et mon bras passent autour de sa cuisse, et tire légèrement vers le haut la peau de son pubis pour ouvrir son sexe.
Je suce ses lèvres, et les première goute de sa mouille coule sur mon menton, ma bouche, ma barbe. Elle est délicieuse.
J'enfouis ma langue en elle, le plus loin possible. Elle gémi.
Je remonte lentement ma langue a la recherche de son clito.
Je la ressors d'elle, et remonte le long de ses lèvres. Son bassin ondule pour m'offrir sa chate. Ses mains se crispe sur mes cheveux quand ma langue glisse sur son clito, déjà gonflé.
Je le titille du bout de ma langue, mon indexe et mon majeur écarte ses lèvres, et je le vois : rond, rose, appétissant.
Doucement, je le suce, puis l'aspire dans ma bouche, ou ma langue finira de le masser. Sa respiration accélère, les mouvements de son bassin aussi.
Elle produit énormément de mouille, et je tente de tout lécher, de tout boire.
Je recule mon visage, trempé d'elle, la regarde, lui dis :
"Tu remplis ma bouche comme promis, et tu vas jouir dedans".
Bouche crispé, yeux fermé, elle acquiescera de manière frénétique de plusieurs mouvement de tête.
Ses jambes se croisent derrière mon crane, et elle plaque mon visage contre son sexe avec ses jambes.
J'suis enfermé par son corps, la bouche pleine.
Ma main gauche caresse ses seins, son buste, son cou. Parfois, mes doigts se ferment légèrement sur sa gorge, et chaque fois, son clito palpite sous ma langue.
J'accélère les mouvement de ma bouche, et les ondulations de son bassins suivent le rythme.
Elle ne gémi plus, elle peine a respirer, et ma main sur sa gorge ne l'aide pas.
Soudain ses mains plaque fort mon visage contre elle, ses jambes tremblent, son souffle s'arrête. Ma main sert son cou, plus fort. Ma langue amplifie encore ses mouvements.
Elle contrôle plus rien. L'une de ses mains lâche ma tête et serre fort son sein, et soudainement, je sens un raz de marrée de mouille emplir mon visage, a tel point que je ne peux plus tout avaler. Ses jambes se ferme, expulsant ma tête de son intimité. Elle convulse presque.
Je pose simplement ma tête contre sa cuisse, et parcours son corps des yeux : elle est superbe, et l'ignore. C'est surement mon seul critère physique.

Je me relève, lentement. Ma tête tremble, entre l'excitation et le léger manque d'oxygène.
C'est toujours compliqué de respirer correctement le visage enfouis dans une femme.
Elle restera immobile, détachée, ailleurs, quelques dizaines de seconde.
Elle reprend vie, et ses mains caressent ma queue a travers le tissus de mon pantalon.
Je saisi son visage dans ma main, et l'embrasse a pleine bouche :
-"Elle est bonne ta mouille ?"
Jamais elle ne répondra, mais son sourire constitue une réponse a lui seul.
Elle ouvre les derniers boutons de ma chemise, glisse ses mains fraiches sur mon torse.
Les descend, ouvre ma ceinture, et les bouton de mon pantalon dans le même mouvement.
Elle branle ma queue dans mon boxer trempé. Elle est douée. Mon pantalon glisse jusqu'au sol, je sors une jambe, puis l'autre. Elle fera glisser mon boxer, qui suivra le même chemin.
Elle saisi fortement ma queue, ses doigts s'y cramponne, et continue de me branler. C'est doux, presque tendre. C'est bon. Je lui dis, en reglissant mes jambes entre les siennes.
Elle continue de me branler, mais approche mon gland de ses lèvres.
Un léger mouvement de mon bassin et du siens feront se rencontrer mon gland et son clito. Nouveau gémissement. Le siens? Le miens? Aucune idée.
Elle frotte doucement ma queue entre ses lèvres. Elle me branle, se branle, dans le même mouvement.
Je sens que le plaisir l'empêche de se concentrer sur son mouvement. Je glisse ma main a la place de la sienne, l'embrasse, et branle ma queue contre elle, contre son clito, et je poursuis ce mouvement quelques dizaines de seconde.
Sa mouille goute sur le comptoir. Ca me fait sourire.

Elle ouvre les yeux, plonge son regard dans le miens et dit :
-"Putain prends moi, baise moi, entre en moi".
Alors mes mains saisissent l'arrière de chacune de ses cuisses, les soulèvent, juste de quoi mettre l'entrée de sa chatte a découvert.
Mon gland glisse une dernière fois entre ses lèvres, quitte son clito, et la pénètre. Elle est vraiment trempée, et grande ouverte.
Dans le même mouvement continue, j'enfouis ma queue loin en elle, jusqu'à la garde.
Mes couilles s'écrasent contre son joli cul.
Ses jambes se croisent et se referment sur moi, de nouveau, elle me plaque contre elle.
Elle ne me laisse pas ressortir, elle veut que je reste loin en elle. Elle ondule du bassin, ma queue masse son vagin sans en sortir, juste en jouant sur l'angle. C'est très bon.
Les caresse de son cul contre mes couilles m'achève.
Je reste concentré, elle pourrait me faire jouir en quelques secondes comme ça.
Je dénoue ses jambes qui enserrent mon bassin d'un coup de rein. Elle gémi, fort.
Je ressors d'elle, saisi ma queue, et refrotte mon gland a son clito : ce petit moment de quiétude m'aidera a redescendre un peu...

Une fois que je suis un peu calmé, je redescend ma queue, et rentre en elle. Plus fort. Je ressors. Re-rentre plus fort.
Je continue ce schémas, encore et encore.

Mes couilles claquent contre son cul. Nos bassin s'entrechoc. Sa chatte produit des bruits humide a chaque aller retour.
Ses mains passent dans mon dos et le caresse.
Parfois, ses ongles se plantent dans ma peau, et je la prend plus fort, pour l'en remercier.
Tellement que j'ai le dos en feu.

De nouveau, elle me plaque contre elle, ses bras se serrent contre mon visage, plaquer contre le siens. Ses jambes aussi.
Je suis bloqué contre elle, en elle.

Sa chatte palpite, mon gland aussi, je joue avec mon périnée pour faire grossir ma queue en elle.
De nouveau mouvement de son bassin me refont perdre ma concentration.
"Putain, arrête, tu vas me faire jouir, c'est trop bon"
"C'est tout ce que je veux, aller, jouis avec moi" dit elle, sérieuse, tendre, excitée et soumise a nos désirs.

Je colle mon bassin de toutes mes forces contre le siens, il ne reste pas un millimètre de ma queue qui n'est pas en elle.
Son vagin se contracte au même rythme que mon sexe.
Mon souffle s'arrête, je sens une chaleur immense quitter mes couilles, passer a l'arrière de mon cul pour se lover a la base de ma queue. Je vais jouir, elle le voit, elle le sent.
Cette sensation déclenchera son orgasme.

Sa tête s'enfouis dans mon coup, de nouveau, elle ne respire plus. Moi non plus. Je suis juste concentré sur les sensation de sa chatte trempée et palpitante qui enserre ma queue.
C'est trop, trop bon, trop.

Je jouis en elle, tout au fond, je décharge tout ce que je peux dans de derniers mouvement sec de bassin.
On partage un orgasme simultané, dans sa cuisine. Il est 10h, et ça ne sera que le premier d'une très longue journée de sexe.
Les contraction de son orgasme expulsera ma queue de sa chatte. Mon gland glisse hors d'elle, et une giclé de mon sperme le suivra. Glissant sur ses lèvres, son cul, et se mêlant a la petite flaque de sa mouille.
Cette image me fait sourire.
J'embrasse son front, sa bouche.
Mes jambes tremblent, elles ne me soutiendront plus très longtemps. Je tire un tabouret de bar du comptoir, m'assied.
Elle n'a pas bougé, elle garde les yeux fermés, savoure son plaisir.
Je pose négligemment ma tête sur sa cuisse. Elle caresse mes cheveux du bout de ses doigts.

Elle finira par sauter du comptoir, nue, passera derrière moi en faisant tourner le tabouret, collera ses seins a moi, embrassera mon cou, restera la quelque seconde.
Elle saisira ma main, et me guidera sous la douche, qu'on prendra ensemble.
Merci de m'avoir lu.

Merci, encore, a toi, de m'avoir lu en direct.

A bientôt.

#nsfw #threadsexy #nsfwtwt

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5 Sep
Hier soir, j'ai rencontré une femme en ligne.
Rousse, pale, une sorte d'irlandaise affamée, maline et drole, la discussion a durée des heures, sur tous les sujets, de son métier d'agronome au plaisir qu'elle prenait avec son conjoins au lit.
Elle avait envie d'une pause, qu'un autre homme la regarde avec envie, passion. Qu'elle se sente dominée, presque avilie, secoué, avec respect mais sans aucun ménagement. Aussi étrange que cela puisse paraitre, elle souhaitait "tout ça", mais sans tromper personne.
Alors je lui ai proposé une solution intermédiaire :
La rejoindre chez elle, et diriger ses gestes et son envie.
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