La frontière entre la #Pologne 🇵🇱 et la #Biélorussie 🇧🇾 est actuellement le théâtre d’une crise géopolitique.
Depuis le 8/11, entre 3000 et 4000 migrants ont afflué à #Kuznica pour tenter de passer en Europe.
Ce vendredi 12/11, environ 2 000 personnes, principalement Irakiens et Syriens, se sont regroupés le long de la frontière, à proximité du poste-frontière de Kuźnica - Bruzgi.
Khaled A. est un citoyen syrien résidant au Liban, comme 1,7 million de ses compatriotes.
Le 8 novembre, il se rend à l’aéroport de #Beyrouth pour un vol en direction de #Minsk, capitale de la #Biélorussie.
Son billet est au nom de la compagnie libanaise Middle East Airlines, mais il monte à bord d’un appareil de la compagnie biélorusse Belavia.
L’avion décolle à 22h41 heure locale, avec un peu moins d’1h d’avance.
Depuis le début de la crise, Belavia est souvent utilisée par ceux qui rejoignent la Biélorussie.
Mais ce vendredi, elle indique que les ressortissants de Syrie, d’Irak et du Yémen ne seront plus admis à bord des vols en provenance de Turquie, à la demande des autorités 🇹🇷.
Pendant le vol, Khaled A. partage une vidéo de lui aux côtés d’autres passagers.
Il répond aux questions des internautes en commentaire : “Le visa m’a pris 16 jours via le consulat de Biélorussie à Beyrouth [...] j’ai reçu des conseils de l’ambassade [biélorusse]”.
Il atterrit à #Minsk à 5h12 heure locale le lendemain matin, passe le contrôle à la frontière et rassure ses followers sur les conditions d’accueil avant de rejoindre la ville en autobus.
Il "n’encourage pas l’immigration clandestine", précise-t-il dans sa bio TikTok.
Plus tard, Khaled A. et des compagnons de route se dirigent vers le centre-ville, s’attablent à un café et prennent la voiture.
À la sortie de Minsk, ils se rendent sur un marché et s’attardent autour de stands vendant du matériel de camping.
Ce marché, que nous avons pu localiser, est situé à la sortie de la capitale, direction Hrodna/Grodno, la ville biélorusse située près de la zone de tension à la frontière.
Depuis plusieurs mois, 50 familles du motu Taura Otaha sont privées d’eau, ou alimentées en eau… salée ! Les responsables : de riches investisseurs peu scrupuleux quant à la protection de la lagune. #Polynésie française @TahitinuiTV
via @duchampt
Après avoir acheté 2 parcelles sur le motu (îlot de sable) en 2021, un milliardaire américain a entrepris de construire une lagune artificielle. Ces travaux ont endommagé la lentille d’eau douce alimentant les habitations alentour. Photos avant/après goo.gl/maps/EcGW8JAhf…
On constate sur cette photo le niveau très faible du captage d’eau potable, chez une riveraine du motu.
L’équipe des @RevelateursFTV est mobilisée depuis le début de la crise en Guadeloupe pour vérifier les images amateur qui émergent du terrain🔍.
à dérouler 👇
Dès le 19 novembre, des barrages apparaissent sur les routes de l’île.
En #Guadeloupe, cette vidéo témoigne de la situation : des voitures renversées et calcinées coupent la circulation, les manifestants semblent avoir allumé un feu, visible sur le bas-côté.
Cette vidéo a-t-elle bien été filmée en Guadeloupe, et où exactement ?
Pour le savoir, le premier réflexe est de lire les commentaires, mais ici aucun indice.