Avec la vaccination Covid, nous avons basculé dans un monde de croyance et de conviction qui n’a plus aucun lien avec la science. 1/n
Selon le philosophe de l’épistémologie des sciences Karl Popper, ce qui distingue une théorie scientifique d’une croyance est la capacité que nous avons à la réfuter ou encore à prouver que la théorie est fausse. 2/n
Or, les vaccins Covid étaient supposés :
- être sûrs
- empêcher la propagation de l’épidémie
- protéger des formes graves
3/n
Concernant la sécurité des vaccins Covid, nous avons des accidents cardio vasculaires, neurologiques, inflammatoires cohérents avec l’étiologie de l’ARNm. Nous avons des signaux d’alerte cohérents sur toutes les pharmacovigilances mondiales. Tout est nié en bloc sans argument 4/n
Concernant la propagation de l’épidémie, nous avons des pays entiers hyper vaccinés qui connaissent leur pic épidémique de Covid et des études médicales montrant que la contagiosité des vaccinés est similaire à celle des non vaccinés. 5/n
Concernant la protection contre les formes graves, nous voyons encore que l’efficacité du vaccin décline rapidement après 6 mois. 6/n
Plutôt que de réfuter le bien-fondé de la vaccination généralisée comme le ferait un scientifique, nous cherchons sans cesse des excuses à l’échec de l’expérience :
- la faute des non vaccinés
- la troisième dose pour tous
- il faut vacciner les enfants
7/n
Si aucun fait, ni aucun constat ne peut jamais réfuter l’expérience de la vaccination Covid, alors nous sommes dans une démarche de croyance ou de religion qui échappe à toute démarche scientifique raisonnée.
8/n
Toute expérience doit définir en amont des objectifs à atteindre pour être réfutable si elle a échoué. La vaccination Covid qui n’est pas sure, n’empêche pas la contagion, confère une immunité d’au plus 6 mois, échappe à toute démarche de validation scientifique.
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L’Allemagne, vaccinée à 70%, connaît la plus forte vague de cas Covid de son histoire, avec un nombre de cas deux fois plus élevés que la vague de décembre 2020, précédant la vaccination.
On peut calculer ce que serait cette vague en fonction de différentes hypothèses d’efficacité de la vaccination pour juger de la cohérence de ces hypothèses.
Le moyen pour le faire est d'ajuster cette vague par le facteur multiplicatif suivant :
Efficacité est l'efficacité hypothétique du vaccin
%vax est le pourcentage de la population globale vaccinée, ici 70%
Depuis le début de la vaccination, il vaut mieux observer l’expérience de vaccination à l’échelle d’un pays tout entier (Israël, Singapour, Islande, Irlande…) plutôt que les données par groupe non vacciné / vacciné au sein des pays.
Explication
1/n
Les données sur un pays très vacciné tout entier constituent des expériences scientifiques non manipulables avec des pays non vaccinés ou moins vaccinés qui constituent des expériences contre factuelles. 2/n
Les données observationnelles par groupe au sein des pays sont très fragiles car elles dépendent de la définition précise des termes « vaccinés », « non vaccinés » avec des patients en transition mal définis et qui présentent un risque accru d’infection au Covid 3/n
Les vaccins Covid et l’expérience de Milgram
En 1963, le psychologue Stanley Milgram effectue une expérience pour évaluer le degré d’obéissance des citoyens devant une autorité qu’ils jugent légitime. 1/n
L’objectif de l’expérience est d’analyser le processus de soumission à l’autorité lorsque que celle ci induit des actions posant des problèmes de conscience au sujet. 2/n
L'expérience est présentée comme une étude scientifique de l'efficacité de la punition sur la mémorisation. Les participants sont rémunérés pour participer à cette expérience. 3/n
4 pays parmi les plus vaccinés au monde avec des taux de couverture proches de 100% parmi les personnes éligibles (Israël, Singapour, Islande, Irlande) ont connu ou connaissent leur pic d’incidence Covid une fois vaccinés.
Ces quatre contre exemples montrent que le vaccin n’est pas un outil de contrôle de l’épidémie.
Même en France ou en Allemagne, comment faire porter la responsabilité d’une reprise épidémique très virulente sur 10% de la population qui ne serait pas vaccinée ?
Au cours des débats parlementaires sur la prolongation du passe sanitaire, a-t-on débattu de la validité des hypothèses scientifiques qui sous-tendent le passe dit sanitaire ?
Hypothèse 1
Au niveau épidémiologique, la couverture vaccinale la plus élevée possible permet de diminuer la circulation du virus.
Cette hypothèse est contredite par l’étude comparée des pays plus ou moins vaccinés.
Hypothèse 2
La balance bénéfice risque du vaccin est favorable pour toute la population à partir de 12 ans (seuil d’âge du passe sanitaire).
Cette hypothèse est au moins remise en doute pour les jeunes et les primo-infectés du Covid.
« le vaccin de Pfizer efficace à 90% chez les enfants de 5 à 11 ans » selon une étude de Pfizer réalisée sur 1500 enfants.
Le taux de létalité du Covid depuis le début de l’épidémie chez les enfants est de 1/1 million. La taille de l’échantillon de l’étude est donc ridicule.
Pour repérer des effets secondaires comme la myocardite (1/10 000) il faut :
- au minimum observer 50 000 vaccinés avec un groupe placebo inerte
- regarder pour chaque groupe, les cas d’hospitalisation toutes causes confondues pendant au moins 6 mois.
Comment expliquer que les médias reprennent en boucle la propagande des firmes vaccinales sans esprit critique ?
Il est évident qu’une étude sur 1500 enfants n’est pas suffisante pour valider la vaccination contre une maladie qui a une létalité de 1/1 million.