0-9 ans : +92%
10-19 ans : +78%
20-29 ans : +43%
30-39 ans : +52%
40-49 ans : +62%
50-59 ans : +52%
60-69 ans : +47%
70-79 ans : +33%
80-89 ans : +31%
90 ans et plus : +27%
tous âges : +58%
Version dézoomée pour englober la quatrième vague. A part chez les 10-29 ans, le taux d'incidence est déjà supérieur ou quasiment supérieur au pic de cette quatrième vague dans toutes les tranches d'âge.
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Chez les enfants de 6 à 10 ans (on a le détail par niveau scolaire pour les mineurs), le taux d'incidence a dépassé 500.
L'OMS ne rapporte "actuellement aucune information suggérant que les symptômes associés à #Omicron soient différents de ceux d'autres variants".
Les premiers cas "concernaient des jeunes" et "il faudra plusieurs jours/semaines" pour en savoir + sur la gravité de la maladie.
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Cf ceci, pas mal repris ce week-end, sur la base du témoignage d'une médecin sud-africaine qui a soigné des patients ayant été infectés par #Omicron (et le plus souvent âgés de moins de 40 ans). 👇
Par ailleurs, "des preuves préliminaires suggèrent qu'il peut y avoir un risque accru de réinfection avec #Omicron", mais "plus d'informations à ce sujet seront disponibles dans les jours et semaines à venir". Idem pour l'efficacité des vaccins et de certains traitements.
Le taux d'incidence en Allemagne va-t-il dépasser 500, quasiment 2,5 fois plus que le précédent pic? Réponse dans les jours à venir.
256 décès sont par ailleurs recensés chaque jour en moyenne en Allemagne, soit l'équivalent de 207 en France. #Covid19 (via @risklayer)
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Les régions allemandes où le taux d'incidence est actuellement le plus élevé sont aussi celles dont la population est la moins vaccinée (et inversement).
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Le taux d'incidence dans toute l'Allemagne varie évidemment selon les tranches d'âge. Il atteint près de 1 000 chez les enfants et les jeunes adolescents.
Le nombre de cas positifs quotidiens augmente depuis plus de deux semaines au Royaume-Uni, tandis que le nombre d'admissions quotidiennes à l'hôpital baisse depuis une vingtaine de jours. Comment l'expliquer ?
Déjà, il y a toujours un délai de 8 à 15 jours entre contaminations et hospitalisations (qui, en plus, vont jusqu'au 23/11 alors qu'on a les cas positifs jusqu'au 27). La courbe des hospitalisations pourrait donc se redresser. Néanmoins...
(Ci-dessous, une version dézoomée)
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...il semble également probable que la vaccination de rappel participe à cette baisse des hospitalisations. Près de 17 millions de Britanniques, le plus souvent âgés, on reçu leur rappel. Et c'est dans ces tranches que les admissions baissent le plus.
Le taux d'incidence en France repasse au-dessus de 250, pour la première fois depuis sept mois (pic à 248 cet été). #Covid19
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Cela fait plusieurs jours que le taux d'incidence augmente de plus de 50% en une semaine.
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A noter que le taux d'incidence (PCR uniquement) est bien plus élevé chez les non-vaccinés que chez les vaccinés, quelle que soit la tranche d'âge. Et les doses de rappel le font nettement diminuer chez les personnes âgées.
La Drees dévoile de premières données des tests positifs et des hospitalisations selon le statut vaccinal... en prenant en compte les rappels.
Chez les 60-79 ans (à gauche) comme chez les plus de 80 ans (à droite), le rappel fait nettement diminuer le risque. #Covid19
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Les mêmes graphiques, mais en dézoomant pour englober la quatrième vague (logiquement, la courbe pour les personnes vaccinées il y au moins six mois et ayant reçu une dose de rappel ne débute que mi-septembre).
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Que constate-t-on ? On savait que déjà que le taux d'incidence (PCR uniquement) et le taux d'hospitalisation étaient nettement moins élevés chez les personnes vaccinées que chez celles non vaccinées, comme expliqué à plusieurs reprises. 👇