Pourquoi penser, ce jour, au W de Perec?
"Il y a deux mondes, celui des Maîtres et celui des esclaves. Les Maîtres sont inaccessibles et les esclaves s’entre-déchirent."
"Il y a deux mondes, celui des Maîtres et celui des esclaves. Les Maîtres sont inaccessibles et les esclaves s’entre-déchirent."
"Mais l'enfance n'est ni nostalgie, ni terreur, ni paradis perdu, ni Toison d'Or, mais peut-être horizon, point de départ, coordonnées à partir desquelles les axes de ma vie pourront trouver leur sens. "
Et aussi…
Et aussi…
Le personnage principal de La vie mode d'emploi, Percival Bartlebooth, ressemble à Opalka — drôle de personnage croisé il y a quelques années déjà — dont toute l'existence à la suite des camps a été consacrée à une œuvre unique.
Le roman de Perec s'achève à l'heure exacte du décès de Percival Bartlebooth devant un puzzle inachevé où il manque une pièce en forme de W.
Le dernier nombre inscrit par Opalka sur sa 231ème toile est le nombre 5607249. Il n'aura pas atteint l'infini
Le dernier nombre inscrit par Opalka sur sa 231ème toile est le nombre 5607249. Il n'aura pas atteint l'infini
• • •
Missing some Tweet in this thread? You can try to
force a refresh
